L’aventure, c’est l’aventure !
14 juin 2024José, 45 ans, Paris, rencontre une femme dans un parc. Tous les deux enfermés dedans, ils décident de se procurer un petit plaisir sexuel.
Il m’est arrivé une aventure tout à fait inattendue. J’étais en train de me promener, le casque sur les oreilles, dans le grand parc parisien des Buttes Chaumont quand la nuit s’est mise à tomber plus vite que je ne croyais, me prenant un peu par surprise. Je me suis rendu compte que le parc s’était vidé et que j’étais seul dans les allées bordées de grands arbres. J’ai hâté le pas pour rejoindre une sortie, mais elle était fermée. La suivante aussi. La panique a commencé à me gagner. Et si j’étais enfermé dans le parc ? Les grilles sont hautes et certainement pas faciles à escalader. En plus, je n’avais plus de batterie sur mon téléphone. C’est alors que j’ai vu une jeune fille à quelques mètres devant moi. C’était une brunette dans une robe blanche vaporeuse, toute mince et gracieuse. Je l’ai rattrapée pour l’aborder. « Excusez-moi ? Est-ce que vous savez comment sortir d’ici ? » « Ben non ! Je suis moi aussi à la recherche d’une sortie ! » Voici mon histoire de sexe.
Le début d’une partie de sexe à l’air libre
Nous avons pressé le pas tous les deux allant d’une porte à la suivante, mais toutes étaient fermées. Cela dit, nous n’étions plus si pressés que ça. J’avais remarqué qu’elle semblait s’intéresser à moi et je n’étais pas en reste. Rassurés d’être deux et certainement un peu excités par la situation, nous avons cessé de chercher à sortir à tout prix. Il me restait une bouteille de jus de fruit et des chips de mon pique-nique du jour que je lui ai proposé de partager. Tout à coup, ce qui semblait être une mésaventure devenait une belle rencontre de deux personnes curieuses l’une de l’autre, dans la fraîcheur d’une nuit de printemps. Nous avons pris place au sommet de la butte pour nous asseoir dans le gazon, sous la lune, seuls au monde face à Paris à nos pieds. Nous avons bu le jus chacun notre tour au goulot. Son parfum était entêtant. J’avais envie de soulever sa robe pour m’y perdre. Elle s’est collée à moi quand la brise l’a fait frissonner. Nous nous sommes embrassés sous le ciel étoilé. Elle m’a pris la bouche, m’a attrapé par le cou. Son intensité me plaisait.
Elle s’est retrouvée à genoux entre mes jambes, dans l’herbe. J’ai soulevé sa jupe pour lui peloter les fesses. C’était excitant de faire ça à l’air libre tout en sachant que personne ne nous épiait. C’est alors qu’un gardien est apparu, nous a quelque peu réprimandés tout en nous menant jusqu’à la sortie. Nous nous sommes retrouvés à la lumière des réverbères. Sans un mot, elle m’a pris par la main. Je ne pouvais que la suivre…
Une seule envie, baiser !
Arrivés au seuil de la porte de sa chambre, elle m’a demandé de ne pas parler, de ne pas rompre la magie du moment. Je pouvais la prendre en photo si je le désirais. Elle s’est déshabillée avant de s’allonger nue sur le lit et me révéler la splendeur de ses courbes douces, la fermeté de ses cuisses, le galbe parfait de ses mollets. Puis elle s’est mise de face pour me faire admirer ses seins gonflés, deux pamplemousses rebondis. J’ai fait des photos, sous le charme de sa beauté et de la grâce de son corps. Puis elle s’est déplacée vers moi comme une chatte, à quatre pattes sur le lit, pour prendre ma queue dans sa bouche. Elle s’est encore prêtée au jeu des photos, en me suçant pendant que je lui malaxais la poitrine. Cela ne se serait sûrement jamais produit si nous ne nous étions pas croisés dans le parc, mais notre désir était tel qu’il fallait qu’on le consomme avant de reprendre nos chemins respectifs. Sa bouche sur mon sexe m’a langoureusement fait durcir, jusqu’à ce que je n’aie plus qu’une idée en tête, la baiser.
Elle s’est tournée pour être prise en levrette. Je l’ai possédée comme j’en avais rêvé dès qu’elle s’était assise à mes côtés sur l’herbe. Son cul vibrait au-dessus de ma bite pendant que je la pénétrais avec passion. Sa peau ferme n’en tremblait pas moins sous mes coups de boutoir, avec ce bruit mélodieux de la chair qui claque dans l’accouplement.
Elle s’est cambrée pour mieux me sentir et notre extase, la folie de se découvrir ainsi sans se connaître, nous a donné le tournis. Nous nous sommes promis de nous perdre à nouveau dans le parc, par une nuit de pleine lune.
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