Comment puis-je me rattraper Maître ?

La rédaction 1 décembre 2020

Catherine, 46 ans, a toujours cru qu’elle aimait dominer les hommes jusqu’à ce qu’elle fasse la rencontre d’Abdul, le portier du lieu où elle travaille…

merci patronne

Retrouvez ici toutes nos histoires de sexe.

Je suis ce qu’on nomme une femme à poigne. Maintenant à la tête de mon cabinet d’avocat, j’ai été associée d’une importante firme aux États-Unis. J’ai trouvé ce pays coincé au niveau des mœurs. Enfin, je pensais ça jusqu’à ce que je rencontre Abdul.

Le jeune homme était portier dans l’immeuble chic où étaient installés nos bureaux. Je l’ai repéré peu après son embauche : grand, des cheveux noirs et épais, il avait un sourire charmeur qui ne laissait planer aucun doute quant à son goût pour les femmes.

Émoustillée par ses sourires, j’ai fini par demander son dossier auprès des ressources humaines et j’ai tout épluché. Abdul était américain d’origine marocaine et âgé de seulement de vingt-deux ans. Une note le qualifiait « d’intelligent mais prétentieux ». Ce détail m’a excitée davantage : j’avais là un bel étalon à mater.

Je me suis décidée le jour d’après : il a suffi d’un coup de fil à la sécurité de l’immeuble pour qu’on envoie le joli portier dans mon bureau. Quand il est entré tout sourire, j’ai cillé. Difficile de lui résister, à celui-là… Je me suis enfoncée dans mon fauteuil et j’ai lancé : « Bonjour Abdul. J’ai consulté votre dossier de recrutement et il ne me donne pas satisfaction. » Il a rétorqué sans se démonter : « Dites-moi comment je peux me rattraper. »

Je l’ai invité à s’asseoir puis je me suis levée pour fermer la porte du bureau à clé. Pendant que je déambulais dans la pièce, je sentais son regard aimanté par mes fesses, mises en valeur par une jupe ultramoulante… J’ai avancé vers lui et j’ai calé mes mains de part et d’autre des accoudoirs de son fauteuil, puis j’ai approché mon visage tout près du sien.

Son souffle était chaud et ses yeux lançaient des éclairs. Quand il a pris ma main lentement et l’a posée sur son entrejambe, j’ai attaqué à mon tour. Le baiser sensuel que j’ai plaqué sur ses lèvres a immédiatement fait gonfler son sexe dans son pantalon.

Abdul a dégrafé mon chemisier et mes seins ont jailli. Il les a tout de suite portés à sa bouche, aspirant les mamelons avec délice. J’ai défait sa braguette et j’ai sorti un sexe long et fin, au parfum suave. Agenouillée entre ses cuisses, j’ai placé son bout entre mes lèvres et l’ai léchouillé avec délice.

Le jeune étalon s’est plaqué dans le fauteuil en grognant. Lentement, j’ai enfoncé son chibre dans ma gorge, en salivant dessus pour qu’il glisse au maximum. Quand je l’ai eu à fond en bouche, j’ai aspiré le jus avec un bruit bien cochon.

Abdul a guidé ma tête sur son dard et je l’ai sucé langoureusement. De temps à autre, je me dégageais de son emprise pour gober ses couilles, que je sentais très pleine. J’imaginais déjà la suite avec bonheur…

Elle a eu lieu sur mon bureau. Une fois bien pompé, Abdul a pris les devants et m’a assise sur la grande table en bois vernis. Là, il a remonté ma jupe au-dessus de ma taille pour dévoiler ma chatte totalement épilée. Visiblement ravi que je ne porte pas de culotte, il a passé ses doigts entre mes lèvres et a admiré mon intimité avant de cracher dedans !

Choquée de ce geste vulgaire, je l’ai regardé d’un air furieux. Abdul a éclaté de rire et s’est redressé, puis s’est plaqué entre mes cuisses. J’avais le souffle coupé par tant d’arrogance. Mais son pieu brûlant était maintenant à l’orée de ma fente et je n’avais plus la force de protester : il fallait qu’il me baise.

Abdul n’a même pas attendu un signal de ma part. D’un seul coup de reins, il est entré en moi. J’ai poussé un petit cri et il a plaqué sa main sur ma bouche. J’étais à sa merci, moi qui avais prévu de le soumettre… Il m’a ramonée pendant de longues minutes, me murmurant des mots grossiers à l’oreille. J’étais sa petite chienne et je dois avouer que j’adorais ça.

L’étalon a fini par me retourner face contre mon bureau et je l’ai laissé s’enfoncer de nouveau. Je n’étais pas au bout de mes surprises : Abdul a ensuite enlevé sa cravate et m’a bâillonnée avec, puis il a entrepris de me fesser sauvagement. Mes cris, étouffés par le tissu, l’excitaient toujours plus. Tandis qu’il me pilonnait, je sentais ses couilles lourdes taper sur mes cuisses et sa main claquer mon cul.

Je priais pour que personne ne se présente à la porte, sinon on comprendrait tout de suite que je me faisais défoncer sur mon bureau ! Soudain, Abdul s’est retiré et a contourné le bureau. Là, d’un geste sec, il a arraché la cravate de ma bouche puis a enfoncé son pieu tout au fond… Je n’ai pu que me soumettre. Une seconde après, je recevais un gros jet de foutre dans la gorge, que j’ai dû avaler pour ne pas étouffer.

Abdul s’est rapidement rhabillé puis m’a simplement lancé : « Rappelez-moi au besoin. » Puis il a filé. Je me suis retrouvée là, jambes écartées sur mon bureau, les lèvres pleines de sperme et les yeux barbouillés de maquillage. J’étais à la fois humiliée et tremblante de plaisir, un mélange inconnu jusque-là.

J’ai revu Abdul plusieurs fois dans mon bureau. Jamais je n’ai réussi à en faire ce que je voulais mais j’ai appris de nouveaux délices. Moi qui me pensais dominatrice, je sais aujourd’hui qu’une petite fessée a du bon !

A lire aussi

Avocate à gogo

L’avocate de la défonce

Le DRH

Convoqué chez la RH

Ma DRH est une domina !


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru