J’ai visité les combles de sa femme
31 décembre 2020Jean-Marc, 51 ans, est agent immobilier. Pour des visites, il va avoir une cliente très très chaude qui va bien lui montrer ses intentions coquines…
Bonjour à toutes et à tous. J’ai une cinquantaine d’années et je travaille comme agent immobilier dans le sud de la France. Je vais vous raconter la visite la plus chaude que j’aie jamais vécue qui m’a valu une belle histoire de sexe !
Il y a un an, je m’occupais d’un jeune couple à la recherche d’une petite maison à louer. Elle, c’était une blonde à la peau dorée, les yeux verts très clairs, qui portait la plupart du temps des jupes très courtes, le genre de fille sur laquelle on se retourne dans la rue. Lui était un grand blond, larges épaules, type germanique, regard d’aigle et très charismatique…
Au fil des visites, je me suis aperçu que Lidia avait tendance à me dévorer du regard lorsque son mari ne se trouvait pas dans la même pièce que nous. Au début, j’étais un peu troublé, mais très vite, ce petit jeu m’a particulièrement excité. La nuit, en me masturbant, j’imaginais des scénarios torrides lors de visites imaginaires : nous faisions l’amour, Lidia et moi, dans une penderie ou dans la cuisine alors que son mari, ne se doutant de rien, explorait les pièces à côté…
C’est avec impatience que j’attendais chaque nouvelle visite. En plus des regards insistants, Lidia se permettait maintenant de provoquer des contacts physiques. Une main autour de la taille en passant une porte, une caresse discrète derrière la nuque, et ce, en présence de son époux !
Un jour, alors que l’on visitait le grenier d’une vieille demeure en bord de mer, un terrible orage a éclaté au-dessus de nous. Sa puissance était telle qu’un coup de tonnerre a fait sauter les plombs de la maison. Nous nous sommes retrouvés dans une obscurité presque totale. Lidia a poussé un cri de surprise. Son mari a descendu prudemment l’échelle en disant qu’il allait remettre les plombs qu’il avait repérés, nous laissant seuls sous les combles.
C’est alors que Lidia m’a brusquement attiré contre elle pour m’embrasser avec fougue. Folle d’excitation et de peur d’être découverte à tout instant, elle se frottait à moi comme un petit animal. Mon sexe a durci comme de la pierre contre son ventre. J’ai relevé sa jupe et baissé son string déjà tout humide. Grâce aux flashs furtifs des éclairs qui nous parvenaient par la fenêtre de toit, je pouvais voir ma main jouer avec son petit bouton et mon majeur disparaître dans sa fente toute mouillée.
Elle poussait des râles de plaisir de plus en plus bruyants. C’est en plein délire, alors que je la sentais tressaillir, que la lumière est subitement revenue, stoppant net nos caresses. Quelle frustration ! Nous avons rapidement rajusté nos tenues et sommes redescendus retrouver son mari, fier d’avoir poussé le bouton du disjoncteur. À en juger par sa tête, il ne se doutait de rien.
Je ne vous cacherai pas qu’après cette visite, je pensais ne plus revoir le couple. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai reçu un nouvel appel de Lidia : ils voulaient faire une ultime visite ! À mon arrivée au rendez-vous, le ciel m’est tombé sur la tête : Lidia était seule, un appareil photo en main. Son mari ne pouvait pas venir, elle prendrait des clichés. La salope…
En passant la porte d’entrée, mon cœur battait à tout rompre. Enfin, nous étions seuls et libres de faire les pires folies ! Sans dire un seul mot, nous nous sommes dirigés vers une chambre à coucher et nous nous sommes jetés l’un sur l’autre. Cette fois-ci, c’est elle qui a mené la danse.
Elle m’a fait me déshabiller et m’a poussé sur le lit. Comme folle, elle a pris mon sexe en bouche et a avalé mon gland prêt à décharger. Elle m’a dit qu’elle voulait boire mon foutre chaud, mais je me suis arrêté à temps, je tenais à la baiser.
J’ai enlevé sa robe et me suis allongé par terre pour qu’elle me chevauche. Elle était déjà en sueur. Elle me faisait face, je l’ai fait pivoter autour de ma bite pour qu’elle me présente ses petites fesses rebondies.
Tout en lui donnant des coups de boutoir, j’ai enfoncé mon pouce dans son anus. Ça l’a rendue hystérique. On aurait dit que mon pénis était un ressort tellement elle rebondissait dessus. La coquine avait l’air portée sur l’anal… Tant mieux.
Je l’ai Soulevée par la taille et l’ai fait s’allonger à même le sol. Mes doigts ont joué avec son petit trou entouré de quelques poils fins. Quand j’ai estimé qu’elle était prête, je me suis placé au-dessus d’elle et je l’ai pénétrée. Elle a relevé un peu la tête pour regarder. Je la lui ai plaquée au sol d’une main, tandis que de l’autre, je contrôlais mon entrée dans ses entrailles. Je l’ai sodomisée comme une bête. Jamais je n’avais fait ça avec une inconnue !
On a continué ainsi jusqu’à nos jouissances respectives, et j’ai giclé en elle. La cochonne était souillée et rassasiée. Moi, j’étais satisfait. Par la suite, on s’est revus, et on s’est fait des séances de baise et de photos cochonnes dans des maisons que j’avais à la location.