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La rédaction 18 juin 2021

Isabelle, à l’habitude de froder le train. Pas de chance, cette fois ci, elle se fait choper mais heureusement elle attire le contrôleur dans ses filets !

Je m’appelle Isabelle et je suis une Strasbourgeoise exilée à Paris. Au moins une fois par mois, j’essaye de remonter dans l’Est, histoire de voir mes parents et mes amis. J’essaie de devenir comédienne, et malgré les petits boulots que je trouve, j’ai souvent du mal à joindre les deux bouts… C’est pourquoi je fraude souvent en montant dans le train, et je dois avouer que je suis plutôt chanceuse et que je passe régulièrement entre les mailles du filet. Mais le mois dernier, j’ai eu beaucoup moins de bol…Je vous raconte dans cette histoire de sexe. 

J’arrive toujours à bien choisir mes trains. Je prends souvent les heures les plus creuses, car ce sont les heures où il y a le moins de contrôleurs. Et quand je suis montée dans celui de 11 h 31, j’avais un wagon pour moi toute seule ! Il n’y avait pas un chat, et je pense qu’il devait y avoir à peine vingt personnes dans tout le train. J’avais les pieds posés sur la banquette d’en face, et je m’apprêtais à passer mes trois heures de voyage tranquille… Au bout d’une heure, j’ai eu la désagréable surprise d’entendre la porte du wagon coulisser. Un contrôleur venait d’apparaître !

Moi qui pensais être peinarde… Il est arrivé à ma hauteur et m’a demandé mon titre de transport. Comme je n’avais rien sur moi, après avoir fait semblant de fouiller dans mes poches, je lui ai dit que je ne le retrouvais pas. Il a alors sorti son carnet d’amendes pour griffonner dessus. Je l’ai tout de suite arrêté. « Attendez ! Il y a sûrement un moyen de s’arranger ! » Et là-dessus, comme une dévergondée que je suis, j’ai soulevé mon débardeur et mon soutien-gorge pour lui montrer mes seins.

J’espérais vraiment que cette méthode marche, même si elle était plutôt audacieuse. Il m’a juste répondu avec un sourire que je venais de baisser le tarif de la contravention, mais que celle-ci existait toujours… Le salaud profitait de la situation, et j’étais coincée. Pourtant, je pensais que ma belle et lourde poitrine avec ses petits tétons roses pouvait suffire à me sortir de ce guêpier.

Toujours est-il que je ne me suis pas laissé abattre. « Je suis certaine que l’on va trouver un terrain d’entente », lui ai-je dit en me levant sur la banquette. J’ai enlevé mon haut et mon soutif et j’ai commencé à déboutonner mon jean. Quelques instants plus tard, j’étais complètement nue, je n’avais gardé que mes socquettes. Je me suis alors mise dans le couloir face à lui et, les jambes sur les accoudoirs des sièges qui se trouvaient de chaque côté, je lui laissais admirer ma petite chatte rousse. Si avec ça je ne faisais pas sauter l’amende…

En me voyant ainsi, jambes écartées, lui présentant mon sexe, il avait du mal à rester de marbre. Il a mis de côté son carnet et son stylo, a retiré son béret violet de contrôleur, et s’est agenouillé. Sans rien me demander, il a enfoui sa tête entre mes cuisses et a commencé à me fouiller le vagin avec sa langue. J’avais les fesses suspendues dans le vide, et il en a profité pour me doigter le cul… Je faisais ça pour éviter une amende, mais je dois dire que j’aimais ça. Après deux ou trois gémissements, j’ai quitté cette position acrobatique. C’était à mon tour d’être agenouillée à ses pieds.

Il avait lui-même sorti sa queue, et je me suis empressée de la mettre dans la bouche. Je l’ai sucé comme je sais bien le faire, en le branlant de temps en temps alors que ma langue parcourait la surface de son gland. Sans me prévenir, en me traitant juste de petite pute, il m’a relevée, m’a retournée, et m’a directement sodomisée. Il m’avait agrippé les cheveux et me défonçait littéralement l’anus. Il était insultant, et j’adorais ça. Il n’a pas arrêté une seule seconde, et a même fini par jouir dans mon cul en me traitant de salope.

Il a ensuite reboutonné sa braguette, a ramassé son béret et son carnet, et m’a lancé un « bon voyage mademoiselle » alors que je gisais par terre, du sperme coulant sur l’intérieur de mes cuisses. Il m’avait bien besognée le salaud, et même s’il m’avait prise comme une chienne, j’étais très heureuse de pouvoir voyager gratuitement !

(Photo à la une : Getty Images)

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