Mon réconfort

La rédaction 4 février 2021

Étudiante, Tiphanie, 22 ans ne se sent pas bien pendant son cours, le beau gosse de sa fac va alors bien s’occuper d’elle. La belle ira beaucoup mieux après avoir baisé sur le canapé.

Je m’appelle Tiphaine, je suis étudiante en droit à Paris. J’ai découvert interstron.ru chez mes parents. Ils devaient l’acheter régulièrement, vu la quantité qu’ils avaient amassée dans leur placard. Ce jour-là, je me suis caressée dans ma chambre en repensant aux courriers. C’est la première fois que j’écris au magazine et j’en profite pour saluer tous les lecteurs. Je suis sexuellement active depuis quelques années, mais je passe constamment d’un mec à l’autre, car je ne veux pas me fixer. Je profite de la vie à fond. C’est ainsi que m’est arrivée l’histoire de sexe que je voulais vous écrire.

Il y a quelques semaines, à la fac, je ne me sentais vraiment pas bien pendant un cours de droit administratif. J’avais la nausée. Je suis allée aux toilettes pour vomir. Cela m’arrive parfois quand je vais avoir mes règles. Dans la précipitation, j’avais laissé la porte ouverte. J’ai senti une présence derrière moi dans les toilettes. C’était Simon, un beau gosse qui ne s’assoit jamais bien loin en cours. Il était venu voir si j’allais bien… J’ai piqué un fard. Je lui ai fait comprendre un peu vivement que je préférais qu’il se tienne à l’écart. Ce genre de situation, c’est super gênant… Au lieu de m’obéir, il s’est approché et m’a soutenue. Fallait oser, parce qu’avec les traces de gerbe sur mon chemisier, il y avait mieux ! Je me sentais complètement minable, mais je l’ai laissé faire. Ensuite, il m’a emmenée vers les lavabos, et je me suis rincée la bouche. Il m’a proposé de m’accompagner chez moi, il avait une voiture. Je me sentais bien avec lui, j’ai accepté.

Dès que nous sommes arrivés à mon studio, je lui ai dit de faire comme chez lui, et je suis allée prendre une bonne douche. Cela m’a fait un bien fou. Mes nausées étaient passées, je me sentais euphorique. J’ai enfilé une culotte propre et mon peignoir blanc. Quand je suis retourné dans la pièce, j’ai trouvé Simon confortablement installé sur le divan, en train de regarder mon album photos ultra perso, celui avec tous mes ex ! Et ce cochon s’était fixé sur les pages où je suis en lingerie. D’un côté, j’étais fière, car je suis plutôt jolie sur ces photos en noir et blanc faites par un copain photographe et de l’autre, énervée par ce côté sans-gêne. J’ai voulu lui reprendre l’album. On a roulé sur le divan et ce qui devait arriver arriva : mon peignoir s’est ouvert. Bien sûr, il ne s’est pas privé d’en prendre plein les yeux.

Finalement, ses compliments m’ont calmée. Il me trouvait encore mieux que sur les photos. Il s’est levé et s’est carrément mis à poil « pour qu’on soit à égalité ». Après un gros smack baveux et deux-trois mains baladeuses, je commençais à avoir une sérieuse envie de le grimper. J’ai ouvert mon convertible et j’ai poussé sur sa poitrine pour le faire tomber. Ni une, ni deux, j’ai massé directement ses couilles toutes dures et bien lisses, comme j’aime.

Ensuite, j’ai fourré dans ma bouche son membre encore à peine bandé. J’aime sentir les bites gonfler de plaisir sur ma langue. Quand je l’ai trouvé à point, je l’ai pompé franchement. Une vraie pro ! Tout son corps se raidissait, il ne devait pas se faire des nanas comme moi tous les jours. De mon côté, je devais reconnaître qu’il avait tout pour me plaire. Il n’était pas du tout bloqué par l’épisode des toilettes, au contraire ! Cerise sur le gâteau, ce salaud prenait des clichés porno avec son téléphone.

Quand je m’en suis rendu compte, ça m’a excitée à mort. Je me suis lâchée, il n’a plus eu qu’à se laisser aller. Je les connais les garçons, ils aiment qu’on s’occupe d’eux… Je l’avais bien sucé, il durcissait comme du béton. Maintenant, ma chatte dégoulinait. Il a voulu m’embrasser, mais je l’ai regardé de travers, il a compris le message : je voulais qu’on continue comme ça, à la  pirate, pas comme des gamins. Je me suis enfilée sauvagement sur sa bonne queue en plaquant ses épaules sur le matelas et j’ai fait grincer les lattes du clic-clac pendant un bon moment. Il m’en fallait plein, et le gars tenait la route.

J’ai poursuivi en me basculant en arrière. Je faisais tourner mon bassin façon hulahoop. Quand il s’est crispé, je me suis jetée la bouche la première sur son engin pour ne rien rater. Du coup, je me suis cogné le genou sur le bord du sommier ! Gémissante de douleur et de sexe, je l’ai à peine branlotté entre mes lèvres et il est venu immédiatement. J’en avais plein les dents. J’ai avalé la moitié et bavé le reste sur mes seins frétillants. Mon joli brun, dont le doux regard azur me faisait maintenant flasher, gargouillait de bonheur. Il a écarquillé les yeux en émergeant.

Eh oui, c’était bien moi, la petite Tiphaine du troisième rang en droit administratif ! Gros bisous à tous les lecteurs !

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