Une formatrice attentive

La rédaction 12 janvier 2023

Il y a quelques mois, je me suis autorisé pour la première fois un stage de développement personnel. Je ne croyais pas du tout aux vertus d’une telle initiative, mais j’étais quand même curieux de découvrir cette méthode, après en avoir discuté avec une amie et alors que je traversais une période de déprime. J’ai quitté femme et enfants pendant une semaine pour prendre du temps pour moi. Là-bas, dans la campagne bordelaise, je suis tombé sur un groupe composé de gens comme moi, autour de la soixantaine, venus se ressourcer et prendre congé de leur quotidien. La bonne surprise a été la “facilitatrice” du stage, une femme d’une quarantaine d’années à la silhouette élancée, à l’épaisse chevelure châtain et au regard chaleureux. Elle était mariée et mère de famille elle aussi, mais dès le premier jour, une sorte de connexion s’est établie entre nous. Je m’appelle Claude, j’ai 60 ans et voici mon histoire porno.

Moment confession

Nous faisions des exercices de respiration, les yeux fermés, et elle ne cessait de se mettre derrière moi pour effleurer ma colonne vertébrale, ma nuque, mes cheveux, afin de me faire tenir plus droit. Ce simple contact me faisait frissonner. Elle inspirait chez moi un désir venant chatouiller des émotions profondes, assez incontrôlables. Pendant les exercices en binôme, la coach me prenait souvent comme partenaire. Le soir venu, je me confiais à elle sur ce que je ressentais, et je crois qu’en deux jours elle en savait plus sur moi que toute ma famille réunie, ce qui ne me rendait pas spécialement fier. J’avais besoin de m’épancher auprès d’une inconnue… Et je sentais confusément que mes paroles la touchaient.

Un soir, après des exercices assez tactiles proches du tantra, mes sens étaient particulièrement en éveil. Les autres membres du stage sont partis se coucher peu à peu. Je me suis dirigé vers la porte de la maison pour aller discrètement fumer. J’ai trouvé notre instructrice assise sur une marche, en train de rêvasser. Nous avons discuté longuement, assis côte à côte. Dans un moment d’émotion, elle a ouvert ses bras pour m’inviter à m’y réfugier. Sa poitrine me berçait et j’ai agrippé un de ses seins pour le caresser. Je le frottais à travers son t-shirt, je cherchais son mamelon et faisais des petits cercles rapides dessus pour le sentir durcir sous mon doigt. Bien vite elle a relâché ses épaules, s’abandonnant à mes caresses. J’ai légèrement relevé la tête et elle a collé ses lèvres aux miennes pendant que mes mains pétrissaient plus franchement ses seins.

Au clair de lune

La maison était en lisière d’un bois. La formatrice m’a entraîné dans l’ombre des arbres, simplement éclairés par la lumière de la lune. Contre un tronc, elle m’a attiré à elle pour un baiser plus passionné encore. Son corps se collait au mien et je bandais contre son ventre mince. Elle a glissé sa main dans mon pantalon pour me saisir la queue et se mettre à la branler. Je l’ai aidée à la dégager de mes vêtements et elle s’est mise à la sucer à genoux dans les feuilles mortes. Sa bouche me prenait avec chaleur et douceur. Je ne suis pas de nature infidèle et c’était la première fois depuis mon mariage qu’une autre femme m’offrait une caresse aussi intime.

Ma bite était tendue vers elle comme une corde sur un arc, sa bouche m’avalait et flattait chaque recoin, léchait mon frein, mon gland et mes couilles, passant lentement sur la peau délicate, ce qui me faisait trembler de partout. Plus elle me caressait, plus j’avais envie de la pénétrer. Quand elle s’est redressée, elle m’a fait comprendre qu’elle le souhaitait aussi, se positionnant face à l’arbre et baissant son pantalon. La pâleur de sa peau ressortait dans la pénombre. Je me suis collé contre elle et l’ai baisée en tendant les mains pour lui caresser les seins en même temps.

Ma queue s’enfonçait avec précaution en elle, puis une fois que je fus dans son écrin trempé de mouille, la dame a saisi mes mains pour les poser sur ses hanches en m’ordonnant de la prendre plus vigoureusement. Je serrais son corps entre mes doigts et je bougeais mes hanches furieusement pour la posséder comme elle le désirait.

À chaque fois que ma queue s’enfonçait en elle, elle poussait un petit cri et lâchait des “oui” terriblement excitants. Je me sentais maladroit, un peu primaire et peu à l’aise. En même temps, le désir fulgurant qui nous avait réuni semblait l’exciter beaucoup. Se faire malmener contre un tronc, aussi. Je voyais ma bite entrer et sortir, mon corps bousculer son cul, son dos penché en avant, d’un blanc lunaire, et ses cheveux en bataille. Je lui assenais des claques sur les fesses à sa demande et la prenais de manière de plus en plus animale. Ma partenaire semblait apprécier les sensations vaginales un peu brusques que je lui offrais. D’une main, elle a tripoté un de ses tétons, le branlant comme un mini-clitoris, le corps tendu, pendant que j’essayais de retenir mon éjaculation. Bientôt, n’y tenant plus, j’ai libéré ma jouissance.

Nous étions échevelés et fourbus, un peu gênés mais complices, et nous avons continué le stage sans cesser de baiser dans les bois, chaque soir après les séances de groupe.

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