La chevauchée d’une walkyrie

La rédaction 21 mai 2020

Hortense, 35 ans.

Je suis une amoureuse des chevaux et des courses hippiques, alors pour mes 33 ans, mon mari m’a offert une jument. Deux ou trois fois par semaine, je passais lui rendre visite au haras où le jeune Bertrand était chargé de son entretien. J’avais toujours eu de bonnes relations avec lui. Un jour, il m’a invitée à assister à une saillie. Je ne voyais pas de mal à ça. J’ai accepté, mais j’ai bientôt compris qu’il espérait m’exciter par ce petit stratagème bizarre… Je l’ai regardé faire, c’était fascinant : il a présenté l’étalon à la jument, et l’animal s’est transformé en brute épaisse. Sa rigidité avait des dimensions qui défiaient l’entendement. Je n’ai pas pu retenir un petit gémissement. La bête a henni et s’est cabrée. Si mes deux cuisses n’avaient pas été retenues par mon petit tailleur strict, elles se seraient entrouvertes. Bien entendu, je me suis aussitôt reprise, mais ma réaction n’a pas échappé au petit jeune. Il m’a provoquée du regard et s’est approché de moi. La saillie était déjà terminée… Ça va vite chez les chevaux !

Il s’est autorisé un petit sourire supérieur qui tranchait avec son attitude habituelle. Sur le ton de la plaisanterie, il a murmuré : « Alors, ça t’a plu de les regarder ? » Il m’a fait un grand rire de cochon et a ajouté : « Je suis sûr que c’est une grosse bite comme ça que tu aimerais te prendre ! » Je n’ai pas répondu, mais j’étais tout excitée et je me suis laissé pousser tranquillement vers un box vide.

Ne sachant encore pas ce qui allait se passer, mais n’ayant aucun mal à en imaginer la teneur, j’ai tenté un petit refus, pour la forme, mais Bertrand qui s’était saisi au passage d’une cravache (habile le petit jeune !) m’a simplement attrapée par les hanches et m’a dit : « Allez, viens… » J’avais peur que mon mari nous surprenne, ou l’apprenne d’une façon ou d’une autre. Sa main qui a plongé dans ma culotte a coupé court à mes atermoiements immédiatement : je mouillais et il allait bien me saillir, exactement comme la jument.

Nous sommes tombés sur un tas de foin qui sentait vaguement le crottin. Il m’a mise en levrette et a baissé mon string. « Cette fois, c’est toi qui vas la prendre, ma belle jument ! » Sur cette taquinerie lourdaude, il a pointé sa belle queue sur ma fente et est entré sans effort. Le piston a coulissé et m’a totalement comblée. Je crois que c’est la meilleure sensation au monde. Ses doigts étaient fermement plantés dans ma chair. Bertrand m’enfilait bien, mi-homme mi-bête, tout ce que j’aime. J’ai attrapé mes fesses pour qu’il aille encore plus loin dans mon ventre. Ce faisant, j’ai plongé le visage dans le foin. Je me faisais vraiment trousser façon Moyen-Âge, j’étais bourriquée comme il fallait !

Ses coups sont devenus dantesques et tout à coup, il s’est raidi dans un cri étouffé… Je l’ai senti qui se retirait pour me tartiner le cul de sperme. Sa pine d’âne me recouvrait tout le fessier, quelle conclusion délicieusement dégueulasse… Pour un coït d’écurie, c’était plutôt logique. Mon étalon m’a laissée comme ça, dans la paille et s’est tiré en soufflant, tout sourire, content de lui… Moi aussi !

Le soir même, j’ai fait l’amour à mon mari, j’ai pris le contrôle de notre baise fougueuse et je me suis sentie très puissante en amazone sur lui. Il a été impressionné et m’a demandé ce qui me prenait. « L’amour, chéri, l’amour ! » ai-je répondu en le faisant jouir de mes coups de bassin. J’étais devenue une walkyrie de l’amour.

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Les vestiaires du paradis

« J’ai enfilé son tuyau dans ma petite grotte en essayant de retenir mon empressement à me faire sauter. C’était très difficile parce que j’avais des picotements dans la minette tellement j’en avais envie ! La pointe de son gland m’a raclé tout l’intérieur cuir, c’était délicieux. » Nadia, 27ans.

Un après-midi au cinéma

« Nous étions très excités ! Tout d’un coup, plus de collant ! Il a craqué, on l’a arraché ! Et plus de petite culotte non plus ! Le cunni est bien vite arrivé… Nous sommes allés sur le lit afin de poursuivre à notre aise. Il m’a prise en missionnaire. Il s’est déchaîné. Je me suis retournée pour qu’il me baise en levrette. « Christine, 22 ans.

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Anna Polina donnant un cours d »éducation sexuel, d’habiles doigts fouillant une femme de ménage et l’amour saphique de deux demoiselles, voilà un régal visuel à déguster sans aucune modération !


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