Sport de chambre
8 mars 2021Noémie, 29 ans ses ait poser un lapin, heureusement un bel appollon viendra lui remonter le moral.
Je m’appelle Noémie, j’ai 29 ans et voici mon histoire de sexe.
Je m’étais fait salement planter par le beau garçon avec lequel j’échangeais depuis plusieurs semaines sur un site de rencontres. « Un mal de gorge foudroyant » à ce qu’il paraît, l’a empêché de me rejoindre pour la « promenade romantique » dont nous parlions depuis des semaines. Qui utilise encore des excuses aussi minables pour arranger une simple frousse profonde de rencontrer des inconnus ? Je grillais ma clope en contemplant la mer scintiller devant moi. Heureusement, il faisait très beau ce jour-là et la vision apaisante du paysage somptueux me calma un instant.
Finalement, je n’avais peut-être pas tout à fait perdu mon temps. Mais tout de même, j’étais en train d’écrire à ce rustre qu’il aurait pu me prévenir avant. Je m’emmêlais dans les insultes, en cherchant la plus pertinente, quand j’ai entendu « Oh Mademoiselle, on ne photographie pas mes petites fesses ! ». Un coureur du dimanche se retourna vers moi souriant, l’air abruti par l’effort et la sueur, manifestement ravi de sa blague. « Écoutez, j’envoyais juste un message assassin à un poseur de lapin, je ne vous avais même pas remarqué. » Mon bel inconnu a fait mine de s’offusquer et a ajouté en rigolant « Et pourtant, moi qui avais mis mon marcel orange fluo pour que l’on me repère… ». Ça m’a fait rire ! C’est vrai qu’il était de très mauvais goût son haut de sport et qu’il était difficile de passer à côté sans s’en apercevoir. Il m’a gentiment demandée qui avait osé poser un lapin à une aussi jolie fille. Je lui ai répondu avec un ton de provocation « un plan cul ».
Et il m’a proposée de le remplacer. Il était plutôt bel homme avec sa gueule d’ange et ses tatouages de bagnard, et je n’ai pas hésité longtemps avant d’accepter sa proposition. Il m’a prise par la main et m’a demandée mon prénom « Noémie », ai-je juste soufflé, dans un murmure. Il trouvait ça joli, ça m’a fait glousser. Je détestais mon prénom. Sa paume contre la mienne me donnait des frissons, j’avais l’impression de ne plus savoir marcher correctement, ni même respirer sans faire de bruit.
Mon cœur battait la chamade, ma peau transpirait entièrement. Il essayait de faire la conversation et j’essayais de lui répondre, maladroitement. Nous étions deux inconnus dont le désir était sur le point de monter très rapidement, trop peut-être, et nous les gérions comme nous pouvions. C’est-à-dire n’importe comment. Je suivais cet homme dont je ne savais rien : ni l’âge, ni la situation, ni même le prénom. Et ça me faisait mouiller à fond. Il m’a conduit comme ça sur une centaine de mètres, jusqu’à un petit appartement (ou était-ce même sa garçonnière ? Je n’en sais rien) tout en me dévorant des yeux. À peine avions-nous passé le pas de la porte, que je me suis allongée sur le lit et il m’a immédiatement roulée une pelle absolument mémorable. Je n’en pouvais plus, je sentais des gouttes de cyprine glisser le long de mes cuisses.
J’ai alors commencé à me caresser le clitoris du bout du doigt, pour me calmer. Lui s’est tout de suite jeté sur mes nibards bien fermes et a titillé les petites pointes. « Ça te plaît ce que je fais, Noémie ? » m’a-t-il demandé, précautionneux. À cet instant, je me suis aperçue que je ne lui avais toujours pas demandé son prénom ! Tant pis, le mystère de ne pas savoir si un Bertrand, un Rémi ou un Julien m’explorait du bout des doigts m’excitait à mort ! Quelque part, préserver le mystère a cela de bons côtés. Il pouvait même être boulanger, mécanicien ou même pilote de l’air, qui sait ? Je pouvais m’inventer mon fantasme à l’envie, c’était terriblement troublant. Et bien mieux qu’une rencontre sur le net où l’on se donne tous les détails de nos vies respectives sans même se connaître.
J’ai continué à me caresser avec fièvre. Mon clitoris était dur comme du roc, je le sentais. Roméo (appelons-le comme ça, c’est plus romantique) avait maintenant remonté mon petit tee-shirt gris et dévorait des yeux mes seins.
