Envoie le jus !

La rédaction 6 juin 2021

Le mari de Bérangère, 46 ans, ne la désire plus. Qu’a cela ne tienne, la belle franchit le pas de l’adultère et s’éclate avec le beau Said.

Je suis une mère de famille comblée par ses quatre enfants mais j’ai une vie triste au lit. Mon mari ne me désire plus, sans doute à cause des kilos de mes grossesses, et j’en souffre. Heureusement, je vais acheter votre magazine et ça me fait du bien de lire les histoires coquines. Je m’imagine à la place de ses femmes libérées… Enfin ça, c’était avant, parce que j’ai osé franchir le pas de l’adultère avec un beau mâle. Je vous raconte mon histoire porno. 

Son nom ? Saïd.

Pour commencer, je l’ai eu au téléphone. Mais pas sur une hotline, hein ! Simplement pour confirmer l’installation de la fibre optique chez nous. L’employé devait venir le vendredi matin à 9 h. Quand nous nous sommes parlés, j’ai aimé sa voix, mais je n’ai pas voulu me faire des films – il était peut-être vilain, ou bien, il n’allait pas aimer mes formes. En tous cas, il a été particulièrement agréable, finissant même l’appel par un « Vivement vendredi ! ». Un peu étrange, mais très agréable à entendre… Le matin-même, j’ai préparé les enfants pour l’école puis ils sont partis avec leur père. Toute guillerette, je suis allée à la salle de bain et je me suis pomponnée.

Pour commencer, j’ai épilé mes jambes, puis mon sexe, ce qui ne m’était pas arrivée depuis presque un an. J’ai dessiné un triangle bien net au-dessus de mon clitoris et j’ai admiré le résultat dans la glace. Je me suis trouvée pas mal, mes joues rosies par l’eau chaude et mon corps voluptueux maintenant tout lisse. Mes réflexions ont été interrompues par le bruit strident de la sonnette. Prise par mes ablutions, je n’avais pas vu qu’il était 9 h ! J’ai attrapé mon peignoir, une serviette et j’ai foncé vers l’entrée, en mettant de l’eau partout au passage.

En ouvrant la porte, j’ai dû avoir l’air d’une folle ! Toute rouge, essoufflée, les cheveux en bataille… Saïd, lui, était parfait. Un beau reubeu d’1,80 m environ, mat de peau et avec des yeux intenses bordés de cils très longs. En me voyant, il aurait dû se moquer, mais pas du tout. Il est entré, s’est essuyé les pieds sur le paillasson et m’a regardée d’un air intense.

Sa belle voix grave a résonné dans l’entrée : « Pardonnez-moi, mais je vois des choses que je ne devrais pas voir ». J’ai baissé les yeux et constaté avec horreur qu’un de mes tétons dépassait du peignoir.


J’ai balbutié une pauvre excuse et j’ai fait mine de me rhabiller. Mais Saïd a intercepté mon geste, sa main se posant sur mon sein lourd. « Je n’ai pas voulu… Je veux dire, ça me plaît… ». J’ai vacillé sous le contact de cette main chaude. Le beau reubeu s’est avancé tout près et nous nous sommes embrassés.

Quel délice, un peu d’amour sur mon corps laissé en friche !

Saïd m’a fait basculer sur le canapé tout proche et le peignoir s’est ouvert en grand. J’étais si gênée tout à coup d’exposer mes plis et mes rondeurs. Mais Saïd a pris un air si gourmand que j’ai été rassurée.

D’un coup, je l’ai vu plonger à l’intérieur de mes cuisses… Je n’avais pas eu droit à un cuni depuis si longtemps que j’ai joui en trois coups de langues, en me cramponnant aux épaules de l’installateur.

Mon orgasme l’a rendu comme fou. Il m’a soulevée, m’a retournée sur le ventre et je l’ai senti écarter mes grosses fesses puis cracher dedans. J’ai gémi comme un animal, attendant la sentence. Elle a pris la forme d’une énorme queue turgescente, qui s’est enfoncée dans mon anus. Le nez projeté dans les coussins du canapé par la force des coups de boutoir, j’ai mordu le tissu pour ne pas hurler. Saïd, lui, ne se contrôlait plus, me donnant du « grosse chienne » entre deux râles. J’aurais pu me sentir humiliée, mais la situation était juste trop excitante… J’ai senti un nouvel orgasme monter, mais différent, unique.

Un orgasme anal, qui a éclot comme une fleur, explosant jusqu’en haut de ma colonne vertébrale. J’étais tellement sonnée que j’ai à peine senti Saïd éjaculer, ses sons inarticulés me parvenant comme depuis un bocal.

Le beau mâle s’est redressé et je me suis retournée pour l’admirer, lumineuse de plaisir. Nous nous sommes câlinés, avant que l’employé ne se mette au travail. Depuis, je n’ai qu’une envie : le revoir. Je songe débrancher l’installation pour qu’il revienne me mettre un coup de jus.

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