Une lettre à ma douce Malika !
14 mars 2023Baptiste, 44 ans, vit à Solliès-Pont, a écrit une lettre d’amour à sa dulcinée pour raconter les moments de sexe les plus coquins de leur histoire !
Ma douce a tout pour elle. Belle, brillante, attentionnée et … coquine. Notre histoire de sexe a commencé par un coup de foudre, lors d’une soirée chez des amis communs, un premier regard, un baiser volé, j’étais en couple, elle aussi. Le lendemain, nous quittions tout pour vivre ensemble. Nous ne connaissions rien l’un de l’autre, nous étions impatients de nous aimer physiquement, nos sensualités allaient-elles s’accorder, se transcender ? Vous avez la réponse sous les yeux. Et comme vous le devinez sûrement, je voue un véritable culte au cul de ma douce, Malika.
Son corps de rêve m’excite d’avantage
Avec son corps aux formes sculptées par un luthier, elle aurait pu être l’égérie de Man Ray. Je me souviens du jour où elle m’a révélé ses courbes nues, des seins fiers aux auréoles larges et sombres avec de grands tétons, un sexe au triangle noir entretenu, mais fourni, calice pour une fente aux lèvres brunes cachant un trésor fuchsia toujours humide et un bouton aux dimensions et à la sensibilité hors norme, de longues jambes fuselées surmontées par la chapelle Sixtine des culs !
Ces fesses ! Une perfection, deux globes charnus et fermes ! Vous comprenez pourquoi j’ai choisi des clichés de levrette ou de cheval inversé. Le plaisir de ma moitié tient à la fois dans le mien et dans l’angle de pénétration de ma queue au fond de sa matrice. Elle sait s’y prendre et m’indiquer, sans un mot, ce qu’elle désire. Cela commence souvent par un contact de sa main sur ma cuisse. Elle s’amuse avec ma pilosité, y mêlant sensuellement ses doigts, son avant-bras contre mon sexe flasque. Elle continue sa danse et ma bite se dresse fièrement, c’est l’instant qu’elle choisit pour venir emprisonner ma hampe ou jouer avec mon prépuce.
Elle me fait bander
Elle me cajole la queue pour que je sois totalement en érection, elle me masturbe alors très lentement, décalottant mon gland à la limite de la douleur puis le recouvre. Ce traitement dure jusqu’à ce qu’une rosée salée nappe sa main. Je ne reste pas inactif pendant ce temps, je malaxe ses fesses, leur distribuant de petites claques légères, puis je m’insinue le long de la raie qui s’écarte. Je dessine les contours de son anus, un tore lisse et souple souvent oint du miellat de sa fente. Je m’aventure sur le sillon, sa vulve est une étendue de satin qui, en son lit, cache la plus délicate des fleurs. J’ouvre les grandes lèvres qui dissimulent les trésors de ma chérie, deux nymphes timides et dérobées qui viennent encapuchonner un clitoris volumineux et réactif. Je lubrifie mes doigts et j’entame cette ensorcelante ascension. La géode m’espère, impatiente, et quand le contact se fait, Malika disparaît sous les draps, elle ondoie jusqu’à ma trique qui n’attend que sa bouche tout en bombant son cul.
Elle a du mérite lorsque l’on voit la taille de l’engin qu’elle enfourne sans difficulté entre ses lèvres pulpeuses et épaisses. Quand ces dernières glissent le long de ma hampe et que la langue de Malika vient titiller mes couilles, je suis au paradis. Nous jouons chacun notre partition, moi en cunni majeur, elle en pipe magistrale, souvent elle jouit juste par cette oralité en m’inondant le visage, madame est femme fontaine. Le temps de calmer le tremblement qui ébranle tout son corps et la voilà prête pour l’assaut principal. Elle se love, arrondit ses reins ou accentue sa cambrure naturelle en fonction du plaisir qu’elle veut prendre et me donner
Le cul rosé de ma douce
Elle écarte de nouveau ses fesses, son bel abricot luisant se révèle aussi, le con rose est là avide, il réclame la saillie, il requiert mon large pieu tout au fond de lui. Malika, pourtant très douce quand il s’agit des préliminaires, adore que le sexe devienne sauvage lorsque je la possède ainsi. J’aime secouer son corps de mes grands coups de reins et sentir ma queue emprisonnée dans cet étau dont je touche le tréfonds à chaque pénétration. Je claque les géodes de gauche et de droite, mon pouce s’infiltre dans le petit trou. Les jours de très forte excitation, j’entends un « Vas-y, fais-moi ce que tu aimes », à ce moment-là, je peux l’enculer, elle affectionne cette pratique quand elle est vraiment partie.
Quel que soit l’orifice, le plaisir arrive toujours, je me retiens afin que ma divine épouse prenne son pied une fois de plus, alors je sors ma bite et je la glisse entre ses fesses que Malika resserre, je m’astique le manche et je gicle à l’orée de ses puits et sur son dos. Merci pour tant d’amour et de sensualité ma belle Malika.
NB : Lorsque tu liras cette lettre, viens me rejoindre très vite dans le lit !
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