La belle plume

La rédaction 24 décembre 2020

Alain, 51 ans, veut découvrir de nouvelles sensations avec sa femme : il essaye de la caresser avec une plume et c’est une réussite !

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Avec ma femme Marine, on aime bien tester de nouvelles sensations dans notre sexualité à deux. On aime les objets, les sextoys les fouets, les menottes. Mais ce jour-là, nous avions envie de plus de douceur.

L’un de nos oreillers s’est mis à perdre des plumes. Et on a trouvé là notre nouvel objet de complicité. Nous étions en train de batifoler dans notre chambre et Marine m’a donné un coup d’oreiller sur la tête parce que je la chambrais pour je ne sais quelle raison. C’est alors qu’une petite plume s’est échappée et a volé vers moi.

L’attrapant au vol, j’ai immobilisé Marine pour la chatouiller. Elle se tordait de rire et hurlait, mais elle ne pouvait plus bouger car elle était bloquée par mon poids qui l’entravait. Ses rires et ses cris se sont mis à devenir sexuels.

Je l’ai fixée et elle était un peu essoufflée, les joues rouges. Ça m’a beaucoup excité. Elle a arrêté de se débattre et au lieu de la chatouiller, je me suis mis à passer délicatement la plume dans son cou, sur son décolleté. Elle a fermé les yeux et s’est laissée faire.

J’ai continué mon jeu d’exploration de son corps avec cette petite plume et je l’ai vue s’abandonner de plus en plus à mes caresses. Elle portait une simple robe sans rien dessous et je l’ai soulevée doucement pour pouvoir passer la plume sur ses tétons et son clitoris. Ils se sont instantanément durcis et elle a poussé un soupir de plaisir. J’ai donné des petites pressions avec la plume sur son clito en tapotant délicatement. J’alternais les caresses avec la plume, les doigts et la langue.

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Je me suis mis à lui faire un cuni appuyé et mouillé et elle a cambré les fesses pour mieux me donner son antre. Quand je la sentais au bord de la jouissance, je m’arrêtais et j’alternais avec la caresse de ma petite plume, toute légère, juste bonne à titiller et à faire durer le plaisir. Je voyais son corps se raidir dans l’attente et la frustration, se tordant, gémissant, mouillant à fond. J’ai frotté la plume encore plus fort, alternant encore mes doigts, ma langue et la plume…

Sa chatte jutait follement, ses parties étaient sombres tellement elle prenait son pied, et je matais cet endroit si secret cerclé de poils et de peau douce. J’aimais voir ma femme ainsi : toute abandonnée, humide, en train de transpirer, avec ses formes rondes et pleines de callipyge lubrique… Ses seins laiteux et lourds bougeaient quand je la doigtais plus fermement.

Des frissons parcouraient sa peau délicate quand je passais la plume. Cette vision me faisait bander comme un dingue. J’ai continué d’agiter la tige de la plume de plus en plus rapidement contre son sexe tout en empoignant ma bite de mon côté en me branlant énergiquement. J’ai plaqué mes doigts sur la plume pour qu’elle ressente à la fois le contacte des poils soyeux de l’objet et de ma peau. Je l’ai branlée ainsi jusqu’à la faire crier.

Nos cris se sont mêlés et nous avons joui quasiment en même temps, moi de ma masturbation frénétique et elle de la caresse entêtante de la plume contre son intimité. Ce souvenir nous est très doux et depuis, il nous arrive régulièrement de reprendre la plume !

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