La pipe de la serveuse
28 février 2021Mau, 28 ans est d’un naturel timide. Quand la jolie serveuse de son fast-food sur laquelle il craque lui propose une fellation de but en blanc, le coquin ne se fait pas prier.
Je m’appelle Manu, j’ai 28 ans et voici mon histoire de sexe.
Je vous explique mon cas : j’ai toujours été d’un naturel très timide. Et en plus, dans mon entreprise, il n’y a que des hommes. Célibataire de longue date, j’ai toujours eu beaucoup de mal à trouver une copine et cela ne m’a pas aidé à gagner confiance en moi. Alors, quand Lucie, la serveuse d’un fast-food en bas de chez moi, a écrit mon nom avec un petit cœur à côté sur le ticket qui me servait à récupérer ma commande, je me suis peut-être emballé un peu rapidement.
Mais c’était très rare qu’une fille se montre si attentionnée avec moi, même si elle le faisait peut-être à tous ses clients, j’ai trouvé ça très gentil. Je suis donc passé le lendemain et le surlendemain, j’avais toujours mon petit cœur sur mon ticket et j’essayais de scruter le ticket de caisse des autres pour voir si elle faisait pareil avec eux – mais à un moment elle m’a lancé un regard un peu bizarre alors que je me tordais le cou pour regarder la poche arrière d’un mec – donc j’ai arrêté pour ne pas perdre toutes mes opportunités.
Le meilleur moyen de savoir si je l’intéressais ? Lui demander clairement ce qu’elle faisait, à la sortie de son service. Je lui ai proposé un verre en terrasse, dans un des trucs les plus branché du coin. J’ai essayé de prendre un air décontracté mais je sentais bien que ma voix tremblait, que mes mains devenaient moites, que je n’étais pas très naturel… Chose très surprenante, elle a accepté ! Sa voix restait néanmoins assez détachée et je ne savais toujours pas si je lui plaisais vraiment ou non…
J’ai appelé très rapidement le restaurant pour réserver une table et la soirée s’est finalement bien passé. Il y a quelques « blancs » dans la conversation, mais elle a tenu à reprendre un deuxième verre, signe manifeste qu’elle ne passait pas une si mauvaise soirée. J’ai écouté avec une attention peut-être un peu appuyée ses problèmes au boulot, avec ses collègues ou ses clients. Je mémorisais tout par cœur dans ma tête pour ne rien oublier.
Chaque détail comptait. Après son deuxième verre, je l’ai invité chez moi, et heureusement, elle a dit oui ! Nous nous sommes retrouvés sur mon petit canapé pour un troisième verre… J’ai mis de la musique et j’ai essayé de détendre l’ambiance avec quelques blagues.
En fait, Lucie m’a surpris de but en blanc, elle m’a dit : « Tu veux que j’te suce ? Je sais que les mecs adorent ça et moi, je suis une super bonne suceuse ! » J’ai trouvé ça un peu bizarre, un peu direct, mais je l’ai laissée faire. C’est vrai que je la désirais depuis des semaines et j’étais ravie qu’à nouveau elle prenne l’initiative. Nous sommes restés habillés, elle a sorti ma queue de mon pantalon, je n’arrivais pas à bander pleinement, ça m’a un peu énervé mais elle n’en a pas tenu rigueur.
Elle a délicatement déposé ses lèvres autour de ma tige, formant un superbe collier autour de mon poireau juteux. Je pensais à tout et n’importe quoi pour ne pas jouir trop vite, elle s’y prenait bien. Je l’ai relevée tout doucement pour essayer de l’embrasser mais elle a tourné sa tête : « Je n’embrasse pas le premier soir ».
Ok, capté. Je lui ai demandé si je pouvais prendre des photos, ça ne la dérangeait pas ! Même mieux, elle m’a avoué, à demi-mot, que ça l’existait un peu. Elle a continué alors sa pipe mémorable, et quand elle en a eu marre, elle m’a dit « on va prendre une douche ensemble ? » Ça a été un moment hyper sensuel. Déjà, j’ai pu admirer son corps nu, ce qui m’a procuré encore plus de plaisir que quand elle me suçait, puis elle est venue étaler sa mousse tout contre mon corps. J’ai pu la prendre dans mes bras, caresser sa peau. J’ai compris que la tendresse avec elle prenait du temps, aussi elle se débattait un peu sous mon emprise. Ne voulant pas que je sois trop tendre ou trop collant.
Elle est partie avant que la nuit ne tombe et je lui ai proposé de la revoir pour la prendre en photo nue, chez moi. Si ça lui plaisait, bien-sûr. J’avais bien compris que c’était l’exhibition qui la faisait mouiller. Et je comptais bien m’en servir, pour pouvoir espérer toucher son cœur…
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