Le strip-poker qui dégénère !

La soirée entre amis avait bien commencé, mon chéri nous avait fait un bon petit plat, le repas avait été parsemé de blagues et d’allusions coquines avec Paul et Stéphane, des coéquipiers de foot de mon homme. Mais ensuite s’en est suivi une folle de histoire de sexe. Et par la suite, l’ouverture d’une bouteille de rhum et le lancement d’une partie de poker. Pas la peine de vous faire patienter plus longtemps, vous avez deviné la suite, d’une partie classique, cela a glissé vers un strip-poker au cours duquel je n’ai perdu ma dernière fringue (mon string noir au sol) qu’après avoir foutu à poil mon copain et Paul !

Faire tapis avec deux hommes

Les deux garçons me plaisaient beaucoup, d’autant qu’ils bandaient comme des forcenés. J’ai innocemment posé ma main sur la queue de Stéphane sous le regard complice de mon homme qui a immédiatement commencé à nous prendre en photo, cette merveilleuse histoire de sexe pouvait débuter !

Notre trio s’est dirigé vers le canapé et j’ai été encadrée de très près par mes deux amants d’un soir. Quatre paluches me caressaient tandis que j’attirais à moi les objets de ma convoitise, leurs deux belles bites dressées.

Tout mon corps était en proie à une excitation que seule la pluralité masculine provoque en moi. Ma chatte s’est transformée en un cloaque humide et parfumé, je voyais mon mec priapique alors qu’il nous matait tout en nous mitraillant et l’idée de déclencher ces érections terribles chez ses amis m’a transcendée.

Belle invitation au jeu

Je tournais la tête de droite et de gauche, suçant la tige bien raide de Paul, léchant le gland et aspirant les bourses de Stéphane. L’histoire de sexe ne faisait que de commencer. Pendant ce temps, les garçons ne sont pas restés inactifs, loin de là. Après m’avoir copieusement tripoté les nichons, les caresses se sont dirigées vers mon intimité. Une armée de phalanges s’est lancée à l’assaut de mes orifices, j’ai été fouillée, masturbée, doigtée tant et si bien que je n’ai pu retenir mon premier orgasme lors de cette histoire de sexe.

Remise de mes émotions, j’ai été invitée à me placer à quatre pattes. J’ai décidé d’offrir mon postérieur en premier à Paul, me retrouvant, de facto, face à l’érection de Stéphane. J’ai reçu leurs deux outils en même temps, le premier bien au fond de la chatte, le second a coulissé entre mes lèvres, le gland venant buter contre mon palais. Celui qui me baisait m’a saisie par les hanches et a lâché ses coups de boutoir sans même penser qu’à chaque choc, ma tête était propulsée vers l’autre carotte qui me rentrait entièrement dans la gorge ! Après avoir calmé les ardeurs de mon limeur fou, nous avons trouvé un rythme de croisière qui m’a menée une fois de plus aux portes du plaisir. Ce dernier faisait preuve d’une endurance sans faille, j’ai été retournée sur le dos et rebelote, mais cette fois-ci, j’étais bien plus à mon aise et pouvais contrôler les secousses en écartant ou en refermant les cuisses.

Un jeu de foutre

Je m’activais avec toujours autant d’énergie sur le pénis que je pompais. Je n’ai pas senti à temps les tressaillements prémonitoires à l’éjaculation de celui-ci, et d’un coup, le sperme a giclé dans ma bouche. Les jets étaient forts, le volume de foutre conséquent, mais le jus était sucré et onctueux, donc je me suis régalée à tout avaler puis à lécher le gros gland sur lequel perlaient encore de délicieuses gouttes de semence.

Après cette effusion, Stéphane s’est ramolli, j’ai donc chevauché Paul, au mieux de sa forme. Lui faisant face, il en a profité pour m’effleurer les seins. Ses mains étaient brûlantes et mes tétons bandaient, ténus et avides de ses pincements plus ou moins sadiques. J’ai encore joui sous les va-et-vient de son piston. Il avait dans le bassin, un déhanchement qui correspondait pile à mes femelles attentes, mais ce qui m’a le plus excitée à cet instant de notre trio, c’est de reprendre le sexe flasque de Stéphane entre les lèvres et de le sentir renaître à la vie sous l’effet de mes succions et de mes caresses.

Dons d’orgasmes

Lui aussi ne s’est pas privé de se repaître de ma poitrine et de mon petit trou. Ses effleurements ont parcouru ma peau, tâtant un mamelon, se glissant dans mon œil de bronze. Il en a profité pour y faire pénétrer deux doigts, réaction à mes gémissements de plus en plus puissants. J’ai joui dans des proportions impressionnantes de cette double invasion, la tête me tournait et les garçons m’ont assise afin que je recouvre tous mes esprits.

Debout de part et d’autre de mon corps en sueur, ils se sont masturbés en me regardant me toucher, j’écartais mes lèvres pour faire saillir mon clitoris. Cette fois, j’ai vu les grimaces annonciatrices sur leur visage, et le foutre est sorti, en filet pour l’un, en fins crachats vigoureux pour l’autre. Voici comment s’est terminé cette folle histoire de sexe ce soir là !

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