Demande de renforts !
7 février 2025![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2025/02/histoire-de-sexe-demande-de-renforts.jpg)
Rentré d’Afrique il y a peu, j’ai proposé à trois camarades de mon unité de les héberger au lieu de dormir à la caserne. Lucile, mon épouse, a toujours été attirée par l’uniforme et par la pluralité masculine. Voici notre histoire de sexe amateur.
4 soldats pour ma femme
Dès le premier soir, l’ambiance a été électrique à la maison, ma femme se tortillait le cul sur sa chaise. Les treillis, bien que camouflant normalement les corps, montraient des signes de fortes érections chez mes compagnons d’armes. Avant de rapporter le dessert, j’ai glissé une main dans la culotte de ma chérie, je l’ai ressortie toute poisseuse de mouille, elle sentait fort et a défailli lorsque j’ai effleuré son clitoris. Je suis revenu sans le gâteau, mais avec Lucile en guêpière et bas-résille dans mes bras ! La troupe m’a suivi dans la chambre, j’ai extirpé ma queue et me suis fait sucer en premier, à tout seigneur, tout honneur après tout !
Mais d’autres bites se sont matérialisées devant la bouche gourmande de ma moitié et j’ai vite été relégué à différentes tâches, loin d’être subalternes, entre léchage de minou, pelotage de nichons et surtout, prise de photos souvenirs de cet assaut en règle ! Lucile était déchaînée, elle a sorti une boîte de capotes d’une de nos tables de nuit et en a recouvert les pénis de nos invités, avec la bouche, s’il vous plaît ! Allongée, elle serpentait sur le lit tout en se touchant partout et en écartant les petites lèvres de sa chatte qui brillait de cyprine pour appeler un soldat à la rescousse. Je ne sais plus qui y est allé en premier, mais ce dont je me souviens clairement, c’est qu’il l’a démontée ! La couche bougeait en tous sens et Lucile a joui en hurlant sous les coups de boutoir de la grosse bite qui lui fouillait le bas-ventre.
La suite logique a été qu’elle appelle deux nouveaux combattants sur le ring, l’un qu’elle a pris en bouche avec un appétit féroce, l’autre qui l’a ramonée en levrette. Lucile était écartelée entre le désir de crier, tant le piston qui allait et venait en elle était délicieux, et l’impossibilité de le faire tant le chibre qui se glissait dans sa gorge était imposant et s’enfonçait profondément en elle. C’est alors qu’un des hommes a lancé un « Changement de poste ! » qui a déclenché un grand éclat de rire, mais des soldats restent des soldats, quel que soit le champ de bataille, et ils ont opéré la manœuvre avec fluidité. Une nouvelle queue a investi la chatte de Lucile tandis qu’un braquemart recouvert de son mucus onctueux se présentait devant, à ses lèvres, pendant que des mains musculeuses n’arrêtaient pas de caresser ses seins, de la malaxer avec plus ou moins de rudesse, de malmener ses mamelons sensibles et que des doigts se perdaient à l’arrière de ses lignes, s’injectant totalement son petit trou afin qu’elle se sente remplie de toutes parts.
Partie de foutre et squirting
Le rythme de cette partie fine a donc varié en fonction de celui qui la pénétrait. Certains étaient presque langoureux dans leurs mouvements de bassin alors qu’un autre adoptait une posture performative et n’avait de cesse que d’asséner des coups de reins toujours plus puissants pour faire crier ma douce. Elle ne s’est pas privée, attendant de chacun qu’il lui donne un orgasme. Je ne sais combien elle en a eu, en missionnaire, en cuillère, en levrette, avec une bite, une langue ou des phalanges ordonnées qui l’ont fouillée jusqu’à ce qu’elle squirte et inonde aussi bien les hommes que le lit !
Elle a réclamé une pause pour filer aux toilettes puis se rafraîchir. Certains de mes camarades en ont profité pour fumer une cigarette, un autre est parti avec elle pour la laver et se laisser sucer sous la douche. Au retour de Lucile, nos pines étaient toujours au garde-à-vous et elle a compris qu’il était temps, pour elle, de nous mener au plaisir à notre tour. Nous lui avons demandé de s’allonger de nouveau sur le lit et l’avons caressée dans un ballet sensuel et impudique, lui écartant les jambes et les fesses pour nous repaître de la vue de tous ses orifices, d’aucuns se faisaient pomper le dard, d’autres encore restaient à leur poste d’observation afin de se concentrer sur sa fente largement ouverte ou glisser un doigt taquin dans son anus accueillant.
Un premier a annoncé qu’il allait jouir, cela a déclenché les autres dans la foulée et c’est quasi simultanément que quatre jets de foutre ont jailli pour aller arroser ma femme. Nous devions être dans un sacré état d’excitation, car toutes les éjaculations ont été plus que fournies et les quatre spermes se sont mêlés en un glaçage blanc du plus bel effet !
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