Une nouvelle amie

La rédaction 17 juillet 2021

Je m’appelle Sabine, j’ai 38 ans,  je suis mariée, j’ai deux enfants qui m’apportent beaucoup de joie. Je suis mère au foyer, ça me laisse le temps d’accompagner les gamins à l’école, de les reprendre le soir, et je suis assez sociable. J’aime bien discuter avec les autres mamans. Mon fils Maxime, le soir de la rentrée, m’a parlé d’un petit nouveau dans l’école, Louis. Une semaine après environ, alors que nous attendions que l’école ouvre les portes, il me l’a montré du doigt, qui arrivait avec sa maman, une femme aux cheveux courts et châtains, grande et mince, avec un blouson en cuir et un jean moulant noir. Maxime a agité la main en direction de son ami, qui a littéralement tiré sa mère vers nous. J’ai tout de suite tendu la main pour saluer la maman de Louis. Ce qui m’a tout de suite frappée, c’était la douceur et la chaleur de sa main. Nous avons discuté, elle m’a appris qu’elle venait d’emménager dans la ville, qu’avant elle vivait à Avignon. Les portes se sont ouvertes, les enfants sont entrés en nous disant à peine au revoir, et j’ai invité Marine, c’était son prénom, à venir prendre un café à la maison. Elle m’était d’emblée sympathique. Voici mon histoire porno.

De chez moi à chez elle

Une fois chez moi, Marine a ôté son blouson. En dessous, elle ne portait qu’un pull anthracite, col V, certainement en cachemire, et je voyais ses petits seins sexy pointer dessous. Elle était vraiment mince, tout l’opposé de moi, la grande rousse voluptueuse. On s’est assises sur le canapé du salon et, incidemment, j’ai demandé des renseignements sur le papa de Louis. Marine a esquissé un sourire, et son regard troublant s’est posé sur le mien quand elle m’a expliqué que Louis n’avait pas vraiment de papa, qu’elle avait fait un bébé toute seule. J’étais un peu embarrassée de m’être montrée si maladroite. Marine a sûrement perçu mon trouble, car elle a ajouté : « Mais il n’y a pas de pathos là-dessous. C’est juste que deux femmes n’ont jamais pu faire un bébé ensemble ! » Elle a fini en disant qu’à la place, Louis avait deux mamans, et que tout se passait bien.

Elle est partie peu de temps après, et il s’est bien écoulé une semaine avant que nous ne nous croisions à nouveau. Ce qui m’étonnait beaucoup, c’est que je n’arrêtais pas de penser à elle. Il y avait quelque chose chez cette femme qui me touchait profondément. J’ai été ravie de la revoir, et on a passé un long moment à se regarder, comme si le temps s’était arrêté. Je me sentais même timide. Marine m’a proposé de passer chez elle prendre un café, et j’ai bien évidemment accepté ! Je n’attendais que cela. On a déposé les enfants, et elle m’a fait monter sur son scooter en direction de chez elle. Je l’ai serrée par la taille. Sa maison était grande et lumineuse, très joyeuse aussi. De très belles photos, en noir et blanc et en couleurs, ornaient les murs. Je lui ai demandé ce qu’elle faisait dans la vie. Elle m’a répondu qu’elle était photographe, et qu’elle exposait dans une galerie d’une ville voisine. Elle m’a parlé du côté commercial de son travail, mais qu’elle avait aussi des projets plus personnels, comme des photos de nu très naturelles. « Je peux te montrer ce que ça donne, si tu veux. » Elle est allée chercher un book, et j’ai contemplé les clichés de ces femmes nues, toutes plus belles les unes que les autres. Quand Marine m’a demandé si j’accepterais de poser pour elle, j’ai rougi comme une pivoine, mais j’ai répondu oui. Elle a rajouté : « Tu le ferais maintenant ? »

La séance photo

Une demi-heure plus tard, j’étais nue sur ses draps blancs, et elle me fixait au travers de son objectif. Je me sentais étonnamment détendue, surtout que pour me mettre à l’aise, elle me complimentait sur mes formes, mon corps… Des pensées érotiques me traversaient la tête, j’étais bien. Je l’imaginais posant son appareil et venant m’embrasser doucement en me caressant les cheveux, puis laisser ses mains partir sur mon corps tendre et chaud… Sans m’en rendre compte, je commençais à mouiller. La séance a continué et, en changeant de position, je me suis rendu compte que mon entrejambe s’était mis à sécréter de la mouille. J’ai rougi, et je me suis excusée. Marine a posé son appareil photo, et m’a demandé si c’était elle ou la situation qui me troublait. Je me suis entendue lui répondre d’une voix étranglée : « Un peu les deux. » La photographe a posé son appareil sur la table de nuit, et est venue s’asseoir, tout habillée, à côté de mon corps nu. Sa main s’est posée sur mon front, a caressé ma joue pour descendre jusqu’à mon cou, mes épaules, puis elle a continué sa lente dégringolade pour se retrouver sur mon sein droit. Mon coeur battait, j’étais comme fiévreuse, je l’ai attrapée derrière la nuque et attirée à moi pour lui rouler une pelle enflammée. Tout était nouveau pour moi, tromper mon mari, avec une femme de surcroît, et pourtant tout se passait dans le plus grand naturel.

Nos bouches se sont décollées, et j’ai aidé Marine à se déshabiller. Son corps m’envoûtait, mince et musclé, sec, un corps de liane. Ses petits tétons bruns appelaient ma bouche comme s’ils pouvaient me nourrir, et mes doigts, après s’être attardés sur toute la surface de son ventre, sont allés chercher son pubis lisse et bombé dont émanait une odeur de paradis. Comme un serpent, elle s’est mise à onduler contre moi alors que je découvrais avec ravissement sa fente douce, ses petites lèvres parfaitement dessinées, son minuscule clitoris rosé et hypersensible que j’ai commencé à titiller comme s’il s’agissait du mien. Ses soupirs sont devenus gémissements, et ses gémissements, râles. Mes doigts se sont enfoncés plus profondément en elle, et je l’ai masturbée jusqu’à ce qu’elle s’étrangle dans un cri de jouissance. J’étais heureuse. Après cinq minutes de câlins, elle s’est glissée entre mes cuisses et, tout en me malaxant tendrement les fesses, elle a plongé sa bouche sur mon sexe. Elle avait l’art et la manière, ma chatte trempée recevait avec ardeur ses coups de langue précis, et il n’a pas fallu longtemps pour qu’à mon tour, je sois envahie par un orgasme. Elle est venue m’embrasser, les lèvres humides de mon eau intime, et ce baiser a été merveilleux.

Je ne sais pas où cette histoire nous mènera, mais cela fait déjà trois mois que nous sommes amantes. Jamais je n’aurais cru pouvoir aimer une femme. J’ignore si notre attirance est purement sexuelle, mais je me sens pleinement heureuse.

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Une conversion en douceur

Deux lesbiennes en photo
Une dernière pour la route


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru