Une rencontre sexplosive !

La rédaction 4 août 2019

Gabriel, 38 ans.

Une rencontre sexplosive ! histoire de sexe

Lise avait tout juste 30 ans quand je l’ai rencontrée. Elle était du genre explosif, de longs cheveux châtain foncé, des yeux bleus très clairs, des fesses hautes et musclées, une taille fine, de petits seins en poire… La perfection faite femme. La fille que n’importe quel mec rêverait d’avoir dans son pieu ! Nous nous sommes rencontrés par l’intermédiaire d’une annonce sur Internet. Moi qui n’ai jamais vraiment cru à ce type de démarche, j’ai été extrêmement surpris lors de notre premier rendez-vous, d’abord par son physique, car elle correspondait parfaitement — et même en mieux — à ses photos et à la description qu’elle faisait d’elle-même.

Au cours de notre première conversation, elle m’a confié que son emploi du temps ne lui permettait pas de draguer, et qu’il était plus simple pour elle de rencontrer des mecs sur Internet. Elle a ajouté qu’elle avait connu des dizaines d’hommes, mais souvent, ils avaient un problème avec elle : son incroyable appétit pour le sexe les déstabilisait ! Voilà qui m’a un peu mis la pression ! Mais, en même temps, ça m’a excité. Elle savait ce qu’elle voulait, et moi aussi d’ailleurs ! Nous avons pris une chambre d’hôtel et, à peine la porte claquée, nous nous sommes sautés dessus et nous nous sommes arraché nos vêtements… Elle m’a poussé sur le lit et s’est jetée sur ma queue pour la sucer. J’ai compris ce que voulait dire l’expression « bouche à pipes ». Lise était un véritable aspirateur à bites. Elle me pompait en faisant coulisser à un bon rythme ma queue dans sa bouche, essayant à chaque fois de l’enfoncer le plus loin possible… Sa main empoignait ma tige, elle faisait tourner son poignet avec une dextérité qui révélait une grande expérience. Quel délice ! Moi qui déteste les filles qui se contentent de téter bêtement, j’avais affaire à une véritable amoureuse de la queue, et j’ajouterai même : une amoureuse du pouvoir que sa bouche lui procurait. Sentant que j’allais jouir un peu trop vite, je lui ai fait comprendre que je préférais qu’elle lâche un peu mon engin. « OK, j’y touche plus« , a-t-elle dit. Elle s’est mise à me lécher les couilles, à cracher dessus, à les masser du bout des doigts…

Je ne savais pas trop comment lui faire comprendre que j’avais envie qu’elle s’occupe de mon anus. J’ai tout simplement tendu mon bassin vers elle, en levant légèrement le cul. Elle a évidemment tout de suite compris. Elle a écarté mes fesses à pleines mains pour bien dégager mon trou du cul, s’est approchée de très près pour le renifler. Visiblement excitée par le parfum musqué que je devais dégager à cet endroit, elle s’est mise à me lécher passionnément. D’abord, elle m’a donné de grands coups de langue à plat puis, sentant que je me détendais vite, elle a essayé de s’enfoncer de plus en plus loin. Je me sentais glissant, humide, odorant, luisant de salive. Comme elle se tenait à quatre pattes sur le lit, je lui ai demandé de se mettre au-dessus de mon visage, en 69. Elle s’est positionnée ainsi, m’offrant une vue sublime sur sa chatte rasée, humide à souhait, aux lèvres gonflées de désir. La mouille de son fourreau brûlant luisait, tandis qu’au-dessus, son anus palpitait, appelant lui aussi mes doigts, ma langue… J’ai commencé à lui titiller le bouton, puis je me suis promené de son clito à son cul avec le plat de la langue. Je m’enivrais de ses parfums. Je la buvais littéralement. Elle s’est remise à s’activer sur ma queue. Mais cette fois, elle a tenté en plus de m’enfoncer un doigt dans le cul. J’ai voulu l’en empêcher, sentant que je ne pourrais pas résister bien longtemps à un tel traitement. Mais son index mouillé s’est enfoncé dans mes profondeurs rectales sans rencontrer la moindre résistance. Abandonnant ma bite, elle s’est mise à chercher ma prostate, la caressant de haut en bas… Jamais je n’aurais pensé qu’elle était aussi experte ! Pendant ce temps, je continuais à lui bouffer la chatte et le cul, la fouillant de ma langue et de mon nez, m’enivrant de ses odeurs et sécrétions intimes…

Ensuite nous avons inversé notre position, je me suis mis à quatre pattes au-dessus d’elle pour offrir ma queue à sa bouche et mon cul à ses doigts. Puis, avec l’envie d’en finir, sans doute, elle m’a chevauché. Elle montait et descendait sur ma queue tendue à craquer, sautant comme un cabri, faisant claquer ses fesses contre mes cuisses. Elle s’est renversée en arrière, a empoigné ses seins, comme pour mettre en valeur sa poitrine bombée. Elle me baisait, en me regardant droit dans les yeux, une véritable allumeuse ! Nous avons joui ainsi. Je regrettais de ne pas pouvoir balancer tout mon foutre au fond de son ventre. Hélas, le préservatif, quoiqu’en dise le pape, il est difficile de s’en passer ! Je lui ai donné à sucer mes dernières gouttes de foutre.

Voilà comment s’est déroulée notre première rencontre. Nous sommes sortis de l’hôtel discrètement, comme deux amants fébriles, et nous sommes retournés à nos bureaux respectifs. Tout l’après-midi, j’ai gardé sur ma bouche l’odeur de son cul. Aujourd’hui, Lise est ma femme. Depuis six ans, maintenant. Et nous nous amusons toujours autant…

(Photo à la une : Getty Images)

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