Mon voisin est mon voyeur
10 novembre 2023Yves, 32 ans, et voyeuriste profite des ébats de sa voisine. Un jour, elle le remarque, la situation va prendre une tournure inattendue !
Je viens d’emménager dans un très bel appartement à Créteil il y a quelques mois, avec beaucoup de vis-à-vis. Je sais que la plupart des gens détestent ce type de configuration, mais pour un voyeuriste de ma trempe, je peux vous assurer que ce critère a été déterminant dans le choix de ma location. Un cinquième étage sur une rue à sens unique, à 5 mètres à peine de l’immeuble d’en face. Pas beaucoup de luminosité, certes, mais un accès direct à l’intimité de tous mes voisins ! Je m’appelle Yves et je vous raconte mon histoire de sexe .
A la fenêtre d’en face !
Et par miracle, la fenêtre en face de la mienne donnait sur le charmant appartement à la décoration scandinave d’une jolie blondinette, dans la trentaine.
Lors de mon emménagement, je la voyais régulièrement avec un beau métisse, et au bout de quelques semaines, ils ont dû se séparer. Je l’avais surprise, un soir, à dormir sur le canapé. Et je ne l’ai plus jamais revue.
C’était dommage car tous les deux m’avaient donné à voir une des scènes les plus torridesde mon expérience d’espion. Ils avaient pris soin de fermer les rideaux mais j’avais quand même pu suivre leurs ébats en ombre chinoise, à travers le tissu de velours rouge. Elle était en amazone sur lui, et ses petits seins ronds resplendissaient à ma fenêtre comme deux belles lunes sombres, déformés par les replis du drap.
Je me souviens m’être masturbé frénétiquement après ce spectacle nocturne incroyable, dont je m’imaginais les cris et les détails.
Fenêtre sur cour(be)
Depuis que le métisse est parti, ma voisine est beaucoup moins méfiante, et elle se change parfois devant ma fenêtre, oubliant que tout un immeuble peut la mater. Alors moi, je m’installe dans un petit coin et je la regarde.
Un après-midi lors d’un week-end, elle m’a surpris et a refermé violemment les rideaux, manifestement très en colère. Quelques dizaines de minutes à peine après, on sonnait à ma porte. Mon cœur battait la chamade. J’ai ouvert, c’était ma concierge qui m’a dit d’une voix basse : « J’ai lavoisine d’en face qui cherche un homme au cinquième étage, plutôt brun et dans la trentaine. Ce ne serait pas vous, par hasard ? ».
J’ai haussé les épaules en lui disant que je voulais bien la recevoir, même si je ne savais pas pourquoi. Mes mains étaient moites et je trépignais sur place, à la fois excité et angoissé de me retrouver nez à nez avec mon fantasme.
La concierge a laissé monter la voisine qui s’est immédiatement égosillée dans le couloir en hurlant un « VOUS ! » accusateur. Je l’ai fait rentrer très vite en mettant une main sur sa bouche « Mais ça va pas ?! Je viens tout juste d’emménager ici, j’ai une réputation à me faire ! Et puis, je fais ce que je veux chez moi. Et si mon occupation, c’est de mater les voisins, je ne vois pas ce qu’il y a de mal. Vous n’aviez qu’à faire attention. »
Furieuse, elle m’a insulté de tous les noms, dont « gros porc », ce qui est assez drôle car je suis de constitution assez mince. Je lui ai fait remarquer, le sourire aux lèvres. Elle s’est alors calmée, fatiguée, voyant que j’étais inatteignable dans ma honte. Elle s’est jetée dans mes bras en s’excusant, en me disant qu’elle était à fleur de peau depuis que « Chris » l’avait quitté. Le métisse, donc.
De voisine à coquine
Compatissant, je lui ai dit que je la comprenais, que c’était un très bel homme et qu’ils formaient un couple très esthétique que j’avais aussi pris plaisir à espionner. Rassurant, j’ai parié qu’elle retrouverait quelqu’un rapidement, elle n’avait pas à s’inquiéter. Je lui ai demandé son prénom. Elle m’a dit « Claire ». Je l’ai embrassée. Elle a rougi.
Elle est repartie en courant chez elle – et le lendemain, elle avait affiché « C’est quoi votre numéro ? », sur une feuille blanche à sa fenêtre.
J’ai affiché un code à 4 chiffres, celui de mon entrée. Elle l’a compris, et quelques jours plus tard, elle a sonné chez moi. Et j’ai vécu un des moments les plus magiques de la vie d’un homme. Elle a fait tomber son manteau dans mon couloir, elle était en sous-vêtements dessous. Hébété, je n’arrivais plus à sortir le moindre son de ma bouche.
Elle m’a débraguetté et m’a donné la plus belle fellation de toute ma vie. Elle suçait ma queue raide comme une pro, en faisant des petits mouvements de langue délicieux autour de mon gland, si bien que j’ai failli débander, tellement la situation était improbable. J’ai quand même pris quelques photos pour m’en souvenir. Croyez-moi, j’ai connu beaucoup de femmes, mais une voisine comme ça, jamais !
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