Un anniversaire tout en pluralité

Manu, mon mari, veut toujours me faire plaisir, alors quand j’ai eu quarante ans, il m’a organisé une fête magnifique, réunissant tous nos amis lors d’un week-end de folie sur une péniche. Nous avons vécu une histoire de sexe. Le dress-code était « black and white ». Nos invités étaient très chics et prêts pour une soirée de danse et de fantaisie. Évidemment j’ai reçu mes cadeaux et mon époux m’a juste glissé une enveloppe dans la main. À l’intérieur, il y avait le plan du bateau et des indications pour me guider à travers les coursives.

Intriguée, je me suis prêtée au jeu de piste, Manu m’accompagnant avec un sourire coquin. J’ai compris pourquoi en entrant dans la pièce que constituait ma destination, trois beaux mâles m’attendaient, entièrement nus, la bite à la main, leurs sexes énormes déjà en érection ! J’ai été déshabillée, les hommes commentaient mon physique, me palpaient les seins, les fesses, complimentaient telle ou telle partie de mon anatomie, j’étais une pouliche qui passait de bras en bras, j’ai adoré ce moment !  Manu a sorti son boîtier et a commencé à shooter, il a fait coup double, nous avons de jolis souvenirs et cela m’a follement excitée !

Les hommes commencent à me prendre

On m’a caressée longtemps, de manière légère et superficielle puis les mains se sont raffermies, affirmées, les effleurements se sont fait malaxages, les hésitations à l’orée de mes orifices se sont transformées en pénétrations profondes et variées. J’étais déjà au bord du précipice bien que je n’aie pas tripoté encore une seule queue, que je n’aie rien à me mettre sous la dent alors que les barres que ces messieurs affichaient devant moi me donnaient l’eau à la bouche … et ailleurs. Mais c’est seulement après qu’ils aient chacun leur tour sondé tous mes trous que j’ai enfin pu faire plus ample connaissance avec ces trois belles bites anonymes. Deux noires et une blanche (plus celle de mon époux), les blacks sont mon fantasme absolu, peau de soie, puissance physique, endurance au lit et, bien sûr, des sexes aux dimensions flatteuses, surtout pour moi qui aime par-dessus tout me faire dilater la chatte comme l’anus.

Allongée, accroupie, la tête renversée, j’ai sucé les quatre mâts dans toutes les positions possibles. Mon mari en premier, histoire de marquer mon territoire, puis les autres par taille croissante de phallus. Évidemment j’ai terminé par mes deux amants ébène dont un avait un machin vraiment énorme. Les bâtons ayant tous goûtés de ma bouche, j’ai réclamé mon dû. Après tout, ils étaient mon cadeau d’anniversaire !

J’avais déjà participé à quelques partouzes, mais jamais à un gang-bang. C’est une expérience unique que je recommande à toutes les femmes, cela soigne l’ego que d’avoir plusieurs hommes seulement dédiés à votre plaisir !

Je prends les garçons l’un après l’autre

J’ai reçu chaque garçon en moi, l’un après l’autre, ils s’enfonçaient dans mon tunnel onctueux tandis que j’en suçais deux supplémentaires, le dernier caressant mes seins ou mes fesses. J’ai bien aimé aussi quand, allongée sur le dos, un beau black me pilonnait la chatte, le second me donnait son pieu à mettre en bouche pendant que je branlais mon mari et notre dernier compagnon de route. J’étais surexcitée de toutes ces queues dressées qui ne débandaient pas et me fourraient les unes après les autres. J’ai connu quatre orgasmes terribles qui sont allés crescendo au fur et à mesure de la soirée.

Le summum a été atteint lorsque plusieurs doigts ont commencé à me trifouiller par derrière. Mon anus est très sensible, mais une fois dompté et bien lubrifié, il accepte des diamètres étonnants. C’est donc mon mari qui s’est chargé de m’huiler le conduit, il a fait de même avec les quatre sexes durs comme de l’acier, les types se sont laissé faire à ma grande stupéfaction. De mon côté, regarder mon Manu tripoter trois bites ainsi m’a liquéfiée ! J’ai toujours été fortement excitée par les scènes gays dans les pornos que nous mâtons, là j’y assistais en vrai ! On m’a installée sur le dos afin que je puisse un peu voir ce qui se passait et mater celui qui me défonçait le cul. Les sodomies se sont succédé, langoureuses, profondes, énergiques. Les gaillards m’ont démonté le petit trou avec une vigueur qui ne s’est pas démentie jusqu’à ce que je prenne un pied terrible lorsqu’on m’a caressé le clitoris et enfilé plusieurs doigts dans la chatte, presque jusqu’au fist !

J’ai terminé cette formidable partie fine en suçant mes amants l’un après l’autre et en les faisant éjaculer sur mes seins. Manu est passé en dernier et j’ai avalé sa semence dont je raffole, un sperme bien crémeux et abondant que j’ai gardé longuement en bouche avant de déglutir. Il m’a fallu un peu de temps pour retrouver mes esprits et remonter avec les reste de mes invités…

A lire aussi :

J’aime les bites

Triolisme pour un jeune geek

Mes trois énormes bites