Le septième ciel

La rédaction 28 octobre 2025

Je suis stewart et je suis donc, logiquement, tout le temps en déplacement. J’ai deux copines, hôtesses de l’air dans la compagnie aérienne pour laquelle je travaille, que j’adore, et avec qui je suis très complice. Nous passons tellement de temps ensemble que nous nous racontons tout et même, j’ai senti au fil du temps une attirance physique grandir entre nous. Elles s’appellent Camille et Sofia, ce sont deux filles de 25 ans drôles et sexy. Voici notre histoire de sexe érotique.

Tous à poils

Ce jour-là, nous venions d’atterrir à Munich. Il faisait froid, la nuit était tombée tôt. On avait atterri un peu avant 21 heures. Les passagers s’étaient éparpillés dans la nuit, et l’équipage s’était donné rendez-vous dans le hall vingt minutes plus tard pour rejoindre l’hôtel.
Lorsque nous sommes arrivés, j’ai proposé à Camille et Sofia de prolonger la soirée dans ma chambre pour se poser et se détendre un peu. Tout le monde était en forme et je pense que chacun craignait de se retrouver seul dans une de ces pièces impersonnelles, propre mais un peu froide, avec une moquette grise et une odeur de savon. Ma proposition a donc été acceptée. Tandis que Camille s’installait au pied du lit et enlevait ses escarpins, Sofia a exploré le mini-bar. Le temps s’étirait et nous n’avions visiblement pas envie de nous quitter. J’ai lancé l’idée d’un strip-poker et nous avons joué tout en buvant du gin. À chaque fois que l’un de nous perdait, on devait retirer un vêtement. Nos uniformes de boulot ont fini sur la moquette. Nous étions en sous-vêtements. J’avais l’impression d’être avec mes deux meilleures amies, mais deux meilleures amies pour lesquelles j’avais du désir, d’autant plus que je les voyais avec de moins en moins d’habits – et de plus en plus de peau dénudée. 

préliminaires en trio

Alors que j’étais étendu sur le sol, en caleçon, l’esprit embué par l’alcool, la fatigue et le désir, elles sont venues de chaque côté de moi et ont posé chacune leur tête sur mes épaules. « T’es un vrai gentil, Sofiane, et tu sais, on ne te l’a jamais dit, mais ça fait longtemps qu’on te kiffe. On te trouve trop mignon. » C’est alors que Camille a pris mon visage dans ses mains pour m’embrasser. Je me suis laissé faire. Elles ont sorti leurs téléphones pour faire des selfies de nous trois tandis qu’elles m’embrassaient chacune leur tour. Je bandais dans mon caleçon. Elles l’ont descendu sur mes chevilles et se sont penchées sur ma queue pour la prendre en bouche. Dans le même temps, elles ont enlevé leurs propres culottes, de sorte que je pouvais les caresser sans effort, une pour chaque main tandis qu’elles s’occupaient de moi. Leurs bouches se sont succédées sur mon intimité, je bandais de plus en plus, je les laissais faire et je les sentais mouiller toutes les deux sous mes doigts. Nous avions franchi un cap dans notre relation de trio amical sur lequel il serait difficile de revenir… Les deux filles étaient toujours sur ma bite, la sensation de plaisir me montait à la tête, l’une était sur le gland, l’autre sur mes testicules. Nous n’avions jamais été aussi proches, c’est peu de le dire… Leurs deux visages si jolis autour de mon intimité. Je les prenais à mon tour en photo. Quand elles ne me suçaient pas, elles s’embrassaient langoureusement au-dessus de moi et se caressaient les seins ou la chatte. Puis elles revenaient à ma queue, en prenaient soin, la faisaient encore durcir sous leurs langues, puis elles se caressaient à nouveau l’une l’autre. Cette alternance des plaisirs nous a amenés doucement vers la jouissance. J’ai giclé sur elles, tandis qu’elles se branlaient mutuellement pour se faire jouir. Nous n’étions pas en vol, cette nuit-là, mais nous nous étions envoyés en l’air comme rarement !

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