Poste de secours

La rédaction 24 juillet 2024

Max, 29 ans, se fait sucer avec son pote Didier par Myriam. Une baigneuse qui n’a pas froid aux yeux.

Poste de secours histoire de sexe

Samedi soir dernier, j’ai dîné chez des amis. Nous étions trois couples et une femme célibataire, Elsa, qui a été le boute-en-train de la soirée. Après le repas, à l’heure du digestif, Elsa a entraîné la discussion sur un terrain un peu plus sexuel. Jolie femme, sourire franc, seins ronds, très sympathique, à se demander pourquoi elle était toujours célibataire !

Elle voulait connaître notre aventure la plus incroyable. La maîtresse de maison, Catherine, s’est lancée sans complexe : une histoire dans un ascenseur, coincée pendant deux heures avec son voisin de palier. Je jetais des coups d’oeil à son mari, qui semblait prendre pas mal de plaisir à l’écoute de la femme de sa vie. Elsa piaffait d’impatience, elle voulait raconter la sienne, qui s’est avérée très rigolote. Moi, je me suis tu. Mon épouse l’aurait mal pris si j’avais relaté une anecdote. Elle est du genre à être jalouse, même de mon passé. Mais je mourais d’envie de dévoiler mon histoire. Je m’en souviens comme si c’était hier. La voilà donc pour interstron.ru et ses lecteurs. Voici mon histoire de sexe.

Quand j’étais étudiant en médecine, j’ai bossé sur une plage en tandem avec un copain, à un poste de secours. On faisait la tranche 10 h-19 h. Un soir, vers 19 heures justement, la plage s’était vidée, il faisait encore chaud. On a vu arriver une femme seule, maillot de bain deux pièces, peu de tissu, des fesses et des seins ronds comme une provocation. Elle s’est dirigée droit vers nous. Elle voulait qu’on garde son sac à main pendant qu’elle se baignait.

Un maillot de bain excitant

Elle minaudait, disant qu’il y avait des choses de valeur dedans. On a bien essayé de lui faire comprendre qu’on avait terminé, qu’on partait, mais c’était le genre de brune incendiaire qui ne prenait jamais « non » pour une réponse. On a fini par céder. On l’a regardée barboter un bon quart d’heure, et elle est revenue, entièrement trempée. Son petit maillot de bain blanc était devenu complètement transparent, et on pouvait discerner ses gros mamelons aux tétons pointés, ainsi que sa large toison noire.

A l’époque, Didier et moi, on était plutôt beaux gosses. J’ai fait le geste d’aller chercher son sac et sa serviette qu’on avait mis dans un coin du poste de secours, mais elle a protesté : « Non, ne vous dérangez pas. » Elle est entrée, a fermé la porte derrière elle, et elle s’est baissée pour ramasser son sac, nous offrant une vue plongeante sur sa croupe diabolique. Elle s’est retournée et nous a dit : « Je suppose qu’il y a des frais de garde, non ? »

Deux queues pour le prix d’une

Voyant notre air incrédule, elle a éclaté de rire et elle s’est approchée de moi en premier. Elle a baissé mon maillot de bain (à 20 ans, j’étais toujours bronzé et bien musclé). Sans que j’aie le temps de réagir, mon pénis gonflait dans sa bouche. La femme fatale a fait signe à Didier de se rapprocher aussi. Il a sorti sa bite lui-même, et elle l’a masturbé d’une main pendant que de l’autre, elle jouait avec mes boules et elle me pompait comme si elle voulait avaler ma queue.

J’avais eu des copines, mais c’était la première fois qu’on me faisait une telle fellation. Je n’ai même pas eu le temps de l’avertir qu’elle s’est retrouvée avec du sperme partout, sur ses cheveux, ses lèvres, son buste. Ça a fait comme un tuyau d’arrosage qu’on laisserait échapper de ses mains.

Myriam (c’était son prénom, elle nous l’a dit après), ça n’a pas eu l’air de la gêner. Elle a posé un bisou sur le bout de mon gland et s’est attaquée à Didier, qui a mis plus de temps à jouir. J’étais comme fou. Je n’en revenais pas. Ensuite, elle s’est renseignée sur nos jours et horaires de travail et elle est partie. Hélas, on ne l’a jamais revue.

(Image à la une : Getty Images)

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