Les joies du covoiturage

La rédaction 8 février 2021

Justin, 19 ans, s’inscrit sur un site de covoiturage. Elle fait la connaissance d’Hamid. Ensemble, ils vont faire le trajet dans une atmosphère torride

Les joies du covoiturage histoire de sexe

L’année dernière pendant les vacances, j’ai couché dans la chambre de mon grand cousin de 23 ans en son absence. J’ai fouillé dans ses affaires et j’ai découvert interstron.ru. Je l’ai dévoré, je me suis régalée et doigtée très fort. Je faisais un peu l’amour depuis un an. Là, j’avais envie de le faire de plus en plus, même si certaines copines disaient que j’étais une salope. J’apprends plein de choses sur le sexe dans votre magazine. Je suis toujours ébahie par le courrier des lecteurs et des rencontres qui se font. Je n’imaginais pas qu’un jour,  même si j’en rêvais, cela m’arriverait à moi… Je vais vous raconter mon histoire de sexe.

Beaucoup de filles de mon âge le pensent ou le disent tout bas mais moi, je ne m’en cache pas : j’aime le sexe. Il n’y a pas de meilleur moment pour moi que quand j’ai les cuisses écartées, avec ma moule baveuse et bien ouverte tandis qu’une bite s’approche pour la pénétrer. Pendant trois mois, je m’étais privée de tout pour mes examens alors, quand ça a été fini, je me suis dit: « Ouf, maintenant, je me lâche. À moi les vacances, mais surtout les mecs ! »

J’avais promis de rejoindre une cousine sur la Côte d’Azur pour fêter ses 20 ans. Je devais y aller avec un oncle et une tante. La veille du départ, patatra, un empêchement professionnel de l’oncle a tout mis par terre. Mais j’avais promis à ma cousine et je me faisais une joie de cet anniversaire, avec sortie en boîte de nuit, drague et tout. Alors j’ai eu l’idée d’aller taper « covoiturage » sur Internet. Et j’ai trouvé rapidement un mec, Hamid. Je suis partie le soir même. Rendez-vous à 22 heures, c’était mi-juillet et il faisait chaud. Hamid avait écrit : « Un fourgon de location pour déménager, avec des inscriptions dessus, tu ne peux pas le louper. » En effet, dans la cour de la gare, je n’ai vu que ça. Hamid m’a fait monter, il allait jusqu’à Marseille déménager sa sœur et il était à vide pour remonter les meubles. Il roulait de nuit pour éviter la chaleur.

On a écouté la radio, discuté de choses et d’autres. Il m’a gentiment draguée, ça ne me déplaisait pas. Il était étudiant et devait avoir dans les 25 ans. Ses cheveux étaient frisés, il avait de grands yeux noirs et sa chemisette ouverte laissait paraître un corps brun, plutôt mince. Il m’a indiqué qu’il avait prévu de s’arrêter pour se reposer un moment dans le fourgon, où il avait installé un matelas et un sac de couchage.

Vers deux heures du matin, on s’est arrêté sur une aire de stationnement très fréquentée. On est allés boire un coup, il y avait du monde comme en plein jour. Ses yeux descendaient souvent au niveau de mes nichons, bien moulés dans mon soutif et mon T-shirt. Il me racontait des trucs un peu coquins, je lui disais que cela ne me choquait pas du tout. Je commençais à être amoureuse.
En revenant au fourgon, dans la pénombre, il m’a attrapée par le cou et m’a posé un petit bisou au creux de la nuque. « Je peux recommencer, si tu veux », a-t-il suggéré. Je lui ai fait comprendre que c’était ok. Il m’a appuyée contre un arbre pour m’embrasser moins timidement. Une fois au camion, il m’a collée contre la tôle tiède, et sa langue est venue lécher mes lèvres. Ça devenait très intense, la salive faisait glisser nos langues gourmandes. Je lui ai caressé la nuque. Il a forcément senti mes pointes de sein durcir à travers le tissu contre sa poitrine. Ma gorge était sèche, mais c’était le contraire pour ma chatte qui s’humidifiait très vite ! Contre mon ventre, j’ai perçu la raideur de sa queue bandée. L’instant était torride, j’aurais voulu qu’il soit sans fin.

II m’a pris la main et m’a amenée vers le bâtiment jusqu’à un distributeur de préservatifs. Il a demandé : « On va en avoir besoin, tu ne crois pas ? »Je lui ai souri en guise de réponse. Il en a acheté un paquet de trois, et nous sommes revenus vers le fourgon. J’ai réalisé que nous allions baiser. Après des mois de jeûne, mon petit minou n’attendait que ça.