C’est marrant, maintenant qu’ils leur faisaient face, il n’osait plus les caresser. Un peu comme s’il était tombé nez à nez avec une œuvre d’art précieuse, et qu’il fallait se contenter de l’admirer silencieusement. J’ai soupiré un instant – ce que les hommes peuvent être niais lorsqu’ils découvrent le corps d’une femme pour la première fois – et j’ai pris sa main pour venir la coller directement sur ma poitrine. J’ai malaxé mes propres seins à travers ses doigts, pour lui expliquer qu’il n’avait pas à jouer le précieux avec mes deux monts ! Il pouvait y aller comme une bête. Je crois que ma prise d’initiative l’a beaucoup étonnée et il s’est empressé de me serrer du mieux qu’il pouvait. Il m’embrassait comme un fou, sa langue s’enfonçait au plus loin dans ma bouche et caressait mes joues, ma langue, mes dents. De mémoire, je n’ai jamais reçu un baiser aussi passionné… mais également, aussi sale. J’étais tellement dégoûtée que je voulais absolument arrêter. Je l’ai allongé sur le lit, il s’est laissé tomber comme une grosse masse. « Je vais le distraire avec une fellation », pensais-je « Ça va m’éviter d’avoir à nouveau à supporter les assauts de sa langue dans ma bouche. » J’ai lentement retiré son short de course transpirant de sueur. Beurk, j’espérais que j’allais au moins y trouver quelque chose de « pas trop odorant » à l’intérieur. Eh bien non ! En approchant ma tête de son sexe bandant, je me suis aperçue qu’il était gluant et qu’une très forte odeur s’en dégageait. Je l’ai pris dans ma main tel un oisillon tombé du nid, et j’ai commencé à le branler tout doucement.
« MMMhhh, ne t’arrête pas, tu me fais bien bander. Tu as vu comme tu m’excites, tu as l’air vraiment très douée… », commentait mon Jules du moment (appelons-le comme ça). Ses mots me semblaient bien plats par rapport à ma technique, j’avais connu des partenaires de jeux beaucoup plus prolixes et amusants dans le discours. J’avais l’impression qu’il n’était qu’un vulgaire acteur de porno dont le texte aurait été prémâché. Un peu décevant.
Pour laver sa bite bien sale après l’effort, je me suis mise en tête de cracher dans ma main et de le nettoyer en le branlant. C’était assez amusant ! Cela faisait des bulles et des longs filets transparents dégoulinaient sur sa queue. En revanche, je ne suis pas vraiment sûre que ça l’ait rendue « plus propre », elle m’avait l’air tout autant dégueulasse qu’à l’origine. Il fallait donc que j’y aille avec la bouche pour la rendre entièrement « clean ».
J’ai donc avancé ma tête au niveau du gland. L’odeur était tout de même un peu moins forte, et j’ai réussi à engloutir son chibre de cette façon. Il m’encourageait en appuyant doucement sur ma tête. Une façon de m’indiquer la direction à prendre, très certainement ? Je n’avais pas besoin de ça pour savoir où aller : droit vers les couilles, c’est pourtant assez simple. J’observais de très près ses petits poils se couvrir au fur et à mesure de ma bave. C’était absolument adorable. On aurait dit un gazon qui prenait sa rosée du matin. Ma salive restait bloquée en de jolies petites perles brillantes et scintillantes.
« Tu sais ce qui m’excite à fond ? », m’a finalement demandé Germain (appelons-le comme ça) entre deux râles de plaisir. « Que je puisse te bouffer la petite chatte en même temps. » Sur le coup, je l’avoue, j’ai soupiré. Je ne suis pas une grande amatrice des 69, je trouve que cela nous déconcentre grandement dans le plaisir. Penser à recevoir, et donner à la fois. Je n’ai peut-être pas le cerveau adapté pour tout ça. En tout cas, Antoine (appelons-le comme ça) a eu l’air d’apprécier que je lui mette mon derrière sur la tronche. Il m’a léchée gaiement, avec vivacité. Cela devait faire longtemps qu’il n’avait pas eu une chatte en bouche, il avait l’air affamé !
J’ai essayé de le sucer avec la même ardeur. Je plongeais sur sa bite tel un marteau-piqueur. Je la prenais toute en bouche et coulissait dessus avec un rythme effréné. « Aïe ça fait mal ! » s’est-il même écrié au bout d’un moment. J’y suis alors allée beaucoup plus lentement. J’ai serré bien fort son sexe et je l’ai léché de la pointe de langue. Mon amant s’est calqué sur mon rythme et a été lui aussi beaucoup précautionneux avec ma petite chatte. « Mmh c’est délicieux ce que tu me fais. Tu ne viendrais pas me lécher les couilles, par hasard ? ». J’ai changé de position et j’ai alors calé mon visage contre son scrotum. Ses couilles et son cul étaient bien plus odorants que sa queue, et j’ai presque dû retenir un haut le cœur pour ne pas vomir. La transpiration chez les sportifs est quelque chose de terrible.
« Et que dirais-tu d’une bonne levrette ? », lui ai-je dit pour le divertir. Je me suis alors cambrée, la tête contre le matelas, et j’ai offert ma chatte à ses à-coups. Il est entré en moi très doucement, ce qui était fort appréciable. Même s’il l’avait bien lubrifiée un peu plus tôt avec sa langue, mon trou a tendance à mettre du temps avant d’être totalement dilaté. Et en y réfléchissant bien, ce n’était pas mon préféré. « Ça ne te dérange pas si je te demande plutôt une sodomie ? Je préfère… ». L’avantage avec les inconnus, c’est que l’on peut être hyper cash de but en blanc. Il a bloqué quelques instants, je crois qu’il s’y plaisait bien lui, dans mon petit minou, mais il n’a pas su résister à l’appel de mon cul bien longtemps.
