Une rencontre au poil
4 juillet 2024Roxanne, 23 ans va chez sa copine pour se faire raser le minou mais tombe sur son frère. Lui aussi expert dans le rasage, il s’occupe de Roxanne plus en profondeur.
Les instituts de beauté, j’évite, surtout quand il s’agit de me faire épiler le minou. Je préfère confier ça à une copine. Un samedi, on était convenues, avec une collègue et amie, de se faire mutuellement le maillot. Voici mon histoire de sexe.
A 15 heures, j’ai sonné à la porte de son petit pavillon. Un type m’a ouvert, qui s’est présenté comme le frangin de Sandrine, de passage à Paris pour trois jours. Il m’a proposé un café en s’excusant de la part de sa sœur, qui avait dû filer pour une raison que je n’ai pas bien comprise. Jonathan avait l’air plutôt sympa, et il était beau gosse. On a bavardé, et je lui ai expliqué pourquoi j’étais passée. Il a répondu : « Ah ça, c’est ma spécialité. Je ne sais pas le faire à la cire, mais avec le rasoir, je peux te faire un truc nickel. » J’ai rougi comme une pivoine, n’osant pas prendre sa proposition au sérieux. Mais il a insisté, en ajoutant qu’il était infirmier, et que des nanas à raser, il en voyait tous les jours au boulot. J’ai dit OK.
Un rasage et du jus
Il a proposé qu’on s’installe dans le jardin. Je l’y ai attendu pendant qu’il allait chercher ce qu’il fallait dans la salle de bain. J’ai ôté ma jupe et ma culotte en coton. Je me sentais un peu gênée. Je me suis allongée, jambes écartées. Jonathan est revenu. L’air appliqué, il a étalé la mousse, puis il m’a rasée délicatement, découvrant au fur et à mesure la peau pâle et douce de mon minou. J’étais remuée par cette séance de rasage. L’odeur de mon excitation me remontait aux narines. J’ai essayé de penser à autre chose, sans résultat. J’étais devenue une usine à jus de moule. J’ai avalé ma salive et fait comme si de rien n’était.
Jonathan ne parlait plus, concentré. J’ai vu qu’il « réagissait« , lui aussi. On a continué à jouer les hypocrites, à faire comme si de rien n’était. Il m’a rincée à l’eau tiède. Au moment de me sécher, j’ai articulé timidement : « Ça ne sert à rien, tu vois bien que le terrain est bien trop mouillé. »
Un ange est passé, et le frangin de ma copine a répondu : « Je vais essayer de te sécher avec la langue, alors. » Oups… Ses mains se sont posées sur mes fesses, et sa langue rosée s’est immiscée entre mes grandes lèvres pour explorer tous mes replis intimes. Jonathan a joué avec mon petit bouton, puis l’a suçoté longuement, du bout des lèvres, avant de parcourir tout mon sexe du plat de la langue, lentement. Puis, il est descendu plus bas, et a littéralement bu le jus qui s’écoulait moi pour m’embrasser, déposant mon goût sucré sur mes lèvres.
Pénétration avec force
D’une main, il a défait son short, et sa bite a tâtonné pour trouver l’entrée de mon intimité. Il est entré comme dans du beurre. Aplati contre moi, il m’a pénétrée avec tant d’énergie, de force, que je suis montée directement au septième ciel. C’était comme si son pénis avait été sculpté exprès pour mon vagin. J’ai eu des orgasmes à la chaîne, une explosion de feux d’artifices. Je me suis retenue de crier à cause des voisins.
Jonathan est sorti de moi. Il s’est masturbé au-dessus de mon visage. Sa queue a tressauté, j’ai ouvert grand la bouche. Plusieurs giclées de sperme moelleux ont atterri sur ma langue, la dernière a coulé sur mon menton. On a roulé dans l’herbe en s’embrassant. Ensuite, on est rentrés, dépenaillés. Et là, on a croisé Sandrine, qui arborait un sourire ironique. À coup sûr, elle nous avait vus et entendus. Elle a juste laissé échapper : « Je vois que vous avez déjà fait connaissance. »
(Image à la une : Getty Images)
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