Un cunni pour ma patiente

La rédaction 8 février 2021

Dentiste, Daniel, 57 ans, fantasme sur sa patiente fraichement divorcée. Son rêve se réalise quand au cours d’une consultation il lui offre un cunni dont elle se souviendra

L’avantage d’être en profession libérale, c’est que je peux organiser mon temps comme je veux. Aujourd’hui, par exemple, j’ai fermé mon cabinet dentaire en avance pour raconter aux interstron.ruistes une histoire de sexe toute spéciale. Qu’ils sachent aussi que dans ma salle d’attente, on trouve des tas de magazines mais que mes interstron.rus, eux, restent au chaud chez moi !

Dentiste, c’est un métier comme un autre, avec sa monotonie. Pour me divertir, ça m’arrive de fantasmer sur des patientes. Une en particulier attirait mon attention. Je la recevais tous les six mois pour un contrôle de routine. Elle avait les dents en parfaite condition, des lèvres pulpeuses et des yeux bleus magnifiques. Moi qui suis marié à une Italienne brune aux yeux noirs, je fantasmais sur cette grande blonde à l’exacte opposé.

Honnêtement, cette patiente ne nécessitait qu’un rdv par an mais j’aimais tellement l’avoir dans mon cabinet que je lui prescrivais deux rendez-vous annuels. J’avais bien remarqué sa bague à l’annulaire, mais je me plaisais à m’imaginer lui donner du plaisir dans le secret de mon cabinet. Une semaine avant la visite que je vais raconter, j’avais déjà l’esprit échauffé.

Mais venons-en aux faits. La patiente avait rdv en fin de journée. La sonnette retentit, ma secrétaire lui ouvrit, elle entra dans la salle d’attente puis dans mon cabinet.

– Bonjour Mme R., comment allez-vous?

– A merveille ! Cependant, Docteur, je préférerais que vous m’appeliez ‘Mademoiselle’ à présent.

– Oh, j’en suis désolé.

– Ne le soyez pas, ça me fait le plus grand bien ! Je revis !

Sa réponse illumina mon visage sans que je puisse me retenir. Elle était là, perchée sur ses talons, avec une robe jaune esprit pin-up, boutonnée jusqu’au col et qui contrastait avec ses collants noirs (ou bien, l’espérais-je, des bas ?). Mais surtout, elle était LIBRE. Je l’invitai à s’allonger sur le fauteuil médical, le temps de préparer mes ustensiles.

D’un léger coup de pied, je fis basculer le fauteuil de ma patiente et me penchai sur elle. Elle eut un petit sursaut et paf ! Non pas un, mais trois boutons de la robe sautèrent, dévoilant sa poitrine remontée dans un push-up blanc.

Mademoiselle R. rougit :

– J’ai pris un peu de poids, je n’aurais pas dû remettre cette tenue !

– Hum, ce n’est rien. Je vais installer le champ de protection et tout ira bien.

Bien sûr, je pris soin de placer la feuille de papier le plus haut possible, en laissant ainsi sa poitrine visible. Puis je plaçai la lampe bien au-dessus de son visage et je tournai sur ma chaise pour attraper mes instruments. En revenant vers ma patiente, nouvelle surprise : sa robe était miraculeusement remontée sur son ventre, laissant apparaître un spectacle inoubliable.

Entre ses deux jambes légèrement écartées, une petite culotte en dentelle blanche cachait timidement son sexe et un porte-jarretelle liait cette dernière à des bas noirs. Je crus rêver mais non, Mademoiselle R. se donnait à moi ! Je décidai de passer à l’action. Ma main lui effleura la cuisse et elle se laissa aller totalement dans le fauteuil. Elle ferma même les yeux et mordit sa lèvre inférieure, puis ses doigts descendirent doucement entre ses jambes. Elle attrapa le tissu de sa culotte et l’écarta afin de me dévoiler complètement sa chatte épilée. L’appel de son sexe fut trop fort. Je pris seulement le temps d’augmenter la luminosité de la lampe au-dessus de sa tête, afin que plus rien n’existe pour elle hormis mes gestes experts.

Quelques secondes plus tard, j’étais entre ses cuisses, ses jambes remontées sur mes épaules. Je laissai échapper mon souffle sur ses lèvres dévoilées. Mademoiselle R. mit alors ses deux mains dans mes cheveux et me colla à son sexe. Je dû me mettre à genoux au pied du fauteuil et là, je commençai à lécher son clitoris. Son sexe était doux et juteux.

Déjà, ma patiente laissait échapper des petits couinements de joie. En effet, elle avait envie de profiter de sa liberté nouvelle ! J’augmentai alors le rythme de mes léchouilles. Ma bouche était trempée, l’odeur salée de son sexe m’enivrait. Histoire de couvrir ses gémissements de plus en plus intenses, et pour augmenter les sensations de la demoiselle, je mis en marche le petit jet destiné à rincer la bouche. Un filet tiède dont je réglai la puissance à la perfection et que je dirigeai sur son clitoris gonflé à souhait. En même temps, je la pénétrai de mes doigts. Ils furent rapidement couverts de mouille et d’eau mélangée, la blonde vibrait de plaisir ! Je décidai d’augmenter légèrement le jet et son visage s’illumina. Elle allait jouir ! Quelle ne fut pas ma surprise : je fus éclaboussé par plusieurs giclées au goût âcre, tout droit sorties de l’entrecuisse de Mademoiselle R. ! Tandis qu’elle criait son orgasme, je réalisai qu’elle était fontaine…

Heureusement, le bruit du moteur de mon jet à moi avait couvert ses cris, même s’il est possible que ma secrétaire ait pensé que je faisais drôlement mal à ma patiente… Mais elle ne laissa rien paraître quand je lui demandai de prévoir un rendez-vous avec elle quinze jours plus tard pour « terminer le travail ». Il fut encore plus spectaculaire mais je ne peux en dire plus, par respect pour celle qui est maintenant mon amante. Alors oui, mon code de déontologie en a pris un coup, mais je ne regrette rien !

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