L’auto-suceuse

La rédaction 15 septembre 2020

Alain, 45 ans, prend une autostoppeuse très chaude sur sa route. Elle lui propose de le sucer puis se rend compte qu’elle veut aller plus loin…

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Salut interstron.ru, c’est Alain, fidèle lecteur depuis plus de 10 ans. Dès que j’ai des vacances, je prends mon van pour partir sur les routes de France. Avant, je faisais ça en moto, mais à 43 ans et avec des mauvais genoux, c’est plus compliqué. Alors j’ai aménagé ma « nouvelle bécane » pour un maximum de confort. J’ai même réservé une place à ma collection d’Union, dont je me sers quand j’ai envie de me taper une petite branlette sur un parking au milieu des champs.

L’avantage du van, c’est que cela fait rencontrer du monde. Parfois, on ramasse même des petites meufs bien chaudes. Pendant l’été 2015, j’en ai chopé une bonne. Elle s’appelait Marion. Je roulais du côté de Perpignan et il n’y avait pas grand monde sur la route. J’avais prévu de m’arrêter pour pisser, quand j’ai vu de loin une brune bien roulée qui faisait du stop. Elle devait avoir dans les 20 ans. Habillée comme les jeunes d’aujourd’hui, c’est-à-dire coquine selon mes critères de vieux.

Je n’avais pas envie de la prendre en stop si c’était pour ne pas être remercié. Alors j’ai voulu tester quel genre de nana c’était. Je me suis garé près d’elle et je suis descendu pour vidanger ma vessie. Elle s’est avancée vers moi et a gueulé : « Ohé ! Je ne vous dérange pas ? ». J’ai continué à pisser tranquillement, mais elle s’est avancée encore. Quand elle a été à 50 cm de moi, elle a maté mon paquet en se marrant : « Ben dis donc… Sympa, l’engin. » C’était une rigolote. J’ai décidé que j’allais l’embarquer.

Je me suis raclé la gorge et j’ai dit : « Vous allez où comme ça ? ». Marion a répondu avec un grand sourire : « Dans la banlieue de Perpignan. Mais vous pouvez juste m’avancer, ça sera déjà bien. » J’ai dit OK, avant de remonter dans la caisse avec elle. La route a duré une demi-heure et j’en ai bien profité pour mater ses jambes. Il faisait chaud et pour économiser de l’essence, j’avais coupé la clim’. Du coup, elle suait des cuisses et ça m’a excité… Sans même m’en rendre compte, j’ai commencé à bander dans mon jean.

Marion m’a grillé tout de suite. « Bah alors ! Je te fais de l’effet ? Si tu veux, on s’arrête et je te soulage… Mais en échange, tu me poses exactement là où je te demande. » Je me suis demandé si elle n’allait pas expédier le boulot. Il n’y a rien de pire qu’une fille qui suce sans y mettre du cœur… Mais à y regarder de plus près, elle avait un regard de chiennasse qui m’a poussé à accepter, alors je me suis garé sur le bas-côté. Je n’ai même pas eu le temps de détacher ma ceinture que Marion farfouillait déjà dans mon calbar pour me branler !

Quelle folle du cul ! Quand j’ai été bien dur, elle a passé sa langue de haut en bas sur ma queue, comme si c’était une grosse sucette à la viande. Je me suis enfoncé dans le siège et j’ai profité du spectacle. Ensuite, elle s’est mise à me téter le gland, qui suintait beaucoup, puis elle a repris ses léchouilles de haut en bas. Moi aussi, j’avais eu chaud, et ça ne devait pas sentir très bon au niveau de mes couilles, mais ça n’a pas gêné Marion. Au contraire !

Au bout de cinq minutes de pipe, elle s’est redressée et m’a dit : « Putain ! Ça m’excite grave, en fait. Tu ne veux pas m’amener à l’arrière, on sera mieux ? ». J’étais scotché. Mais la garce ne m’a même pas laissé parler que, déjà, elle escaladait les sièges pour se foutre à l’arrière du van, sur le matelas que j’avais installé. Pas besoin de l’aider : elle s’est déshabillée toute seule comme une grande et s’est mise en levrette. Vite, avant qu’elle change d’avis ! Je me suis dévêtu aussi et j’ai foncé. Bien calé derrière elle, je l’ai chopée par les hanches et je l’ai enfilée d’un coup. Elle mouillait tellement que ça n’a pas coincé une seule seconde. Par contre, elle était très étroite et j’ai senti que ça la remuait de se la prendre direct comme ça. Elle ne devait pas être habituée… Mais au bout d’une minute, elle a commencé à couiner comme une petite truie.

En même temps que je la baisais, elle essayait de se branler la foune, mais ça n’était pas pratique comme position. Alors j’ai fini par la retourner sur le dos et je lui ai refoutu mon braquemart au fond. « Oh oui ! Baise-moi plus vite ! », a-t-elle chouiné. Je me suis mis à la bourriner tellement fort que tout le van tremblait. Je me suis dit : « Pourvu que les flics ne passent pas à côté ! », surtout que Marion gueulait de plus en plus fort : « Oh oui ! Oh oui ! ». Et là, d’un coup, elle a poussé un grand cri. Elle avait joui.

Sauf que moi, je n’avais pas fini. J’ai roulé sur le matelas et j’ai embarqué la garce au-dessus de moi. Elle a compris et s’est ventousée sur mon chibre. Ses fameux coups de langue m’ont fait décoller : j’ai lâché la première giclée en travers de sa figure et les trois suivantes, dans sa bouche. Tout de suite après, comme si elle n’en avait pas eu assez, Marion s’est affalée sur moi et m’a nettoyé partout avec la langue. J’étais au paradis. Bien sûr, en échange, j’ai fait un détour pour la déposer chez elle. Mais ça valait drôlement le coup, comme vous le prouveront les photos que j’ai prises à l’époque. J’espère qu’elles seront publiées et qu’elles rejoindront ma collection d’Union !

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