Il y’a du monde au balcon !
13 mai 2025Nolwenn, 27 ans, a toujours eu une vie sexuelle basique. Mais avec son petit copain, ils décident de changer cela en se rendant dans un village naturiste !
Nolwenn nous fait part de son histoire de sexe amateur avec son copain Boris, où ils ont enfin eu le déclic afin d’explorer leur vie sexuelle !
Avec Boris, on s’est lancé un sacré défi. En couple depuis quatre ans, on s’est dit que, tant qu’à envisager le mariage et les gosses, autant d’abord explorer toutes nos envies avant de se ranger. Et là, l’idée folle : direction le village naturiste du Cap d’Agde.
Une sexualité réservée
Pour me situer un peu : ma sexualité a toujours été plutôt sage. Boris est mon deuxième copain, ma deuxième relation longue. Basta ! Jamais couché à plusieurs, jamais testé avec une fille, et toujours dans le cadre rassurant de ma chambre.
Le plus osé qu’on ait fait ? Une levrette. Alors autant dire qu’atterrir dans un camp de libertins, c’était un saut dans l’inconnu.
Sur place, l’ambiance nous a tout de suite rassurés. Des gens cool, qui se baladaient en tongs, la bistouquette à l’air, avec des marques de bronzage improbables et des torses plus ou moins velus. Finalement, c’était plus détente que sulfureux.
Mais quand Boris a voulu savoir où se trouvaient les fameuses « douches de sperme », on nous a conseillé la Baie des Cochons, la plage des exhibitionnistes. On nous a aussi parlé des soirées Mousse dans des clubs privés. Autant dire qu’on en a eu le tournis.
On a posé nos affaires dans notre appartement, une tour grise pas franchement sexy mais avec un balcon offrant une vue imprenable… sur les voisins à poil. On a pris l’apéro, lui en short, moi en paréo rose, encore un peu timides à l’idée de tout enlever. Le soleil couchant embrasait le ciel et notre conversation s’est faite plus fébrile.
Sortir de sa zone de confort !
La nuit tombée, Boris a lancé : « Et si on baisait sur le balcon ? » Forcément, impossible de dire non. Après tout, on était là pour ça. Il voulait que je m’allonge sur la table, les jambes bien écartées, exposée aux regards.
J’ai laissé glisser mon paréo et me suis installée selon ses instructions. Les yeux clos, j’ai doucement relevé mes cuisses, offrant un spectacle à d’éventuels voyeurs invisibles. Boris a capturé l’instant en photo, me lançant des compliments.
« Tu vas les rendre fous, Nolwenn ! Rien à voir avec les mamies qu’on a croisées tout à l’heure ! » Ça flattait mon ego, même si j’aimais moins le dénigrement.
Je lui ai demandé de se mettre nu aussi, pas question d’être la seule à m’exposer. Son regard brûlant sur moi m’a électrisée. À quatre pattes, je me suis approchée et j’ai pris son sexe en bouche, avec une gourmandise accentuée par l’excitation du moment.
Excitée à l’idée d’être vue
L’idée d’être vue me rendait audacieuse. Je l’ai d’abord effleuré du bout des lèvres, sentant chaque pulsation de son gland. Lentement, j’ai laissé ma bouche s’ouvrir pour l’accueillir entièrement, savourant la chaleur et la texture de sa peau.
Je jouais avec ma langue, alternant succions et caresses légères, guettant chacun de ses frissons. Il a soupiré, sa main glissait dans mes cheveux, guidant subtilement mes mouvements. J’aimais cette sensation de contrôle mêlée à l’abandon de son plaisir.
Plus il gémissait, plus j’accélérais le rythme, creusant mes joues, m’amusant à le faire languir. Je l’ai senti frémir sous ma langue, totalement absorbé par mes attentions. Chaque mouvement devenait un jeu d’équilibre entre désir et torture exquise.
Quand il a finalement relevé mon menton pour plonger son regard dans le mien, son souffle était saccadé, et je savais qu’il était à deux doigts de céder complètement.
Mais le froid a fini par nous rappeler à l’ordre, nous poussant à poursuivre nos ébats à l’intérieur.
Une baise sensuelle
Boris m’a prise en missionnaire, tendrement d’abord, explorant chaque centimètre de ma peau avec une délicatesse infinie. Son corps pressé contre le mien, il m’embrassait avec une intensité rare, savourant chaque seconde.
Ses mains parcouraient mes hanches, mes cuisses, mes seins, traçant des frissons brûlants sur mon corps offert. Il entrait en moi lentement, nous laissant savourer cette connexion électrique, avant d’accélérer progressivement, trouvant un rythme qui nous rendait tous les deux fous.
Ses murmures à mon oreille alternaient entre douceur et provocation, m’amenant à me cambrer sous lui, avide de plus. Il entrelaçait ses doigts aux miens, maintenant mes poignets contre l’oreiller, capturant chaque soupir, chaque gémissement que je laissais échapper. Il m’embrassait fiévreusement, mordillant ma lèvre avant de plonger son visage dans mon cou.
Orgasme simultané
La tension montait, mon corps réagissait à chacun de ses mouvements, se tendant vers l’inévitable explosion de plaisir qui nous attendait. Il m’a regardée dans les yeux au moment où nous avons atteint l’extase ensemble, son corps frissonnant contre le mien.
Nos souffles haletants se sont mêlés alors qu’il restait en moi, savourant les dernières secousses de notre plaisir partagé.
Essoufflé, il s’est allongé à mes côtés, entortillant une mèche de mes cheveux autour de son doigt.
Blottie contre lui, ma peau encore frémissante, je sentais la chaleur de son souffle sur ma nuque. Il a laissé ses mains explorer mon corps, rallumant aussitôt l’étincelle. D’un geste lent, il a glissé ses doigts entre mes cuisses, jouant avec la même intensité qu’un instant plus tôt.
Je me suis cambrée, frissonnante, jusqu’à ce qu’il me bascule sur le dos et plonge son visage entre mes jambes. Sa langue a trouvé mon point le plus sensible, m’envoyant valser au bord de l’extase.
Quand il est remonté le long de mon corps, j’ai planté mes ongles dans son dos et l’ai embrassé avec une nouvelle fièvre. Son désir était revenu aussi vif que le mien. La nuit était loin d’être finie.