Nous sommes montés tous les deux à l’arrière du fourgon où le matelas était posé au sol. Il faisait chaud, il a allumé une lampe torche, défait sa chemisette et dit: « Mets-toi à l’aise ! » J’étais un peu intimidée. Il a quitté son pantalon et ses sandales. Il ne portait plus que son slip échancré, tendu à mort par une bite bien moulée et que je devinais longue.
II s’est approché de moi, a soulevé mon T-shirt pour me l’enlever. Je me suis retrouvée en soutif. Tout doucement, il m’a léché le buste. Ma poitrine a gonflé : « Ma parole, comment ils sont beaux ! » Sans brusquerie, il a défait ma ceinture et baissé la fermeture de mon pantalon qui est tombé au sol. Il m’a chuchoté : « Allonge-toi… » Il bandait énormément, il avait des poils noirs et abondants de chaque côté du slip. J’avais une folle envie de le toucher, mais je ne voulais pas précipiter les choses. Il a passé ses mains dans mon soutif. Je l’ai enlevé, et il m’a pelotée partout. Quand sa langue a pris le relais, tous les pores de ma peau se sont électrisés et mes poils se sont hérissés. Un jus bienfaiteur a coulé de mon minou.

Il me caressait les cuisses maintenant. Je les ai ouvertes. À travers le tissu de mon string, ses lèvres ont embrassé ma chatte affamée. Je sentais la chaleur de sa bouche. Il a soulevé mon sous-vêtement du bout du doigt, ouvrant le passage à un deuxième doigt… Il a écarté l’élastique pour me libérer la chatte. Sa langue fouineuse s’est faufilée vers mon minou gluant. Il a lapé le jus de mon abricot et m’a demandé si j’aimais le cunni ! Comment répondre non !?

On a retiré mon string trempé, il m’a écarté les cuisses au maximum. J’étais ouverte, toute à lui. Sa langue chaude a progressé dans ma chatte. Il me caressait les seins en même temps que sa bouche s’attaquait à mon clito. Je respirais très fort. Son majeur est entré sans peine dans ma fente, puis son index, puis un troisième doigt. Il les faisait danser dans tous les sens. Sa bouche est remontée jusqu’à la mienne. J’ai humé mon jus sur son haleine. Là, il m’a sorti: « Tu as une super grande chatte, pour ton âge. » Mon volcan fiévreux continuait à cracher de la mouille. Je n’en pouvais plus, j’avais envie de sa queue en moi. Je le lui ai fait comprendre.

II a quitté son slip, sa bite était colorée et très tendue. Je me suis positionnée à quatre pattes pour une bonne levrette, lui offrant mon minou par-derrière. Je l’attendais, fébrile. « Allez, dépêche-toi« , lui ai-je ordonné. Il a réagi en cowboy: « T’inquiète gamine, je vais te la défoncer comme il faut ! » Il me l’a d’abord donnée à sucer pour lubrifier la capote. Il s’est mis à genoux, a écarté les quelques poils de ma chatte avec les doigts, et l’instant sublime est arrivé. Son gland s’est présenté à l’entrée de mon passage du plaisir. Il m’a saisie par les hanches, je me suis cambrée pour lui faciliter la tâche, et sa queue a glissé comme dans du beurre. « Quelle chatte tu as !« , s’est-il exclamé quand j’ai resserré mes chairs pour bien le sentir. Il a commencé à me limer sévère. Sa grande tige imprimait son mouvement jusqu’au fond de ma grotte brûlante. Il a su faire durer le plaisir plusieurs minutes. J’ai fini par craquer, je me suis écroulée. J’ai hurlé tellement j’ai joui. Il m’a bientôt rejoint tout en haut du plaisir, envoyant en silence toute sa purée au fond de mon ventre (dans la capote !). Je sentais sa touffe mouillée contre mes fesses. Il s’est affalé sur moi, a repris son souffle et m’a embrassé le cou en me caressant les seins et en jouant avec mes pointes.

Nous nous sommes allongés l’un contre l’autre et il m’a dit : « Je ne pensais pas que tu étais une bonne baiseuse comme ça. » De la part d’un mec plus vieux que moi, j’ai pris ça pour un compliment. Là-dessus, nous nous sommes endormis, à poil, enlacés. Le lendemain, il m’a laissée à destination, et nous avons décidé de ne pas nous revoir. Du pur érotisme ! Depuis, je pense à cette aventure presque tous les jours.

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Coït voiturage 

En voiture, Simone !

Avec les jeunes du parking

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • Clémentine

    Superbe aventure.
    A 18 ans ,je me suis faite baiser dans un fourgon sur un chantier par un mec de 27 ans qui m’a fait super jouir

interstron.ru