Le frein du routier
13 janvier 2023Je m’appelle Théo, je suis routier depuis peu, j’ai 30 ans, et je vais vous raconter ma dernière histoire chaude… C’est un métier très solitaire, comme vous pouvez vous l’imaginer, et souvent, quand je dors dans mon camion, je manque cruellement de contact humain. J’ai une copine que je vois de temps en temps, mais parfois sur la route, je fantasme que je rencontre une femme et que nous vivons une liaison torride dans mon univers, sur les aires
d’autoroute, dans les motels et dans la cabine de mon engin. J’en ai rêvé, jusqu’à ce que ça finisse par m’arriver, figurez-vous. Je n’aurais pas cru cela possible avant cette aventure. Lors d’une pause, je me suis attablé un soir à un comptoir d’aire d’autoroute quelconque. Et la magie était là, devant moi. Elle s’appelait Mathilde et c’était une jeune serveuse métisse de 23 ans qui m’a servi tout en discutant avec moi, car il n’y avait pas grand monde ce jour-là. Elle m’a fait la discussion et s’est mise à traîner à côté de moi tout en me jetant des regards veloutés. Je lui ai proposé de venir s’asseoir en face de moi, ce qu’elle a fait de bonne grâce. Elle était si jolie, avec ses cheveux frisés et son sourire enjôleur. Elle m’a raconté sa vie, son travail, ses journées qui n’en finissaient pas sur cette aire d’autoroute, son petit ami qui l’avait quittée car il ne la voyait pas assez à cause de ses horaires nocturnes, sa solitude. Nos deux solitudes se sont reconnues, et je l’ai regardée avec des étoiles dans les yeux, tellement elle correspondait à mes attentes et à mes fantasmes du moment. Elle semblait être du même avis, car elle est allée nous chercher des bières à la tireuse pour nous les ramener à table et continuer la discussion. La nuit tombait et nous nous noyions dans les yeux l’un de l’autre. Elle a retiré un pied de son escarpin de serveuse et est venu le frotter doucement contre ma cuisse. J’en étais le premier étonné, mais je me suis laissé faire. J’ai attrapé sa main par-dessus la table. « Tu veux venir voir mon camion ? » Elle a accepté avec un grand sourire.
Viens faire un tour
C’était la fin de son service. Nous sommes montés dans ma cabine, ce petit cocon que j’avais essayé de rendre accueillant. Nous nous sommes déshabillés lentement, en nous regardant l’un et l’autre avec attention. Elle a embrassé mon ventre, mes épaules, a caressé mon torse et mes cuisses à mesure que je me déshabillais. Je trouvais ça très tendre et ça ne m’a pas empêché de bander très dur. Moi, j’ai découvert ses seins magnifiques soulignés par des marques de bronzage qui m’ont fait fondre. Avec ses larges tétons, ils étaient divins. Je les ai pris en photo car j’étais en pâmoison devant elle, et elle trouvait ça amusant que j’aie envie de la photographier. Elle s’est sentie belle et désirée, ce qu’elle était à mes yeux. J’ai arpenté son corps avec mes doigts curieux. Sa fente brune, ses fesses, son trou mouillé. Je l’ai fait geindre à force de la doigter. En la basculant doucement sur le dos, jambes par-dessus tête, j’ai pu enfoncer mes doigts sensuellement dans sa fente. Son sexe s’est ouvert dans un mouvement humide, large, confortable. Ma main aurait pu y entrer, tant son vagin m’appelait pour le fourrer. Ma belle s’est installée sur la banquette pour se mettre à se branler devant moi. Ses seins lourds étaient parcourus de frissons. Ses mains exploraient son sexe, et je regardais précisément comment elle se caressait pour reproduire ses gestes ensuite. Je l’ai prise en photo en train de se faire du bien car c’était la plus belle chose au monde. Puis je l’ai fait jouir avec mes doigts en jouant sur elle comme sur un instrument de musique. En retour, elle s’est penchée sur ma bite et elle s’est mise à la déguster avec une telle sensualité que le sang de mon désir pour elle pulsait dans toute ma tige comme un cœur qui bat la chamade. Elle a posé son visage sous mes couilles et elle a commencé à les gober et à les faire rouler tout doucement dans sa bouche, très délicatement. Elle était si sensuelle que j’ai continué à la prendre en photo en zoomant sur son visage de déesse. Beauté fatale qui aspirait mon chibre comme une friandise… Pour finir, elle m’a demandé de la prendre par derrière sur le siège passager. Son joli petit cul s’est offert à mon plaisir et j’ai joui sur sa croupe tout en vénérant ce cul solaire qui s’était trouvé sur mon chemin au bon moment… Elle est depuis ma maîtresse de l’aire d’autoroute, et cette lettre est pour célébrer cet ange qui devrait veiller sur tous les routiers.
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