L’été sera chaud… sans les tee-shirts, sans les maillots !

Moi, Laura, petit bout de femme, blonde, timide, pas très portée sur le sexe et … fidèle ! Enfin … jusqu’aux vacances de l’an dernier. Il y avait de l’eau dans le gaz avec mon copain, j’ai décidé que nos villégiatures se dérouleraient chacun de notre côté. Voici mon histoire de sexe érotique !

Lorsque je suis arrivée à Punta-Cana, je me suis mise tout de suite dans l’ambiance de l’hôtel que j’avais réservé, un établissement « adult only », comprenez « sans enfants », en clair dans le texte, sous-entendu, « ici, on baise ! ». J’ai couché dès le premier soir ! Un truc à la va-vite avec le barman, il m’a léchée, allongée à même le comptoir, j’ai joui puis je l’ai sucé avant qu’il ne me prenne debout, il a éjaculé dans sa capote en deux minutes et fini !

Le lendemain, j’ai eu plus de chance avec un Argentin ! Loin du corps athlétique de tous mes dragueurs, il avait un petit bidon, mais affichait un paquet bien garni et un sourire renversant. Je l’ai invité dans ma chambre et j’ai tout de suite baissé son maillot de bain. Sa bite massive a jailli et j’en ai rempli ma bouche. La queue avait un goût de sel marin et Alvaro, tout en me caressant la chatte et les seins, a commencé à nous photographier. Grande première pour moi, j’allais recracher son gland pour m’offusquer et envoyer le portable contre un mur, mais je me suis ravisée, cela rajoutait du piquant à la situation et je me suis prise au jeu, cela m’excitait follement in fine. Je me suis retrouvée à poser, totalement nue sur le lit, cuisses largement écartées, suivant à la lettre les indications de mon reporter en herbe. Après quoi, j’ai adopté plusieurs attitudes tout en me touchant et en me caressant, remettant mon bikini jaune pour d’autres jeux de lumière, j’ai rapidement été trempée !

Alvaro a tout de suite repéré le gros gode à ventouse planté sur ma table de nuit, j’avais pris mes précautions au cas où je ferais chou blanc pendant mon séjour. L’objet lui semblait a priori parfait pour me préparer à sa queue. Il a craché sur le bout du boudin en silicone et me l’a lentement enfoncé dans la chatte. En dépit des dimensions imposantes de l’artefact de pénis, tout est entré sans peine, ma cyprine a suffi à lubrifier le passage, mais mon con était rempli à craquer ! Plusieurs clichés plus tard, je me suis de nouveau retrouvée en tenue d’Eve, Alvaro entrait enfin vraiment en scène. Mon fruit de paradis a été copieusement léché et doigté. Dans un coin de ma tête, malgré moi, je faisais des comparatifs avec la technique de mon ex ! Rien à voir ! Mon fougueux argentin lui mettait trois longueurs minimum, il m’a fait venir en quelques minutes en coordonnant ses papillonnages et les secousses puissantes de ses doigts plantés par deux dans chacun de mes orifices !

Après un soixante-neuf gourmand et sensuel, je me suis offerte en levrette. Je sentais bien que cet homme avait un faible pour cette position, je ne m’étais pas trompée. Il m’a détruite de coups de reins, les mains agrippées à mon petit cul. Il enfonçait son pouce dans mon anus onctueux et hospitalier, il a éjaculé juste après mon orgasme. Ce ne fut pourtant pas un signe de réddition car il bandait encore. Je l’ai sucé et il a de nouveau déchargé dans ma bouche !

Les soirs suivants ont été une divine répétition de cette première fois, nous avons varié les plaisirs, il m’a même dépucelé en me sodomisant, j’ai adoré me faire enculer, c’est moi qui lui réclamais de me prendre par-là après. Et, hasard du calendrier, j’ai fêté mon anniversaire avec lui, cela a été mémorable ! J’ai d’abord eu le droit à un gâteau et tout le club a chanté pour moi, après quoi, Alvaro m’a offert un cadeau pour le moins original … un second amant, avec une queue encore plus grosse que la sienne. J’étais bien décidée à toutes les folies et nous avons fini à trois dans sa chambre, j’aurais pu former une flaque entre mes jambes tellement je mouillais !

À genoux devant les deux belles bougies, je les ai sucées l’une après l’autre, essayant, en vain, de faire entrer les glands en même temps dans ma bouche trop petite. Cela a ensuite été mon tour d’être gâtée, j’ai été léchée à deux langues, l’une sur mon œillet, le second dansant entre mon chat et mon clitoris. J’ai joui en criant tellement c’était bon, avant de réaliser l’un de mes fantasmes, turluter un homme pendant qu’un second me baisait à quatre pattes. Ils se sont relayés devant et derrière moi pour varier les plaisirs. L’ami d’Alvaro était monté comme un âne et j’ai tout vécu entre leurs bras, jusqu’au Graal ultime … une double pénétration qui m’a éblouie de bonheur !