Un inconnu sous le ciel étoilé

La rédaction 22 décembre 2022

Je suis une quadra épanouie, mariée à Alban, un homme merveilleux, et j’ai rédigé ce courrier en hommage à un autre homme qui a réchauffé notre vie sexuelle. Peut-être qu’il se reconnaîtra. Je ne connais même pas son nom. Alban et moi étions en voiture, de retour de soirée. Et comme souvent, on se hâtait vers chez nous pour baiser, car nous nous étions chauffés toute la soirée. On adore faire ça. J’étais en petite robe avec un string dessous, des bas résille, porte-jarretelle et talons aiguilles. J’adore porter cet attirail toute la journée en sachant que mon mari va en profiter la nuit venue, surtout après une soirée où il est le seul à savoir ce qui se planque sous mes vêtements. Je m’appelle Claire, j’ai 40 ans et voici ma torride histoire porno.

L’auto-stoppeur

Et le bel inconnu était là, sur le bord de la route. J’ai envie de m’adresser à lui directement dans ces lignes. Tu étais là, un peu flippant je dois dire, un homme grand, carré, en chemise vert kaki, qu’on distinguait mal dans la nuit. Tu faisais de l’auto-stop. Intrigués, nous avons regardé un peu ton allure et je ne sais pas, j’ai senti quelque chose de doux en toi et j’ai eu confiance. J’ai regardé Alban pour lui dire de s’arrêter.

Nous t’avons pris avec nous. Tu sentais bon l’eau de Cologne et tu avais un corps qui m’attirait malgré tes airs bourrus. Quinqua aux cheveux grisés, sourire amusé sur la trogne, dans la nuit du moins, tu paraissais bel homme. Tu avais quitté une soirée en rase campagne, avais trop bu pour prendre le volant et voulais rentrer pour te reposer. En aventurier, tu avais tenté l’auto-stop et nous étions tes sauveurs.

Alban et moi avons ri en entendant tes blagues, le chemin était un peu long jusqu’à chez toi, alors nous avons fait connaissance. Nous avons fumé des clopes, fenêtres ouvertes, au milieu de la campagne, en mettant la musique à fond. Nous nous sommes même arrêtés dans une clairière à l’écart de tout, pour observer le ciel étoilé. La nuit était à nous et tu n’étais pas pressé de rentrer non plus. Les portières ouvertes, je me prélassais dans la fraîcheur nocturne, robe remontée sur les cuisses, jambes à l’extérieur de la voiture, en écoutant la musique.

Isolés dans la campagne

Tu as vu la lisière de mes bas et tu t’es approché pour me regarder. Tu as tiré sur ma cigarette en dansant près de mes jambes. Alban, derrière toi, t’a poussé légèrement contre moi. Je t’ai attrapé entre mes pattes ouvertes pour te tenir contre moi. Tu as soufflé ta bouffée de cigarette dans ma bouche. J’ai tendu la mienne. Tu avais vu clair dans notre jeu. Alban adorait me voir contre la peau d’un autre et moi, tu m’avais plu.

Je suis sortie de l’habitacle pour être plus libre de mes mouvements. J’ai quitté ma robe, car j’avais chaud. Nue, en string, enveloppée par la nuit, je me suis accroupie dans l’herbe. Tu a baissé ton pantalon et tu m’as donné ta queue à manger. J’étais très chaude, je me réchauffais encore plus à l’aide de mes deux mains qui me caressaient les seins. La position accroupie me permettait de me caresser moi-même pendant que je te suçais.

Alban nous a photographiés avec de l’amour dans le regard. La nuit s’offrait à nos gémissements et nous offrions nos cris à quiétude. J’ai empoigné ton sexe pour le branler et le durcir à mon goût. Les herbes hautes caressaient mes chevilles et mon cœur pulsait dans mon clitoris. Mon mari nous regardait, toujours, son appareil photo volant ici et là une image de nous. Emporté par ta fougue, tu m’as attirée contre la carrosserie, collé ton dos contre la portière et tu m’as prise contre toi.

J’ai soulevé ma jambe que tu as tenue sous le genou pour me tenir écartelée et prête à recevoir ton vit turgescent. J’exultais d’être ainsi tout contre toi, jambe suspendue en l’air et l’autre avec mon talon aiguille qui s’enfonçait dans la terre. J’étais pleine de toi qui t’es glissé dans ma chatte apprivoisée par tes alléchantes caresses. Nous tenions en un équilibre précaire, moi à demi écartée et debout contre toi et toi, pantalon baissé sur tes chevilles. Ton sexe me cherchait, et le mien allait à ta rencontre.

Maladroitement, tu t’es avancé en moi et j’ai senti la chaleur de ton organe vivant. Ton sexe, inconnu quelques secondes plus tôt encore, avait une familiarité dans le mien, il venait me caresser et me réchauffer de l’intérieur, tout en sensualité. Il gonflait en moi en même temps que mon propre plaisir. J‘ai regardé Alban qui s’amusait bien et c’était un moment plein d’abandon. Nous ne pensions pas vivre pareille chose en prenant un auto-stoppeur sur le bord de la route ! Je ne pensais pas que je serais pleine de toi à peine une heure plus tard. Prise par mon élan, je me suis tournée pour me mettre dos à toi, mains plaquées sur le capot arrière, seins libérés de toute entrave, en squat, fesses dirigées vers toi pour que tu me fasses tienne dans ce sens-là.

Là encore, ton sexe en moi était infiniment tendre, même dans ses entrées les plus fracassantes. Tu tenais mes hanches et tu m’as besognée avec un entêtement porté par ton envie de moi, ton envie de me baiser, de me foutre et de te répandre sur mon corps. Je me suis dirigée vers le siège avant, la portière était toujours ouverte, et je me suis retournée face à toi, tu as frotté ton sexe contre le mien avant de laisser échapper ton plaisir sur mon ventre. Tu t’es retiré et j’étais là, étendue sur ce siège, toujours en talons aiguilles, renversée en arrière, repue, dévorée par vos yeux indiscrets.

Alban a embrassé mon ventre et nous t’avons ramené chez toi, ma robe collante de sperme et un sentiment de gratitude dans le cœur.

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