Jouir avec un inconnu

La rédaction 8 février 2023

Je m’appelle André, j’ai 52 ans et j’aimerais partager une histoire porno avec vous. Avec ma femme, Yvonne, on ne baisait plus beaucoup. Ça me rendait triste mais je compensais en lisant interstron.ru et en repensant à nos jeunes années, quand on ne pouvait pas nous décoller l’un de l’autre. Il y a six mois, Yvonne est tombé sur un numéro d’Union. D’habitude, elle n’aime pas ça, alors je planque mes magazines. Sauf que là, intriguée sans doute par la belle pépé en couverture, elle a commencé à lire. Je l’ai surprise en pleine séance, la bouche entrouverte et très absorbée.

Le fantasme de ma femme

Elle n’a pas eu l’air gênée que je la vois faire. Elle a simplement levé les yeux et m’a demandé : « Mon Dédé, quel est ton fantasme ? » Comme je suis un malin, j’ai répondu : « Mais tu le sais bien, c’est toi, ma chérie. » Elle a souri et a lancé : « Ne fais pas le faux derche. Moi, je vais te dire le mien. Je voudrais me laisser tripoter par des inconnus. Et que toi, tu nous regardes. » J’étais sur le cul. Ma Vovonne, qui ne voulait plus que je la touche (ou presque), avait envie de se faire trousser par des messieurs devant moi ? Incroyable !

On en a reparlé à plusieurs reprises. Et comme elle ne lâchait pas l’affaire, j’ai fini par lui proposer qu’on aille ensemble du côté de la Joliette, où on raconte qu’il y a un parking dans lequel les couples viennent s’échanger. Elle a dit oui. Alors un soir, nous sommes partis ensemble en voiture.

Nous étions tous les deux silencieux en arrivant. L’attente a duré au moins une heure avant qu’une autre voiture se gare devant nous. Un type d’une quarantaine d’années est descendu et nous a regardés. Vovonne a pris quelques secondes de réflexion, puis m’a embrassé sur la bouche et a ouvert la portière. Elle s’est avancée vers le type. Je n’entendais pas ce qu’ils se disaient, mais la conversation n’a pas duré longtemps. Déjà, Vovonne ouvrait son manteau. Je la voyais de dos mais je savais que dessous, elle était à poil.

La main droite du gars est passée derrière les pans de la veste de ma femme. Il lui caressait le cul. Puis je l’ai vu mettre son index dans sa bouche, avant de le faire disparaître lui aussi. Je devinais à ses gestes qu’il avait entrepris de s’introduire dans la chatte d’Yvonne, que j’imaginais baveuse. Cette idée m’a fait bander d’un coup. Mon épouse n’a pas oublié qu’elle avait un spectateur et s’est retourné au bout de quelques minutes.

La mater avec un autre

J’ai pu mater son corps si familier : ses grosses mamelles tombantes, entre lesquelles j’aimais tant glisser mon chibre, ses bonnes cuisses encore fermes, et son sexe velu où les poils blancs se mêlent aux bruns. Ma femme que je connaissais si bien… Sauf que là, un inconnu plaqué derrière elle lui besognait le vagin avec deux doigts !

En même temps qu’il la doigtait, il lui avait plaqué sa main restée libre contre la bouche. La salope devait gémir trop fort… Si je n’avais pas su qu’elle était consentante, j’aurais pu croire qu’elle était en train de subir les fantasmes d’un tordu, là, seule dans ce parking sombre. J’ai sorti mon gourdin et je me suis pougné, imaginant ma femme se faire prendre de force par un inconnu.

Quelques minutes plus tard, on a entendu une sirène de police retentir dans une rue voisine. Le gars a lâché Yvonne avant de repartir sans demander son reste. Mon épouse m’a rejointe et s’est assise à l’arrière de la caisse. Je me suis tourné vers elle. Elle souriait, les yeux brillants et les joues rouges. « Ce cochon ne m’a pas fait jouir. Va falloir que tu prennes la suite ! » a-t-elle dit.

Je ne me suis pas fait prier. J’ai sauté à l’arrière et j’ai collé mon chibre contre sa chatte molle et suintante. Elle m’a guidée, l’introduisant elle-même en elle. Nous n’avons pas tenu longtemps : quelques allers et retours qui ont fait trembler jusqu’au châssis de la voiture et j’ai balancé la sauce. Quand elle a senti mon jus, elle a joui en criant.

Nous sommes rentrés tout contents de notre aventure. Depuis, la flamme est ravivée : Yvonne et moi refaisons l’amour. Et pas seulement tous les deux…

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