Winnie, oh oui !

Nanou Redacteur 19 mars 2022

Laurent, 62, rêve et fantasme sur son assistante à domicile, Winnie. Cette belle femme des îles le transporte dans des voyages érotiques !

Depuis deux ans, on m’a flanqué une assistante pour personne âgée, Winnie. Une sublime femme noire originaire des îles avec des cheveux flamboyants et à l’accent chantant qui s’occupe de ma maison, deux fois par semaine. Courses, ménage, papiers administratifs, c’est une perle. La vingtaine tout juste, et déjà une maturité et une énergie d’enfer.

J’arrête déjà vos pensées lubriques : jamais je ne tenterai quoi que ce soit avec quelqu’un qui a un écart d’âge aussi important avec le mien, m’entendez-vous ? Cela dépasse ma conception du monde et je ne veux pas lui infliger le naufrage de mon corps vieillissant. Mais dans mes rêves, la jolie Winnie vient et revient me hanter.

Des rêves cochons

A tel point que je me suis dit qu’il serait bien pour ma santé mentale d’exorciser le tout sur un papier ? En tout cas, c’est ce que mon psy m’a conseillé de faire… et qu’elle meilleure thérapie que de livrer le tout à interstron.ru ?

Je vais vous raconter ce qu’il se passe dans mes rêves, le plus souvent. Pour un motif quelconque, nous voilà dans ma chambre à coucher. Winnie, dans sa blouse de service rose pâle, remet les oreillers en place tandis que je suis allongé, le dos un peu redressé, sur mon lit.

En passant près de mon oreille, elle murmure tout un tas de mots salaces avec son intonation, si sensuelle, gorgée de soleil : « je veux ta bite de vieux » « montre-moi que ça bande sous le caleçon » « je veux du sperme 60 ans d’âge ! » N’ayant pas la force de résister à ses sirènes, je lui arrache alors tous les boutons de sa blouse. En fait sortir ses deux gros seins foncés, la tient fermement à l’arrière de la tête et lui fait gober mon membre bien fort.

J’appuie sur le dos de sa tête pour qu’elle s’enfonce au plus loin sur ma queue, que ses lèvres charnues titillent mes bourses où quelques poils, encore, se bataillent le pré carré de mon pubis. « Alors, tu vois qu’il a encore de la vigueur, le vioc’ ». Je lui réponds alors, mélangeant ma rage de me sentir diminué à mon envie de lui faire sentir du plaisir, par tonneaux, par milliers.

Un « vioc » qui a de la ressource

Je la pose ensuite sur le lit, en levrette. Bien sûr, comme il s’agit d’un rêve, elle ne porte pas de culotte. Je lui distribue donc quelques fessées. Faire son service sans culotte, c’est certainement puni quelque part dans son règlement ? Puis je lubrifie mon sexe en lui crachant dessus et m’enfonce alors en elle. Je sens sa chatte chaude, palpitante, m’enserrer fermement ! Comme si elle était vivante. Je lui donne alors de grands et longs coups butoirs.

A chaque fois, je lui demande de me donner une note sur 10, sur la force qu’elle encaisse. Je l’entends progressivement annoncer des chiffres croissants : « 6….8…10 ! 10 ! 10 ! » Et sortir même de mon échelle. Ses deux seins lourds s’écrasent contre le papier peint de mon mur. Ses poignets s’enfoncent dans mon matelas. Sa bouche se déforme de plaisir, répondant à ma puissance par des onomatopées à peine distincts. Les mêmes bruits lourds, emplis de souffle, qui lui prennent quand elle récure fort la tomette de ma cuisine.

Et enfin je jouis dans de grands jets de sperme sur son cul rebondi mais bien ferme. Liqueur qui lui coule ensuite le long de la taille. Blanc sur noir. C’est beau, c’est comme un tableau contemporain, c’est chaud, c’est doux, c’est du Winnie tout craché.
Nous nous endormons ensemble puis elle me m’annonce me retrouver la nuit prochaine, dans mes rêves. Quand je retrouve mon assistante, beaucoup plus prude, dans la journée.

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