Merci patron !
3 juin 2025Quentin, 39 ans, ne s’attendait pas à ce que le diner auquel il était convié chez son patron serait…sa femme !
Quentin nous fait part de son histoire de sexe amateur avec l’épouse de son patron !
Quand Jean-Michel, mon boss, m’a invité à dîner chez lui, j’ai été surpris. C’était la première fois, à ma connaissance, qu’il conviait un membre du personnel à son domicile. Je savais qu’il était marié, que son épouse était plus jeune que lui et c’est tout.
La femme du patron : la boss de la fellation
Quand la porte s’est ouverte, j’ai dû afficher une drôle de tête ! Une sublime femme d’origine maghrébine se tenait devant moi. Jamais je n’aurais imaginé mon patron avec une beurette, surtout aussi jolie que cette Khadidja, petite et avec un charme fou. Ses regards étaient profonds, tout comme son décolleté.
Elle se déplaçait en roulant ostensiblement du cul et … sa robe était totalement transparente, ne cachant rien de sa nudité absolue.
Nous n’avons pas été jusqu’au dîner, l’apéritif a suffi pour que Jean-Michel se mette à me tutoyer et qu’il m’avoue la véritable raison de ma venue, il voulait photographier son épouse pendant que … je la baiserai !
Mon air interdit n’a pas été long à se dissiper lorsque Khadi, son surnom, s’est lovée à mes pieds en dégrafant sa robe et en extrayant ma queue déjà bandée de mon pantalon. Sa pipe a été la meilleure de ma vie. Après m’être habitué à la présence de son mari qui nous shootait, j’ai pris de l’assurance et posé mes mains sur les seins absolument sublimes de celle qui me pompait la bite avec délice.
Le reste s’est déroulé dans la chambre, Khadi m’a resucé le dard avec un appétit équivalent à son talent, elle avait une façon d’enrouler sa langue autour de ma tige qui me rendait fou, aspirant mon gland, gobant mes couilles entières dans sa bouche, j’ai failli juter à trois ou quatre reprises.
À chaque fois, elle l’a senti et a ralenti le rythme, une spécialiste de la fellation à n’en pas douter. Elle s’est relevée, nue, offrant à mes yeux le spectacle divin de son corps ondulant dans la lumière.
Mamba apprivoisé dévorant une moule
Elle repoussait ses lèvres intimes de deux doigts en fourchette, ouvrait ses fesses afin d’exhiber jusqu’à son petit trou, un cône tout lisse et rose qui m’a hypnotisé. Je ne savais pas encore qu’elle avait un appétit tout particulier pour la sodomie et que j’allais pouvoir l’enculer tout mon soûl !
Mais tout d’abord, la demoiselle s’est allongée et a écarté ses cuisses. Sa chatte imberbe était luisante d’une mouille qui sentait fort, un délicieux parfum capiteux et chaud en émanait. J’ai bien compris qu’à mon tour, il était temps que je joue de la langue. Je ne me suis pas fait prier, j’adore déguster une jolie petite moule et celle de Khadidja avait une fragrance totalement enivrante.
Je me suis régalé de ce fruit juteux qui cachait un gros clitoris, un des plus gros que je n’ai jamais vus, une sphère rose et dodue, hyper réactive. Je n’ai eu aucun mal à la porter aux portes du plaisir, ses hanches se soulevaient au rythme de mon cunnilingus et elle a exprimé son orgasme en criant sans se retenir, le pied !
Elle m’a chevauché, son corps souple n’a fait qu’une bouchée de la musculature développée du mien. Légère et féline, elle s’est approprié mon vit et l’a guidé sans l’ombre d’une hésitation vers sa fente brûlante. Se laissant coulisser, elle a apprivoisé mon mamba jusqu’aux couilles en lâchant un souffle de plénitude entre ses lèvres ourlées.
Enculer à tour de rôle
Elle s’est donnée un orgasme en se débattant frénétiquement, ma queue fichée si profondément en elle qu’elle m’écrasait les burnes avec son petit cul bien ferme, petit cul qu’elle m’a présenté alors, se retournant pour m’offrir ses fesses et m’encourager crûment à lui doigter le trou arrière.
La suite était écrite. Mon amante, toujours sous le feu nourri de l’objectif de son patron de mari, s’est proposée à moi en levrette au bord du lit, ouvrant ses joufflus de ses deux mains. Je n’ai plus eu aucune hésitation et j’ai pris ce petit trou de toute la largeur de ma colonne de chair. Je croyais vivre un rêve.
Cette jeune femme était de toute beauté et se donnait à moi par tous les interstices. Je fixais ma pine qui s’enfonçait lentement dans l’anneau serré, Khadi convulsait alors son sphincter et m’en faisait sortir sensuellement avant de quémander une nouvelle intromission.
J’ai accéléré le rythme jusqu’à sentir l’orifice se contracter plus fort que d’habitude. J’ai forcé et suis resté profondément en lui, l’explosion a eu lieu quelques secondes plus tard, une Khadidja criant, éructant, griffant les draps, en proie à un orgasme fou. J’ai éjaculé au plus loin de son trou du cul dans la foulée.
À peine m’étais-je vidé que Jean-Michel me remplaçait et enculait son épouse jusqu’à ce qu’ils jouissent tous les deux, j’ai pris la photo pile au moment où mon boss libérait ses couilles dans le fondement de sa belle !