La fille du maire

Savez-vous que vous êtes un peu le magazine vedette de notre ville ? Tout le monde vous achète en douce, même mes parents. Ils cachent chaque mois le nouveau numéro tout au fond de leur table de chevet. Ils pensaient peut-être que je n’irai jamais fouiller ? C’est bien mal connaître leurs enfants.

Avec ma sœur Lucie de 18 ans, on adore feuilleter les pages ensemble et s’amuser des histoires de sexe des autres.

J’adore le cul. À mes 21 ans, je me suis même fait faire un piercing au niveau du clitoris, sans le dire à mes parents évidemment, ils ne comprendraient pas. La majorité mes copines ont été très intriguées par l’expérience, même si toutes ne comprenaient pas ma motivation.

Mon père est maire de la ville (dont je tairais le nom, bien évidemment) et il reçoit beaucoup de monde à la maison. Cela peut être des gérants d’associations, des experts en urbanisme, ou des amis de tout horizon.

À chaque fois qu’on reçoit un invité, je ne sais pas pourquoi, j’ai envie de me les faire. Je me mets toujours à côté de l’invité et lui caresse la cuisse discrètement sous la table.

Tous les convives de mon père n’ont pas forcément la même réaction. Il y en a qui sont très gênés par mon attitude et qui m’empêchent de continuer par un regard foudroyant et très appuyé. Cela ne m’arrête pas. Et puis il y a ceux qui se laissent faire et qui essaient de paraître naturel devant mon père. Ceux-là, je sais que je pourrais me les faire après le café.

Quand la plupart des convives ont bien bu, je glisse à l’oreille de l’invité en question que j’ai envie de faire pipi. On sait ce que cela veut dire normalement ! Quand l’invité se sent un peu dérangé de me suivre, s’imaginant que mes parents vont trouver ça louche, je lui dis « Viens, je vais te montrer où ça se trouve ! » comme s’il m’avait demandé de les lui indiquer et ça passe tout seul…

Les toilettes sont à l’étage donc je l’embarque mine de rien dans ma chambre. Et là, je lui fais subir mille sévices ! Je me doigte devant lui, je le suce, je m’empale sur son torse. En règle générale, quand ils passent le pas de ma porte, ils sont déjà surexcités et je ne mets pas beaucoup de temps à les chauffer avant que les choses sérieuses ne commencent. Ils me baisent pratiquement tous de la même façon, rapidement, en levrette parfois, en missionnaire souvent. Ils savent que leur petite affaire ne doit pas durer plus de cinq minutes.

Ils finissent souvent en moi, c’est plus discret. J’en ai eu un qui a tenu à éjaculer sur mon oreiller une fois ! Un vrai dingue. C’était vraiment dégueu’ et j’ai dû tout nettoyer avant que mes parents ne rentrent dans ma chambre.

J’adore le moment où je descends retrouver ma famille, la chatte encore toute poisseuse ! Cela me donne un sentiment de pouvoir très fort, comme si je pouvais contrôler les gens.

Grâce à moi et ma vie de débridée, mon père est très aimé dans la ville, et ne manque pas de remporter chacune des élections. S’il savait que ses idées politiques n’intéressent personne…

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