Pénétration chocolatée

La rédaction 11 mars 2020

Antoine, Normandie

Mon ex était une dévoreuse. Un volcan constamment en éruption. Elle était infatigable. Un soir, une fois les gamins couchés, je l’ai vue s’éloigner pour disparaître dans la cuisine. Puis revenir un sourire lubrique sur ses lèvres. Imperceptiblement, elle a commencé à onduler. Elle semblait comme attirée par la mélodie venant du CD qui tournait. Puis l’onde a agité sa nuque, ses épaules et elle a même balancé ses hanches avant de faire frissonner les fuseaux de ses cuisses, moulées par le jersey souple de sa robe à bretelles.

Lentement, elle a tourné sur elle-même, m’offrant tour à tour ses formes avant et arrière, prises dans le fourreau. Elle avait les yeux clos comme pour faire entrer le rythme en elle et n’être plus qu’une offrande ingénue et provocatrice à mon regard. Ses longs cils se sont relevés tout à coup, pour lancer un regard brûlant vers moi. Les épaulettes tombèrent l’une après l’autre, sur les bras nus. Sa robe a glissé dans un frisson voluptueux. En dessous, elle portait une culotte si transparente que son sexe et ses poils étaient aussi visibles que si rien ne les avait protégés. Un fin porte-jarretelles tendait de doux bas fumés qui gainaient ses jambes et, pour finir, un mini body de dentelle dissimulait avec difficulté sa grosse poitrine dont les mamelons déformaient les broderies.
Puis elle s’est occupée de moi.

D’une main, elle a ouvert ma braguette, gardant toujours l’autre derrière son dos. Elle est tout de même parvenue à faire jaillir mon sexe à l’air libre. Elle a émit un gloussement de satisfaction en me voyant raide. Là, elle a sorti sa main de derrière son dos. Me présentant un pot de pâte à tartiner. Elle a dévissé le bouchon, et ôté le papier de protection. Puis elle a enserré mon membre de ses doigts juste  au-dessus des couilles. Et de l’autre, elle a emmanché le pot. J’ai éprouvé avec délectation l’onctueuse caresse que la crème tiède engendrait autour de mon gland. Butant bientôt au fond du pot, elle a fait marche arrière, pour mieux l’enfoncer de nouveau. Elle a renouvelé la manœuvre d’avant en arrière, une dizaine de fois. Ce fut une sensation fabuleuse. Il m’a fallu une grande maîtrise de moi-même pour ne pas éjaculer dans le pot. Puis elle l’a ôté. Ma verge était enduite d’une épaisse couche de crème chocolatée. Sourire aux lèvres, elle a approché sa bouche à la hauteur de ma queue, pour mieux refermer ses lèvres sur mon gland devenu une grosse sucette au chocolat. Je me suis abandonné tout entier à cette bouche d’une infinie douceur, sentant sa langue, jouer habilement sur le frein.
Parfaitement consciente du plaisir qu’elle me donnait, elle m’a sucé avec gourmandise, creusant ses joues pour mieux serrer ma bite entre ses lèvres, tout en me caressant l’intérieur des cuisses. Elle faisait virevolter sa main sur mon cul, ses doigts entrant parfois en contact avec mon anus. Elle avait glissé l’autre main dans son slip, enduisant ses doigts d’une mouille toute fraîche, tout en continuant à me sucer. Soudain, j’ai senti un de ses doigts poisseux me masser le pourtour de mon trou. Avec délicatesse, elle a introduit sa phalange tout entière en moi. « Tu aimes ça mon cochon ? » Elle en a inséré un deuxième, suivi d’un troisième doigt. Mon sphincter s’est élargi avec une sensation de plaisir de plus en plus aigüe.

C’était fabuleux ! J’avais l’impression que mon pénis avait triplé de volume. Quand elle a introduit un quatrième doigt dans mon anus, je me suis cabré dans un orgasme tellement violent que ma queue trépignait dans sa bouche en lâchant le sperme. Je n’avais jamais rien connu de pareil. À en perdre le fil de la réalité. À ne plus savoir où j’en étais. Je fus secoué de spasmes qui n’en finissaient pas. La sensation était unique. Une conjugaison d’émotions indicibles. L’orgasme a été immédiat et a tout balayé sur son passage. Une dizaine de contractions, un flot intarissable de sperme, presque effrayant. Puis elle s’est redressée et a collé sa bouche contre la mienne.

J’ai senti mon sperme couler dans ma bouche. Une saveur salée mêlée au goût sucré de la crème au chocolat. « Alors, me dit-elle. Surpris ? Tu ne t’attendais pas à ça ? ». « Non. Je l’avoue. À mon tour maintenant ». Alors qu’elle allait s’installer sur le divan, j’ai repris le pot de pâte à tartiner et je l’ai emmanché sur ma queue. Après quelques allers et retours, je me suis placé derrière elle. J’ai écarté sa culotte, et j’ai frotté mon gland chocolaté à l’entrée de son trou du cul.
Elle a alors creusé les reins, projetant ses fesses en arrière, toute offerte. Je n’ai pas résisté à l’envie de lécher la crème que mon gland avait déposé sur son petit trou. Alors je me suis cramponné à ses fesses, j’ai fouillé son anus. Ma langue a tourné, s’est repliée, s’est fichée plus loin encore, léchant la chair lisse à l’intérieur de la cavité rectale. Je lui ai pourléché le trou avec de grands bruits de succion. À force de fouiller, j’en avais la langue et les mâchoires douloureuses. Toujours sans prononcer un seul mot, je me suis empalé dans son sexe. Il m’a avalé d’une seule poussée. L’immersion de mon gland dans son vagin gorgé de plaisir a produit un bruit qui m’a fouetté encore davantage les sens.

Je n’avais à cet instant qu’une idée dans l’esprit, la défoncer, lui pilonner la chatte. J’ai accéléré la cadence. Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille, et protesta. « Doucement… Doucement… Tout doux… ». Alors, j’ai ralenti le ramonage. Bougeant à peine en elle entre deux coups de reins. Elle a creusé le dos pour mieux m’accueillir à chaque coup de boutoir au fond de sa chatte. La crème mélangée à la mouille s’est échappée en longues éclaboussures qui ruisselaient le long de ses cuisses. J’ai attendu qu’elle jouisse pour investir aussitôt son anus dilaté.

Elle s’est mise à rouler des hanches. Ma queue avide a envahi son orifice. Elle s’est balancée d’avant en arrière, totalement soumise à mon désir. Comme c’était prévisible tant c’était extraordinairement bon, j’ai explosé. Une déflagration qui ne semblait jamais devoir finir. Depuis, je regarde de façon différente les femmes qui achètent de la pâte à tartiner, et ma queue ne manque pas de frémir en y pensant.

(Image à la une : Getty Images)

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