J’ai osé l’exhibitionnisme !

La rédaction 13 juin 2020

Clara, 39 ans.

Bonjour, je m’appelle Clara, j’ai 39 ans et j’ai un grand besoin de confesser mon histoire de sexe ! Mon mari étant commercial, je reste souvent seule dans mon petit pavillon de lotissement en Alsace. Le mois dernier, à mon réveil, en ouvrant le volet, j’ai été surprise, de trouver face à ma fenêtre un jeune maçon d’une vingtaine d’années en train de monter un échafaudage sur la maison du voisin qui se trouve à peine à une dizaine de mètres. Confuse, car encore en nuisette, j’ai eu droit malgré tout à un grand sourire de sa part, et toute la journée, j’ai senti son regard sur moi dès que je sortais de la maison.

Malgré la honte ressentie ce jour-là, cette situation, ainsi que le sourire du jeune, m’avaient quand même assez émoustillée et je n’ai pas pu m’empêcher de recommencer mon cirque le lendemain matin, mais cette fois, avec une nuisette bien plus transparente. Il a visiblement beaucoup apprécié et m’a même lancée des compliments ! Cela m’a même tellement excitée que j’ai dû me masturber au cours de la matinée.

Je savais par mon voisin, que le chantier ne durerait que jusqu’à jeudi et l’idée de jouer les exhibitionnistes me plaisait énormément. Alors j’ai attendu le lendemain matin avec impatience. Le mercredi matin, j’ai pris tout mon temps pour qu’il puisse bien jouir du spectacle. Je suis allée jusqu’à me déshabiller complètement et me rhabiller avec la fenêtre grande ouverte. Par mon miroir de la chambre, je voyais qu’il ne perdait pas une miette de ce que je lui proposais !

L’après-midi, partant faire des courses, j’ai eu l’agréable surprise de trouver un petit message sur la vitre de ma voiture dans lequel il me complimentait sur mes exhibitions et me disait toute son espérance d’y avoir droit à nouveau ce jeudi matin, car malheureusement, après cela, il devrait commencer un autre chantier ailleurs.

Il ne faut pas croire que c’est mon habitude d’inviter des jeunes comme ça chez moi, mais la situation était tellement excitante que je lui ai proposé de venir prendre le café chez moi jeudi avant de quitter son travail. À partir de ce moment, mes pensées ne tendaient plus que vers ce rendez-vous. N’y tenant plus, je suis même allée, ce jeudi matin, jusqu’à m’allonger en nuisette sur mon lit pour me caresser sous ses yeux…

L’après-midi, sur mon pare-brise j’ai trouvé un message m’expliquant qu’il devait ramener sa camionnette et se changer, mais qu’il serait de retour vers 17 h… en espérant me trouver chez moi, dans ma belle nuisette transparente.

Même si j’avais effectivement préparé le café au cas où, quand je lui ai ouvert la porte, nue sous ma nuisette, il s’est littéralement jeté sur moi, en m’embrassant à pleine bouche et en baladant ses mains sur tout mon corps. Il a sorti son sexe, m’a retournée et couchée sur l’accoudoir du canapé pour me prendre sauvagement en levrette tout en m’enfonçant un doigt dans mon petit trou. Nous avons joui très fort, rapidement, puis nous nous sommes allongés sur le sol pour reprendre nos esprits. Avant de repartir, je lui ai proposé de prendre une douche et, sans l’avertir, je l’ai rejoint sous l’eau pour recommencer à le branler, je me suis agenouillée pour que je puisse prendre son sexe en bouche. Après quelques va-et-vient, en me tirant les cheveux vers l’arrière, il m’a arrosée le visage de son jus bien chaud.

Je n’ai malheureusement jamais revu mon jeune amant, même pas lorsque la société est venue pour récupérer l’échafaudage, mais je garde un délicieux souvenir de cette semaine-là.

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L’art du dévoilement

« À mon attitude et à mes jambes qui s’écartent avec un petit code, mon ami comprend la situation, prend un livre ou fait semblant d’une sieste impromptue pour me permettre de mener mon exhibition. Mon regard montre alors à cet inconnu que je comprends qu’il reluque mon entrejambe et qu’il peut continuer. Le Graal étant une masturbation discrète de celui qui m’épie… » Lara, 24 ans.

Exhibitionnisme en double

« Certains soirs, et le week-end, son mari revenait, et à la façon dont il lui faisait l’amour, en quelques minutes, toujours dans la même position, j’ai compris que l’exhibitionnisme de cette jeune femme s’expliquait fort logiquement par une frustration sexuelle intense. Je passais toutes mes soirées à me masturber devant la fenêtre et je n’arrivais même plus à me concentrer sur mon travail. « Lucas, 32 ans.

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La rédaction


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