Les culs des trois « C »

La rédaction 27 novembre 2021

Je m’appelle Marie-Clémence, j’ai 25 ans et j’aimerais partager un souvenir qui donne lieu à une histoire porno savoureuse. Au lycée, nous étions trois copines inséparables Chloé, Céline, et moi, Marie-Clémence, alias Clem. On nous appelait « les trois C ». On se racontait tout. Par la suite, nous avons pris des chemins différents, mais nous continuons à nous voir pour les grands événements, comme cette fois-là, pour le mariage de Chloé avec Jean. De nous trois, ça avait toujours été elle la plus délurée.

Première histoire de sodomie

Le soir de la noce, le champagne coulait à flots à la table de la mariée. Après le dîner, nous nous sommes isolées dans un petit salon, toutes les trois, en souvenir du bon vieux temps. Nous avons bu comme des trous, et Céline, de but en blanc, en plein milieu d’une conversation, nous a demandé : « Vous avez essayé la sodomie ? »

Le temps d’avaler de travers, et Chloé a retrouvé sa gouaille : « Bien sûr. Je m’en souviens comme si c’était hier, de ma première sodomie. J’avais 19 ans. D’ailleurs, on s’était vues juste avant, c’était le soir de mon anniversaire. Bref à l’issue de la soirée, Jean m’a ramenée chez lui. Je me suis mise en nuisette et on s’est affalés devant la télé. On a zappé et on a regardé le « Journal du Hard ». Ça nous a bien chauffés. Je me suis mise à le sucer, et il s’est retiré à temps. On allait passer aux choses sérieuses, mais mon regard a été attiré par ce qu’il se passait à l’écran ; une meuf se faisait enculer bien profond, elle avait l’air d’apprécier. Jean a pris un ton câlin et m’a proposé d’essayer. Je n’étais pas foncièrement opposée à ça, j’étais même plutôt curieuse. On a éteint la télé, et Jean m’a mise à genoux sur le canapé. ll a fait coulisser son engin le long de la raie de mes fesses, puis l’a appuyé contre mon anus. Ça m’a fait frissonner. D’un coup de reins, il est venu bien profond dans ma chatte, et il m’a enfilée méthodiquement en me pelotant les seins, jusqu’à ce que je prenne mon pied. « On le fait maintenant ? », il m’a demandé. En guise de réponse, j’ai saisi sa bite qui suintait de mouille, et je l’ai appliquée sur mon oeillet. ll m’a agrippée par les hanches, et j’ai senti la pression de son gland qui s’insinuait, qui élargissait le passage pour être avalé dans le rectum. Ca m’a quand même fait une légère brûlure au moment de la pénétration. Mais Jean s’est bien occupé de mon clito, et m’a enculée sans précipitation. J’ai eu un deuxième orgasme, et très vite, il s’est vidé les couilles dans mon cul. C’était très différent d’une baise classique. Voilà. »

J’ai bien reconnu ma petite Chloé. Elle s’était livrée sans pudeur, sans gêne, et racontait toujours aussi bien les trucs cochons. Avec Céline, on ne pipait pas un mot, on s’était laissé subjuguer par l’histoire de notre copine. Chloé a ajouté qu’ils renouvelaient souvent l’expérience, avec un clin d’oeil : « De toute façon, la sodomie, une fois qu’on y a goûté, c’est dur de s’en passer« . Céline avait repris tous ses esprits et m’a harcelée de questions.

Deuxième histoire de sodomie

J’ai bien essayé de ne pas répondre, mais elles ont tellement insisté que j’ai cédé : « Oui, ben oui. Ça fait cinq ans que je suis avec Thomas, et on s’aime beaucoup. Alors oui, on a un peu tout essayé. La première fois, on a utilisé un bon lubrifiant. C’est moi qui voulais, même si j’avais un peu peur. ll a quand même une bite énorme ! C’est déjà difficile de la prendre dans ma bouche, alors dans mes fesses… Mais bon, j’en avais trop envie. Il m’a fait me mettre à quatre pattes au bord du lit, et son doigt m’a lubrifié le sphincter. Debout, entre mes cuisses, son dard s’est immiscé dans ma raie, à la recherche de mon trou. Il a fait des petites poussées, et ensuite une grosse. D’un coup de reins, il a forcé l’entrée. J’ai poussé un hurlement de douleur. ll n’a plus bougé, et m’a demandé si ça allait. Je lui ai répondu que j’avais connu mieux, mais il était entré, on n’allait pas s’arrêter en si bon chemin. Je me suis masturbée pendant qu’il effectuait des allers-retours. J’ai synchronisé les mouvements de ma croupe à ses va-et-vient, et le plaisir a commencé à m’envahir j’ai malaxé ses couilles avec vigueur, je voulais qu’on jouisse en même temps, et moi je ne pouvais plus me retenir. C’était trop bon. »

Troisième histoire de sodomie

Forcément, après nos deux témoignages, on voulait avoir celui de Céline. Ce n’est pas tout d’interroger les gens, il faut savoir se livrer…

« Bon, ça va, ça va. Mais vous allez être surprises. C’est tout récent, mais je ne l’ai pas fait avec François. Je ne sais pas si vous vous souvenez du petit Daniel ? On était sortis ensemble deux semaines, en seconde. Hé ben, je l’ai revu. Maintenant, il vit aux États-Unis, mais il est rentré à Paris pendant un mois, pour les vacances. Je l’ai croisé à une soirée, c’était assez inattendu. J’ai beaucoup bu ce soir-là, on est restés collés l’un à l’autre, il m’a ramenée à l’hôtel où il dormait. Et pas un hôtel de pouilleux ! D’après ce que j’ai pu voir, ses affaires marchent bien. Bon, bref, on est passés rapidement aux choses sérieuses. On en avait super envie tous les deux. Ça a été une débauche de « Tu me lèches, je te suce. » Ensuite, il m’a installée comme pour une levrette, mais j’ai senti son gland appuyer contre mon petit trou. Je lui ai dit tout net : « Non, pas ça. N’insiste pas. » ll ne m’a pas écoutée. Il m’a dit qu’avec le cul que j’avais, c’était bien dommage que je m’y soustraie. Je me suis mise à contorsionner les fesses pour qu’il me laisse tranquille, mais mon anus, lui, s’ouvrait à lui. Quand j’ai compris que ça allait arriver, j’étais toute confuse. J’ai pleuré doucement, je savais que j’en avais envie, mais je trouvais que ce n’était pas bien… Bref, ce genre de pensées idiotes. Je me suis fait sodomiser par un expert, vigoureux et doux à la fois. Sa bite a coulissé avec aisance dans l’étroit couloir. Ses baloches, à chaque assaut, venaient heurter mon minou. Quand on a trouvé notre rythme, il s’est collé contre mon dos pour pouvoir introduire deux doigts dans mon minou. Des vagues de plaisir m’ont envahie, je me sentais trop bien. Quand il calmait le rythme, je lui criais de ne pas s’arrêter, de continuer encore et encore… J’ai atteint le nirvana, et il est sorti à temps pour m’exploser sur le dos. Pendant tout le mois où il est resté à Paris, on n’a pas arrêté de se voir. Et François a bien profité du savoir-faire que j’avais acquis… »

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