Branlette thailandaise

La rédaction 28 mai 2021

En année sabbatique en Thaïlande, Agnès, 36 ans, sympathise avec son voisin et va vivre la plus belle aventure de son année !

Je vous écris ce récit porno pour vous raconter ma plus belle aventure de l’année. Qui aurait cru qu’elle se passerait à mon retour de 300 jours à l’autre bout du monde ?

Après cinq ans comme comptable dans la même banque, j’ai décidé de prendre un congé sabbatique, direction la Thaïlande. Une expérience unique ! Une semaine avant ma reprise du travail, je suis rentrée en France très déprimée. N’ayant rien à faire de mes journées, je restais devant mon ordi, à regarder les photos de mon paradis perdu. Jusqu’à ce que mon voisin du dessous me sorte de ma torpeur…

La première chose qu’Arthur m’a dite quand je lui ai ouvert la porte, c’est : « Je préférais quand vous étiez en vacances ! ». Du coup, j’ai à peine remarqué qu’il était charmant. Pas très grand, la trentaine, un peu dégarni et des jolis yeux noisette. Sur le coup, je ne pensais qu’à une chose : pourquoi ce crétin venait-il sonner chez moi à 8h du matin ? J’ai vite compris.

« Ma salle de bain est au-dessous de la vôtre, et depuis votre retour, j’ai une belle auréole au plafond. Pas trop mon style, niveau déco ! ». Devant son sourire, je me suis détendue et je l’ai invité à rentrer. On n’avait jamais échangé plus qu’un bonjour dans l’escalier, mais je me sentais tellement seule que je l’ai fait installer dans le salon pour un café.

Après une heure de conversation, je le trouvais vraiment craquant. On avait convenu que j’appellerais un plombier, puis la conversation s’était orientée vers les voyages. Lui ne bougeait pas trop et avait l’air passionné par mes récits… et par mon bronzage. « Je peux m’approcher un peu, voir la différence de teinte entre la zone du maillot de bain et le reste ? » D’un coup, on était loin de la Thaïlande et au bord de la drague lourde ! Mais ses yeux noisette étaient si pétillants que j’ai ri de bon coeur et écarté les pans de mon peignoir. « Je sors du lit, alors je ne suis pas très présentable », ai-je lancé. « Au contraire, tu es magnifique ». Surprise par le tutoiement, j’ai regardé Arthur. Son regard était braqué sur mon décolleté et suivait les marques de bronzage de mon petit bikini thaï.

J’étais à la fois surprise et flattée. Jamais je ne m’étais sentie moins sexy qu’en ce mois de septembre, loin des plages dorées et du soleil ! Arthur ne partageait apparemment pas mon point de vue, puisque, déjà, il longeait ma chemise de nuit de ses doigts. J’ai penché la tête en arrière, cette caresse me renvoyant à mes souvenirs du bout du monde. C’était comme une brise du soir sur mon corps…

Lentement, Arthur a dégagé mes seins de ma liquette et les a soupesés, en connaisseur. Ses yeux étaient comme embrumés quand il a commencé à lécher lentement mon téton droit, puis le gauche, les faisant durcir instantanément. J’ai senti une douce chaleur m’envahir et je me suis laissée aller. Arthur était maintenant entièrement dévoué à mes mamelles. J’étais pétrie, malaxée, aspirée goulûment, tout ça me procurant un plaisir nouveau, comme si je redécouvrais cette partie de mon corps.

D’une voix douce, Arthur m’a demandé « Je peux frotter mon sexe contre toi ? » Comme sa queue était jolie ! Bien rose, soyeuse, elle est venue se poser contre mes globes, laissant au passage une traînée gluante. J’ai rapproché mes seins et regardé mon amant dans les yeux pour l’encourager. Arthur a empoigné son mandrin à la base et a commencé à se branler lentement entre mes loches. Quelle sensation incroyable : son membre durcissait à chaque mouvement et j’ai rapidement eu un beau chibre tendu comme un arc à ma disposition !

Pour que ça glisse encore mieux, j’ai donné de petits coups de langue sur le gland luisant d’Arthur. Pas de doute, ça faisait son effet : gémissements et souffle court, le coquin était sur le point de venir… De ma main, je suis venue trouver ses bourses que j’ai caressées délicatement, tout en entrouvrant grand la bouche et en sortant bien ma langue. D’un coup, de petites giclées de sperme m’ont aspergée des nichons jusqu’à la glotte. J’ai avalé avec plaisir ce témoignage du plaisir d’Arthur. Cette semaine-là, on s’est refait plusieurs séances très chaudes. En lingerie sexy, maillot made In Thaïlande ou nue, j’ai laissé Arthur jouer avec mes seins auxquels il voue un véritable culte ! Autant vous dire que je suis revenue au travail d’excellente humeur.

(Photo à la une : Getty Images)

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