Jacuzzi, Oh oui !

La rédaction 12 juin 2021

Vincent, 40 ans est un bel homme et un peu volage. Massée par deux sublimes créatures, il ne lui en faut pas plus pour rester se détendre au SPA…

L’autre jour, je suis allé dans un spa me faire masser avec ma compagne. J’ai 40 ans, je suis en couple depuis quelques années, mais j’ai toujours du mal à être fidèle d’autant que mon côté brun ténébreux musclé plaît à certaines femmes et que j’ai du mal à refuser des avances quand on m’en fait. Toute occasion est bonne à prendre. J’étais donc en train de me faire masser en duo, sur deux tables de massages dans la même pièce. Je ne pensais plus à ma copine, qui était pourtant à un mètre, mais j’étais totalement focalisé sur les mains de ma masseuse. Je vous raconte mon histoire de sexe. 

Elle avait un doigté de magicienne, sa peau était douce, son toucher était sophistiqué, elle me palpait admirablement bien. En plus, elle était vraiment belle, brune comme moi, yeux de biche maquillés de bleu, poitrine généreuse, soutif et string rouges dont j’avais vu qu’ils dépassaient très légèrement de ses vêtements de travail.

Bref, mon attention était toute tournée vers elle et j’étais entièrement focalisé sur la texture de ses doigts et le contact de sa peau contre mon épiderme. J’étais vraiment comme sous le coup d’un sort, ces mains auraient pu me dicter de faire n’importe quoi. Je craignais d’ailleurs de bander sur la table de massage et j’ai été soulagé quand elle m’a demandé de me mettre sur le ventre. La sensation de ses doigts à la lisière de mon cul notamment me faisait perdre toute notion du réel. Je m’imaginais me faisant masser par elle des heures durant, tout oublier.

Après la séance, tout titubant, les masseuses nous ont conduits au spa pour aller au sauna ou dans le jacuzzi si nous le voulions, car nous n’avions pas eu le temps avant. Ma chérie a voulu rentrer à la maison, mais moi je voulais m’éterniser alors je lui ai proposé de rentrer avant moi, que j’avais encore envie de décompresser dans le jacuzzi. Elle m’a dit “ok” et qu’elle allait lancer le dîner en m’attendant. Elle est vraiment adorable, du coup je me suis senti coupable de la raison réelle pour laquelle je voulais rester. Quand elle est partie, je suis entré dans la petite cabine du jacuzzi où j’avais repéré ma masseuse en train de récupérer et de plier des serviettes.

En maillot de bain, je me suis glissé dans le bain brûlant, lentement, pour lui donner l’occasion de regarder mon corps pénétrer l’eau. La jeune femme m’a observé et m’a souri. Trop craquante… Je lui ai fait un brin de discussion. Le spa était en train de fermer, et toute l’équipe était sur le point de quitter les lieux. Elle semblait amusée par ma discussion et apprécier ma compagnie. « Pourquoi vous ne voulez pas venir vous détendre dans l’eau vous aussi ? » ai-je dit.

Pas farouche, et visiblement aussi taquine que moi, la masseuse, qui s’appelait Stéphanie, a enlevé un à un ses vêtements pour venir me rejoindre. Elle n’avait pas froid aux yeux, la coquine ! Ses seins énormes et magnifiques, lourds et fermes à la fois, s’étalaient au-dessus de l’eau de notre bain. Je ne pouvais en détourner les yeux tant ils étaient gros et appétissants. Je n’en revenais pas. Elle s’est approchée et a enserré mon corps sous l’eau avec ses jambes, qu’elle a repliées autour de ma taille. Ma bite toute dure malgré le milieu aquatique s’est retrouvée contre sa chatte accueillante dont j’ai senti le moelleux et la fourrure. L’eau circulait entre nos deux corps qui se voulaient, qui se cherchaient. Nous nous sommes roulés des pelles dans le jacuzzi brûlant. Surréaliste !

Nous nous désirions tellement. « Votre corps était tellement sexy et beau à masser que j’ai fantasmé sur ce moment tout du long », m’a-t-elle dit à l’oreille. Elle m’a fait comprendre que je n’étais pas le premier homme massé qu’elle entreprenait ainsi, toute libertine qu’elle était. J’étais comme un taré, complètement à la merci de ses mots doux.

Je l’ai soulevée de l’eau pour la porter hors du bain chaud. Elle a remis ses sous-vêtements à la hâte et un peignoir, et m’a entraîné vers le vestiaire du personnel. Là, entourés de casiers en bois peints, nous nous sommes rués sur la banquette dans un coin de la pièce qui sert aux filles à se reposer ou à faire une micro-sieste entre deux massages. Stéphanie a enlevé mon peignoir et s’est précipitée sur ma queue comme une vorace, elle l’a gobée d’un coup et s’est mise à la sucer avec un entrain et un aplomb qui m’ont scié. Elle est remontée doucement sur mon gland pour l’enduire de sa salive, ses mains magiques m’astiquant le pieu au passage et j’avais eu raison en m’imaginant qu’une bonne masseuse serait une bonne branleuse : c’était divin comme pression, et contempler ses traits alanguis ajoutait au plaisir. Je l’ai prise en photo avec mon téléphone tant j’étais captif de son regard de braise.

Elle a retiré son soutif et elle s’est malaxé les seins sous mon nez. Cette poitrine que j’avais déjà pu admirer dans le jacuzzi était divine. En feu, je l’ai retournée sur la banquette, j’ai écarté son petit string et je l’ai fourrée profond. Elle était déjà bien humide et offerte, prête à se faire sauter. Je ne pensais même plus à ma compagne, j’étais complètement pris dans cette partie de jambes en l’air improvisée.

J’ai pris en photo son beau cul à la peau de pêche en le caressant, fasciné par sa souplesse, tâtant ses rondeurs à mesure que je m’enfonçais dans sa chatte. Notre orgasme conjoint a fait naître des gouttes de sueur au milieu des gouttes d’eau du bain. D’ailleurs, on a fêté notre baise, par une dernière baignade ensemble dans le jacuzzi, ponctuée de quelques photos coquines.

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