Seb, c’est bien !
14 décembre 2024Luis profite que son ami Seb ouvre son couple au libertinage pour coucher avec sa femme.. Une surprise lorsque celle-ci aime le BDSM !
Quand mon pote Seb m’a appris que lui et Maeva, sa nana, allaient ouvrir leur couple, je me suis frotté les mains. J’avais toujours eu envie de sauter Maeva. D’autant que Seb n’arrêtait pas de vanter ses prouesses et ses fantaisies au lit. Apparemment, elle était une vraie magicienne du cul. Elle connaissait notamment l’art du bondage, les cordes, et c’était ce truc-là qui m’intéressait en particulier.
J’avais bien envie de tester des trucs un peu moins classiques au lit. Et elle semblait être la coéquipière idéale. Je m’appelle Luis et voici mon histoire de sexe !
Rencontre torride
Je lui ai proposé d’aller boire un verre et je lui en ai touché deux mots, en essayant de pas être trop maladroit. Eh bah la conclusion, c’est que j’ai bien fait. Elle était super chaude pour tester des trucs avec moi aussi ! Elle m’a dit qu’elle avait toujours senti chez moi un potentiel dans la sensualité et le sexe. Nous avons choisi de ne pas dire tout de suite à Seb qu’on essaierait ensemble, seulement si on était amenés à avoir une aventure suivie.
Mais quand elle s’est autorisée à découcher chez moi, elle s’est vraiment donnée à fond. Elle voulait se soumettre à moi, dans les cordes. Comme c’est elle la pro, elle qui a pris les devants. Chez moi, on s’est d’abord chauffés en s’embrassant et en se caressant pour voir si l’effet qu’on se faisait se confirmait.
C’était bien le cas, dès qu’elle a posé ses lèvres sur moi, j’ai eu envie de sauter au plafond ! Mais genre direct, un truc rarement ressenti chez moi.
Approfondissement de la rencontre
Dans la chambre, elle a sorti son matos, car c’est une vraie aventurière, la nana ! Elle s’est mise nue, trop canon, avec ses tatouages au-dessus du sexe et des fesses. Les lèvres humides de sa chatte, les poils autour qui lui faisaient un joli habit…
Vous voyez, je deviens à moitié lyrique en en parlant. Bref, elle s’est fait passer une corde entre les cuisses, autour des bras, des poignets, de façon à se saucissonner de manière artistique… Elle m’a laissé le soin de nouer les derniers nœuds pour qu’elle soit prisonnière de ses liens.
Quel tableau sensationnel ! Ce corps méga sexy et si bien roulé attaché avec une corde lui passant dans le cul, venant caresser les petites lèvres de son sexe et la pointe de ses seins… Je serais mort bête et ignorant si j’étais passé à côté d’une performance pareille. J’ai attaché ses poignets avec une ceinture en plus pour la contraindre davantage. J’ai fait passer une autre ceinture de cuir tout contre son sexe pour y marquer une pression supplémentaire.
Le rapport s’intensifie
Elle a gémi d’aise. J’ai posé un bandeau sur ses yeux et me suis avancé au niveau de son visage. Elle était ligotée et ne pouvait rien faire. Il fallait un certain cran pour se laisser ainsi entreprendre par un mec qui faisait de vous sa poupée vivante…
Mais elle avait l’air de kiffer autant que moi. Sa bouche entrouverte guettait l’arrivée de quelque chose. J’ai sorti ma teub pour la lui fourrer dans le gosier. Quel choc que sa bouche contre ma grosseur. Sa bouche prête à la faire disparaître jusqu’à la garde avec une voracité sexuelle surprenante… Comme elle avait les yeux bandés, je pouvais l’observer à ma guise, regarder son bronzage qui tranchait avec les cordes blanches sur sa peau, les lèvres humides de son sexe qui sortaient légèrement, si mignonnes…
Un photographe improvisé
Elle adorait perdre le contrôle, m’a-t-elle dit. J’ai pris des photos pour garder la trace de cet instant et ça l’a excitée de savoir que je faisais ça, que je l’érigerai un peu en trophée si on veut… Elle se sentait quand même maîtresse de tout ce qui se passait. Elle a tendu la main à l’aveugle pour chercher ma queue et se mettre à la branler, un geste qui resserrait les cordes encore plus autour d’elle.
Elle me voulait, elle voulait ma queue en elle. Je l’ai baisée dans les cordes, sur le lit. J’ai baisé son corps contraint et immobilisé. Il y avait même un bout de corde qui s’enfonçait de plus en plus dans son cul sous mes coups de boutoir, et les nœuds autour de ses mains s’enfonçaient eux aussi un peu plus dans sa peau. Ça me faisait un effet bœuf de la prendre dans ses circonstances, ça changeait du missionnaire du samedi soir… J’allais finir par tomber amoureux si elle me rendait à ce point dingue de son corps.
Fin du bondage ?
J’ai délié les cordes en prenant soin de frotter sa chatte avec et de les retirer doucement en les faisant couler le long de son anus… Elle a eu l’air d’adorer, au point qu’elle s’est mise à quatre pattes pour que je l’encule… J’ai obtempéré et j’ai foutu ma grande tige raidie dans son fion. Les ondulations du bassin de cette diva du sexe me rendaient ouf.
Je l’ai niquée tout en lui arrachant des gémissements de plus en plus bruyants. Elle était une tigresse qui, une fois détachée, était prête à me dévorer en m’avalant tout cru en elle. J’étais tellement à fond que lorsqu’elle s’est retournée pour planter ses yeux dans les miens, j’ai tout lâché sur son ventre. Ça faisait une flaque de sperme sur son bassin et sa peau bronzée. Un petit lac de désir. La photo de ce final est toujours restée une image bandante pour moi, et pour elle aussi.
(Source image à la une : Shutterstock)
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