Rendez-vous nu en cabane !

La rédaction 3 décembre 2020

Sofia, 30 ans, travaille dans un centre touristique. Un homme lui propose alors un rendez-vous dans sa cabane… pour une bonne partie de jambes en l’air !

Cette histoire de sexe se passe dans le cadre d’un travail saisonnier que j’ai effectué en centre de loisirs pour adultes. Je m’occupais notamment de groupes de touristes à qui je faisais visiter des villages ardéchois.

Un jour, l’un des hommes que j’accompagnais m’a tapé dans l’œil. Il était avec sa femme et il n’arrêtait pas de me jeter des regards en coin qui répondaient à mon propre intérêt. Il était grand, avec un beau corps, de larges épaules, un côté assez sexuel.

A la fin de la visite, nous avons bu un verre avec le groupe et il est venu discuter avec moi pendant que sa femme parlait avec une amie. Il m’a fait un petit numéro de charme en me disant à quel point la visite d’aujourd’hui lui avait plu. Quand il a dû partir, il a glissé un petit bout de papier dans ma main. Il me donnait rendez-vous le soir même dans une cabane, dans les hauteurs d’un des villages.

C’était une petite cabane en bois qu’il venait d’acheter pour en faire un bureau, pour s’évader de sa famille et de sa maison de campagne de temps en temps. Je m’y suis rendue le cœur battant et, quand je l’ai retrouvé sur le pas de la porte au soleil couchant, nous n’avons pas dit grand-chose. Je me suis glissée dans ses bras pour l’embrasser.

J’avais vraiment besoin d’une aventure, ça faisait des semaines que je n’avais pas baisé, et c’était la première fois depuis longtemps que je désirais un inconnu comme ça.

Très vite, nous avons été nus dans la cabane et l’homme, qui s’appelait Pierre, s’est agenouillé sur le petit lit une place pendant que moi je m’installais à ses pieds pour le sucer. Sa belle queue ravissait mes sens et j’adorais sentir son érection sur ma langue. Puis il m’a attirée à lui pour que je le suce sur le lit. J’étais allongée sur lui, le visage au niveau de sa bite, et je léchais son gland et jouais avec ses couilles.

Très vite, il s’est redressé pour mettre une capote et me prendre en missionnaire. Nous étions excités comme des jeunes amants qui se retrouvaient après une longue séparation. J’ai remonté les jambes vers mon visage pour resserrer les cuisses. Il me prenait et je caressais mon clito en même temps avec ma main. Notre attirance était chimique et sa pénétration, surtout après mon abstinence et dans ce contexte interdit, provoquait en moi un plaisir presque violent.

Je culpabilisais un peu vis-à-vis de sa femme, mais les sensations l’emportaient largement sur ce sentiment. Il m’a dit que celle-ci ne voulait jamais qu’il la sodomise et il se trouve que moi, j’adore ça… Je lui ai dit qu’on devait en profiter.

Je me suis installée sur le côté, les genoux remontés, de sorte à présenter mon cul et mes cuisses sur lesquelles j’avais gardé mes bas. Ça le rendait fou, il n’arrêtait pas de les caresser et de les embrasser en se délectant par avance de s’y introduire.

Il devait avoir l’habitude de baiser là car il a sorti de je ne sais où un tube de lubrifiant. Il en a badigeonné amoureusement sa bite et mon trou puis il s’est présenté à l’orée de mes fesses pour s’y glisser. Je regardais en arrière pour voir l’expression de son visage. La sodomie, pour moi, crée une intimité érotique extrême.

Son sexe me pénétrait avec force et douceur à la fois. Je voyais le plaisir qu’il prenait imprimer ses traits et cela m’excitait encore plus. Mon cul s’ouvrait pour le laissait passer et recevoir sa queue. Il m’a prise en photo car cette image l’excitait tellement qu’il voulait en garder la trace. Le plaisir que je ressentais alors qu’il m’enculait et intensifiait sa pénétration était puissant, un plaisir presque cérébral, associé à une sensation de friction intense en moi. Je l’aidais parfois en écartant mes fesses avec mes mains.

Je me suis mise sur le dos pour qu’il continue de me sodomiser et que je puisse libérer mes mains pour me caresser la chatte et les seins. Sa bite s’enfonçait dans mon cul pendant que je stimulais mes autres zones érogènes. Je sentais les montagnes russes du plaisir hérisser ma peau. Lui me disait que jamais il n’avait baisé un cul pareil, et il allait et venait encore et encore entre mes cuisses, dans ce recoin si sensible de mon intimité.

J’oubliais tout à fait son adultère et ma participation à cette trahison. Après tout, si sa femme se refusait à cette expérience cosmique, pourquoi s’y refuser avec moi ? Mon corps bandait tout entier, et je me tendais vers l’orgasme pendant qu’il m’enculait avec souplesse et tendresse… Il a tendu la main pour me branler et me doigter en même temps que la sodomie et la fulgurance des sensations m’a fait jouir avec une force rarement égalée…

Quand je suis redescendue, je l’ai fini en le suçant avec la même intensité avec laquelle il m’avait prise, et il a éjaculé sur ma bouche, son sperme a coulé sur mon menton pendant qu’il tendait le bras pour prendre mon visage en photo. Il m’a laissé un souvenir impérissable.

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