Petit trou et gros tuyau

La rédaction 15 mars 2019

Hakim, 38 ans, Meudon.

L’an dernier, quand j’ai accepté de remplacer Sam (un pote lui aussi plombier chauffagiste), je ne savais pas encore que j’avais fait la belle opération de la semaine. Je me suis tapé les bouchons du boulevard de La-Chapelle et j’ai débarqué avec mon attirail dans un hammam de Barbès. Il faisait une chaleur à crever dedans : des canalisations avaient pété, et entre l’eau brûlante et le sauna que la patronne n’avait pas voulu couper, je ne vous raconte pas la fournaise…

La patronne, justement, était une belle beurette comme j’aime : la trentaine, maquillée, manucurée… Sophistiquée comme il fait, et surtout la tête de celle qui a une petite chatte bien serrée. Je repère vite ce genre de choses, il faut dire que j’ai une sacrée expérience avec les femmes. Celle-ci, j’ai senti qu’elle allait me faire du bien sans que je force trop. Je suis descendu avec elle dans la pièce inondée et j’ai enlevé mon sweat et mon t-shirt. Je fais pas mal de sport et j’ai un corps qui plaît aux nanas. Ça marche toujours pour leur donner envie d’un peu d’action! De son côté, la patronne a aussi enlevé son pull. On était tous les deux mouillés à cause de la flotte qui giclait d’une canalisation au plafond. Je voyais son soutif à travers son débardeur et pour tout dire, je bandais déjà sec. Elle a dû le sentir parce qu’elle s’est rapprochée et a miaulé un truc du style : « J’espère qu’on va pouvoir faire quelque chose avec ce gros tuyau. »

Classique de la cliente qui fantasme sur le plombier et qui espère se faire démonter entre deux réparations. Je n’ai pas hésité plus longtemps, je me suis jeté sur elle pour lui rouler une grosse belle et tâter ses nibards. Elle enroulait sa langue comme un serpent dans ma bouche, sa main fouillant déjà dans mon calebar. Elle a sorti mon chibre et s’est mise à genoux pour me sucer goulûment. Je l’ai guidé avec mes mains pour qu’elle fasse comme j’aime : un pompage bien profond, en alternant avec des léchouilles sur les burnes. Quand j’ai été suffisamment chaud, j’ai demandé s’il n’y avait pas un endroit où on serait plus au sec. J’avais très envie de la limer, et cette pièce un peu crade me coupait mes effets.

La salope m’a conduit dans son bureau, un réduit équipé d’un canapé et d’une table branlante. Là, elle m’a sucé encore un peu, histoire de faire repartir ma queue qui commençait à retomber. J’avais bien envie de lui gicler sur la tronche mais je me suis retenu. J’ai chopé la catin et je l’ai placée sur la table afin d’ausculter un peu son trou d’amour.

J’avais vu juste : elle était serrée comme une gamine, épilée et juteuse à souhait. J’ai léché un peu la mouille qui perlait entre ses lèvres, pour faire genre que son plaisir m’intéressait. Elle a kiffé : je l’ai entendu pousser des petits cris de chatte en chaleur. J’ai basculé la garce en arrière, écarté grand ses cuisses et rentré mon gland. À l’intérieur, du velours. J’ai fait l’effort d’aller doucement au début et comme elle répondait bien, j’ai poursuivi par un pilonnage en règle. La table tapait le mur de plus en plus fort, et j’espérais qu’il n’y avait pas d’employés dans la pièce d’à côté, sinon la patronne allait vraiment passer pour la salope qu’elle était. Mon chibre faisait désormais un bruit mou en s’enfonçant. Elle était devenue trop ouverte à mon goût, et j’ai donc décidé d’aller voir du côté de son cul.

Mon dard était tellement trempé que j’ai pu sans difficulté enfoncer mon bout dans son fion. Elle a gémi, l’air contrarié, mais n’a pas vraiment résisté. J’en ai profité pour enfoncer quelques centimètres de plus, en écartant ses miches pour faciliter le travail. Je ne sais pas si elle était vierge du derche, mais en tout cas, j’étais serré comme dans un étau. Un vrai kif, qu’elle n’avait pas l’air de partager. J’ai poursuivi malgré tout jusqu’à être au bord de jouir. J’ai quand même choisi de ne pas décharger dans son cul, histoire qu’elle ne vienne pas se plaindre après coup. J’ai sorti ma bite et j’ai fait mettre ma pute à quatre pattes, la bouche bien ouverte. J’ai tiré un peu sur mon noeud et j’ai joui, trois belles rasades qui ont recouvert sa langue et ses seins. Pas rancunière, elle a étalé mon foutre sur ses loches avec un air gourmand.

J’ai terminé la réparation en deux heures et j’ai filé sans laisser d’adresse. Mon pote Sam m’a dit que la patronne du hammam l’avait rappelé plusieurs fois pour savoir si je pouvais revenir. Je n’ai pas donné suite, un peu déçu que la garce n’ait pas été plus réceptive à certaines pratiques. Mais je ne regrette pas cette histoire, et il m’arrive même de me taper une bonne queue en pensant à son petit trou bien serré.

(Photo à la une : Getty Images)

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« C’est le plombier ! »
« Un jour, mon boss m’a appelé pour m’informer qu’une cliente avait signalé une fuite d’eau chez elle. Il m’a demandé de passer voir et de prendre quelques photos. La locataire était une belle métisse très peu vêtue qui n’arrêtait pas de me sourire. Ses deux beaux seins très découverts étaient bien galbés par son t-shirt très court. » Nicolas. 

À fond dans le siphon
« Je suis plombier, et depuis vingt ans que je fais ce boulot j’ai vu des choses pas croyables : des maisons bordéliques, des petits vieux qui font exploser leur chaudière et un paquet de nanas qui aiment se faire ramoner par des ouvriers (de préférence bien rustres et en bleu de travail). » Séverin.

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  • Lilly

    Récit excitant. On a envie de faire la même chose.

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