Libre antenne, libertine

La rédaction 25 mars 2021

Mohamed, 19 ans, Asnières-sur-Seine

libre antenne libertine

Hello la compagnie, c’est Mohamed, Momo pour les intimes. Les intimes, y’en a plein : ce sont les auditeurs de mon émission de radio amateur, que je balance en podcast toutes les semaines. Amour, cul, taf… On parle de tout, dans mon show. Ça commence à buzzer pas mal, je dois dire. Du coup, j’ai des fans qui viennent me voir au studio, pendant que l’on fait le live. Je dis « on » pour parler de mon équipe : ma paire d’oreilles pour prendre les appels des auditeurs, ma bouche pour leur répondre et ma main droite pour lancer les jingles. Eh oui, je fais tout en solo. Mais l’avantage, c’est que je ne partage ni la gloire, ni les meufs.

La première gazelle qui s’est présentée était un avion de chasse. Lola, 18 ans, 1,65 m dont une grosse moitié de jambes, des petits nichons et un cul moulé dans un pantalon de yoga. J’adore les métisses dans son genre, un peu asiatique. Elle est arrivée toute perdue au studio (c’est-à-dire un petit appart’ que me prête un pote du quartier) et m’a fait : « C’est bien ici, le show de Momo ? » J’ai levé les yeux de la table de mix et j’ai poussé un sifflement. « Eh ouais, ma belle, c’est là que ça se passe. Tu veux assister à l’émission ou quoi ? ». Lola a hoché la tête en souriant. J’ai entamé l’émission remonté à bloc…

La première question d’auditeur a été un truc chiant sur une embrouille de lycée. Mais j’ai tout de même fait le taf, en donnant les bons conseils et en lâchant de la grosse vanne. Lola, qui s’était assise sur un tabouret près de moi, n’en perdait pas une miette. La suite a été plus trash : une meuf qui avait découvert que son mec la faisait cocue, et qui voulait se venger en me chauffant en direct. En temps normal, j’aurais peut-être trouvé une blague pour désamorcer le bail, mais avec Lola qui me dévorait des yeux, j’ai décidé de tenter le coup. La meuf a commencé à m’ambiancer : « Hum, Momo, j’ai super envie de ta queue. Je pose la main sur ton pantalon, là, tu sens ? Dis donc, tu bandes déjà… ».
Putain, c’était grave chaud. C’est même devenu carrément bouillant quand Lola s’est penchée vers moi et a imité ce que la fille racontait au téléphone ! Elle a commencé par me masser par-dessus mon jean, pendant que la cochonne continuait à parler : « J’ouvre ta braguette. Waouh, je ne savais pas que tu en avais une grosse comme ça… Je me lèche les lèvres tellement ça donne envie. » Dans le studio, Lola a baissé le zip et a commencé à farfouiller à la recherche de ma teub. Mon gars, je bandais déjà… Au tel’, ça continuait sur le même ton : « Ta grosse queue est sortie, maintenant. Je n’ai plus qu’à me pencher vers toi. Tu en dis quoi ? ». Les yeux rivés sur la tête de Lola qui descendait vers mon entrejambe, j’ai bafouillé : « Heu… Je t’attrape par les cheveux… », et j’ai joint le geste à la parole, choppant la queue de cheval de Lola. En vrai, ce que disait la meuf n’avait plus d’importance, à ce stade. J’étais juste hypnotisé par la belle, qui s’apprêtait maintenant à gober mon zboub. C’était trop bon…

J’ai failli couper l’appel mais j’ai eu peur que ça casse le délire de Lola. La fille était toujours dans le même mood : « Hum, je la prends dans ma bouche et toi, tu me guides par les cheveux ! ». C’est justement ce que je faisais, enfilant la groupie en m’aidant de sa tignasse. Ça avait l’air de l’exciter, vu qu’elle commençait à couiner pas mal. J’ai mis mon micro en « mute » mais la coquine radiophonique a voulu que je lui fasse des compliments : « Allez, dis-moi ce que cela te fait ! ». Pas besoin de chercher l’inspiration très loin, je n’avais qu’à baisser les yeux sur ma braguette. J’ai enchaîné : « Ben ça me fait grave du bien… Tu l’avales, là, pendant que je donne le rythme.C’est vraiment ouf de voir ta petite bouche de chienne déformée par mon gros missile ! ».

Lola a avalé encore plus profond, les lèvres serrées sur la base de ma queue. J’ai coupé de nouveau le micro pour qu’on n’entende pas ses « Gleu ! Gleu ! Gleu » à l’antenne. De toute façon, je ne pouvais pas tenir plus. Alors j’ai plaqué sa face sur ma teub au maximum et j’ai juté en faisant : « Putain, vas-yyyyy ! ». À l’autre bout du fil, la meuf continuait toute seule, pendant que Lola avalait au moins trois cuillères à soupe de purée. Pendant qu’elle se relevait, le museau tout couvert de sécrétions, j’ai terminé l’échange avec l’autre, en la félicitant de s’être bien donnée. Évidemment, je parlais de ma suceuse, qui l’a compris et m’a fait un grand sourire tout collé. Depuis, elle m’a envoyé des copines à elle, notamment un duo de blondes over-chaudes.

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« Mais la veille du jour J, il m’a envoyée un drôle de message disant : « Prévois une tenue sexy, ça plaît aux gens du cinéma. » J’ai dit OK, l’opportunité étant trop belle pour minauder. Après tout, s’il voulait se rincer un peu l’œil en prime… » Amandine, 23 ans, Lille.

J’ai visité les combles de sa femme

« La nuit, en me masturbant, j’imaginais des scénarios torrides lors de visites imaginaires : nous faisions l’amour, Lidia et moi, dans une penderie ou dans la cuisine alors que son mari, ne se doutant de rien, explorait les pièces à côté… » Jean-Marc, 51 ans, agent immobilier, Var.

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