Il a craché un peu sur sa queue (je le sais, je l’ai entendu) puis il a étalé sa bave sur son gland. J’ai bien tiré sur mes fesses pour que l’ouverture soit la plus large possible. Aucun souci de son côté, le truc est passé comme dans du beurre. Et voilà mon Alphonse (appelons-le comme ça) qui s’enfonce au plus profond de moi. La douleur se fait ressentir, faiblement. Comme pour me rappeler que ce conduit ne sert pas à ça. Mais le plaisir immense qui l’accompagnait m’a bien fait comprendre que c’était ce qui me plaisait à moi, au plus profond de mes entrailles. D’ailleurs, j’ai tout de suite eu envie de prendre les devants de mon plaisir, et d’arrêter d’être passive, soumise à son rythme et à ses à-coups. « Ça ne te dérange pas si je viens sur toi ? », lui ai-je demandé avec une mine adorable. J’ai bien vu que cela l’embêtait un peu parce qu’il venait tout juste d’entrer, mais bon, il n’a pas pu me refuser ce petit caprice. Il s’est allongé sur lit, la bite fièrement dressée en attendant que je vienne m’empaler dessus.
Joueuse, j’ai pris mon temps avant de planter mon cul sur lui. J’y allais centimètre par centimètre, les fesses bien écartées pour que cela coulisse au mieux. Mon amant du jour n’en pouvait plus de cette délicieuse torture ; il m’implorait du regard pour que j’aille plus vite, que je l’astique plus fort, mais non, je faisais durer le moment exprès. J’adore sentir que c’est moi qui contrôle une relation, qu’elle soit sexuelle ou sentimentale. C’est pour cette raison d’ailleurs que je me suis inscrite sur un site de rencontres. Cela me permet de faire mon choix parmi un tas de prétendants, un peu comme dans un supermarché, et de les piocher au gré de mes envies. Ai-je envie d’un blond ? D’un poilu ? D’un tendre ? D’un dominant. Je réfléchis toujours à mes propres envies intimes avant de faire un choix qui me corresponde. Et plus je me prête au jeu de voir l’autre comme l’objet de mon plaisir, plus je me sens bien, en accord avec moi-même, la libido au top, l’instinct assouvi de femelle en chasse. Si je n’ai pas choisi mon homme de cet après-midi, je choisissais au moins la plupart de nos pratiques. Et ça m’allait très bien. Son engin qui me pilonnait depuis maintenant quelques bonnes minutes dans mon cul me rendait dingue.
D’ailleurs, j’aurai pu jouir, mais je ne l’ai pas fait. L’orgasme a quelque chose d’intime pour moi. À la place, je lui ai dit qu’il pouvait se vider en moi, s’il le désirait. Il a voulu que je le prenne en bouche. Pas de problème. Son sexe qui venait d’entrer dans mon cul sentait extrêmement fort. C’était franchement dégueulasse de le sucer juste après ce qu’il venait de me faire mais tant pis. Comme disait ma mère : « Il faut toujours goûter avant d’affirmer que l’on n’aime pas quelque chose », j’ai quand même tenu à voir ce que cela me faisait. Au final, une fois en bouche, à part un petit goût de sel, on ne sent plus rien. Robert (appelons-le comme ça) a cette fois-ci bien pris les devants. Il m’a enfoncée sa bite au plus profond de moi. Ses cuisses comprimaient ma tête et le haut de mon torse. Je ne pouvais plus bouger. Je me sentais « trou humain », un trou qu’il prenait plaisir à besogner comme il le voulait. Tout d’un coup, j’ai senti son sexe grossir et j’ai su que j’allais me prendre une grosse giclée.
Je n’ai pas bougé, attentive. Il m’a enfoncée son chibre jusqu’à la glotte et a éjecté des litres et des litres de sperme. C’était tellement conséquent que ça a débordé partout autour de mes lèvres. Heureusement, mon prince de la journée prenait soin de bien retenir mes cheveux, afin d’éviter que je m’en colle partout. C’est dans ces moments-là que les petites touches d’attention comptent pour beaucoup. Après avoir fini, il a retiré son chibre de ma bouche et s’est essuyé avec un mouchoir. J’ai enfin osé lui demander son prénom. « Euh, tu vas me trouver bête mais tu t’appelles comment déjà ? ». J’étais rouge de honte de ne pas lui avoir demandé plus tôt, mais en même temps cela m’avait bien excité. « Roméo, Germain, Antoine, Alphonse ou Robert, qu’importe ? », a-t-il répondu avec un sourire en coin. Sa réponse m’a scotchée ! Et moi qui pensais que la télépathie n’existait pas…
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