Le parc d’attrape-fion

La rédaction 24 mai 2020

Myriam, 22 ans, Grenoble.

Je bosse dans l’animation et il y a deux ans j’ai incarné une fée bien connue dans un célèbre parc d’attraction parisien. Suivez le guide !

Mon costume de petit elfe coquin rendait fou les gens qui venaient visiter le parc : les enfants trouvaient que j’étais pareille que le personnage de leur dessin animé préféré, les mamans me trouvaient trop mignonne, et les papas, eux, avaient plutôt envie de sauter la petite fée. Un beau jour, je me suis laissé tenter par un visiteur.

Ce samedi-là, tout un groupe venu de Québec circulait entre les attractions. J’ai remarqué un beau mec, la vingtaine. Il avait l’air de s’ennuyer autant que moi dans ce parc à la noix… Quand il a commencé à flirter pendant que sa famille se prenait en photo avec mes collègues en costume, je suis rentrée dans son jeu. Et sans trop savoir pourquoi, je me suis retrouvée à lui faire découvrir les coulisses des attractions.

Nous avions bien compris que nous cherchions surtout un moyen de passer l’après-midi à faire autre chose que de s’occuper de ses petits frères pour lui, ou d’amuser les touristes pour moi. Et quel meilleur endroit que le bâtiment où le personnel se change et se repose ? Je l’ai entraîné dans notre placard secret, la petite pièce où certains collègues prennent du bon temps entre deux spectacles.

Très amusés par la situation et excités par le danger (je risquais quand même de me faire virer), nous avons fait sauter nos vêtements. Il était un peu maladroit, et je l’ai guidé pour qu’il me fasse du bien avec sa bouche : lécher mes seins tout durs, humidifier mon minou bien rasé… Mais monsieur avait autre chose en tête.

Il m’a allongée sur le lit et s’est assis à califourchon sur mes cuisses, puis a entré un, puis deux doigts dans ma chatte mouillée, avant de les passer entre mes fesses. Je le sentais qui se branlait de l’autre main et je dois dire que la situation m’a beaucoup excitée : il pouvait jouer avec mon cul et j’étais là, prisonnière sous son poids, pendant que sa verge menaçait mon postérieur…

Son majeur est entré de plus en plus loin. J’étais bien dans l’ambiance, et il l’a senti. Il s’est penché au-dessus de mon oreille et m’a susurré : « Tu crois que je peux t’enculer, petite fée ? » J’ai rougi et remué les fesses en signe d’accord. Il a sorti son doigt et a placé sa bouche contre mon fion pour que tout glisse parfaitement. Quelques léchouilles et j’ai senti de nouveau son poids sur moi.

Son sexe était doux sur mes fesses. Il s’est couché de tout son long et a guidé son dard jusqu’à l’orée de mon cul. Ma rosette était toute palpitante… Lentement, il est entrée en moi en poussant un râle : « Tu es encore plus serrée que je le pensais, c’est magique ! » Je suis restée immobile, le laissant se frayer un chemin dans mon petit cul féérique, profitant de chaque centimètre de sa queue me pénétrant.

Quand il a été englouti tout entier, nous avons commencé à bouger en rythme, très lentement, laissant le plaisir nous submerger. Je tournais la tête vers lui et trouvais sa bouche, que j’embrassais langoureusement. Plus bas, je sentais sa bite qui allait et venait dans un mouvement doux et ferme à la fois. J’étais parfaitement détendue, pendant qu’un parfait inconnu me faisait les fesses…

J’ai eu l’impression que nous restions des heures, lui et moi, à profiter de ce moment suspendu. Inquiète qu’on finisse par nous découvrir, j’ai fini par accélérer les choses : lui dessous, moi dessus, encastré sur sa bite comme un bilboquet. Dans cette position, il me possédait jusqu’au trognon. Quelques secousses ont suffi, et j’ai senti avec délice qu’il se vidait dans mon trou d’amour… J’ai caressé vigoureusement ma petite chatte et je l’ai rejoint dans les étoiles.

J’ai changé de travail peu de temps après, mais j’ai gardé mon costume de fée. Il fait toujours autant d’effet à mes amants, que ce soit par-derrière ou par-devant !

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire vous aimerez aussi…

« C’est le plombier ! »
« Elle m’a attiré vers elle. Ses seins étaient superbes et d’une très bonne tenue. Nous nous sommes bécotés, puis nous nous sommes embrassés à pleine bouche, nos langues jouaient à l’intérieur et à l’extérieur. » Nicolas.

Travail d’équipe
« Un soir, je suis resté travailler au bureau avec François et Claire sur la présentation d’un projet. Quand François a suggéré que l’on fasse une pause pour boire un verre, je ne savais pas que la soirée allait prendre cette tournure. » Éric.


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • Jakaru

    Les petites fées sont tellement sexy! J’adore cette histoire.

interstron.ru