L’hôtesse de l’air était bisexuelle

La rédaction 14 décembre 2023

Paul, 48 ans, originaire de Lyon, a partagé un moment dantesque avait sa femme et une amie. Il nous raconte son trio bisexuel !

Clara, mon épouse, est hôtesse de l’air. J’ai vite compris qu’elle était bisexuelle et loin de m’en offusquer, je profite pleinement de la situation. Aussi, ce jour-là, lorsque je l’ai vue avec la belle Claudia, j’ai su que j’allais passer une bonne soirée ! Voici leur torride histoire de sexe.

Les deux femmes se gouinent devant moi

Cette beauté brésilienne avait le feu au cul. À peine arrivée chez nous, elle a roulé une pelle d’enfer à ma compagne et en quelques secondes, les deux étaient totalement à poil, le sol du salon jonché de leurs vêtements et de leurs dessous sexy. Je les ai précédées dans la chambre, le temps de prendre mon boîtier et ces dames se sont laissé choir sur le lit, toutes jambes écartées. Claudia ne me plaisait pas, mais il dégageait de cette femme une sensualité et un appétit sexuel hors norme. J’ai d’ailleurs été surpris de la voir, à plusieurs reprises, me mater en train de me masturber. Cela l’a, semble-t-il, beaucoup excitée, au point qu’elle a caressé ma queue cinq ou six fois pendant ses agapes saphiques avec Clara.

C’est elle qui s’est jetée, tête la première, entre les cuisses de ma douce pour lui bouffer la chatte. J’aurais bien utilisé le terme de cunnilingus, en usage dans ces pages, mais ce à quoi j’ai assisté n’en était pas un. Une cannibale ! Une affamée ! Même moi, qui suis un grand lécheur de minou devant l’éternel, je ne me précipite pas ainsi sur l’intimité de ma belle. Claudia s’est barbouillé le visage avec la cyprine de ma moitié avant de recouvrir intégralement son pubis d’un mélange de mouille et de salive. J’ai tourné autour de ces deux nymphes alanguies dans un abandon total, je voulais voir le con de notre invitée.

Le cul relevé, les fesses entièrement ouvertes, j’ai découvert une fente d’où perlait un désir sirupeux, un anus mobile qui, à l’évidence, réclamerait tantôt son lot de léchouilles et de pénétrations. Mais pour l’heure, sa langue papillonnait sur le clitoris de ma chérie, à une allure folle, alternant des coups incisifs et de larges applications qui remontaient très haut afin d’écraser ce petit grain de cassis et ainsi déclencher un juteux plaisir qui coulait telle une source du vagin de Clara. Les jambes fuselées de ma femme étaient quasiment à l’équerre, son con bombé n’avait de cesse que de vouloir toujours plus de caresses, elle a fini par réclamer les doigts de son amante.

L’hotesse de l’air se fait fister

Elle en a reçu quatre plus la moitié du pouce, un peu de lubrifiant en plus et elle terminait fistée pour la première fois de sa vie. Claudia m’a même légèrement branlé à cet instant précis, j’ai cru qu’elle allait me prendre en bouche, mais elle a juste craché sur mon gland afin de faciliter le coulissement de mon prépuce. J’ai tout de même été très excité par cette caresse puis j’ai recommencé mon shooting. Clara venait de jouir très fort et se relevait avec peine pour, à son tour, explorer l’intimité de notre hôtesse, dans tous les sens du terme.

Le sexe de la Brésilienne était tout aussi glabre que celui de ma femme, plus brun avec des nymphes protubérantes, elle les a elle-même écartées afin de mettre à l’air son clitoris rose vif et son vagin qui brillait tant elle dégoulinait. Clara n’y est pas allée par quatre chemins, elle a pincé le bourgeon entre ses lèvres, le mordillant jusqu’à la limite du supportable et a doigté les deux orifices de la belle Carioca. Cette dernière a gémi, doucement, mais très vite son filet de jouissance s’est transformé en torrent. Ma nana avait sorti sa botte secrète, son piercing lingual orange et lisse. La rencontre des deux sphères a été comme une ignition atomique, plus une fusion qu’une fission, elle a fait tourner la boule autour de ce mini gland et Claudia est partie dans un orgasme fou. Les yeux révulsés, des sons inintelligibles émanaient de sa gorge et tout son corps tremblait tel le feuillage d’un arbre pris dans une tempête.

Un soixante-neuf gracieux et apaisé s’en est suivi. Ces deux beautés ayant exulté un plaisir trop longtemps contenu pouvaient désormais s’adonner à des caresses plus sensuelles, tout en restant très sexuelles et en sachant où « frapper » pour déclencher les affres de l’autre. Les bruits de langue et de pénétrations dans leurs divers orifices se mêlaient à leurs ahanements. Le flop, flop, flop de ma main sur mon pieu, la vision de ces courbes féminines qui se livraient sans aucune pudeur, j’ai giclé au bord du lit, si fort que mes jets de sperme ont atteint les silhouettes entrelacées. Je me suis excusé auprès de Claudia qui m’a de nouveau surpris en essuyant le liquide séminal d’un index décidé avant de le porter à sa bouche et de rouler une pelle à ma femme, partageant ainsi mon foutre dans un baiser irréel de beauté.


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru