Sale comme une image
11 janvier 2021Amandine, 23 ans, veut percer dans le cinéma mais doit d’abord passer par des séances photos… une d’entre elle s’avère d’ailleurs plutôt coquine !
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Vous allez me dire que je suis naïve, et vous avez sans doute raison… Mais à 23 ans, que sait-on vraiment de la vie ? Moi, j’ai retenu une chose au fil du temps : il faut garder l’esprit ouvert. Et pas que !
Je me présente : Amandine, blonde à forte poitrine, jolie selon mes amis (à vous de juger sur mes photos). Je suis étudiante mais j’aimerais percer dans le ciné. Pour ça, je prends des cours d’acting et je me suis inscrite sur un site Web pour photographes recherchant des modèles, afin de me faire faire un book pas cher. J’ai bien décroché une séance, mais d’un genre… particulier.
Le premier photographe qui m’a contactée s’appelait Michel, 39 ans et soi-disant pro. Vu qu’il me proposait un book complet et gratuit, j’ai sauté sur l’occasion. Mais la veille du jour J, il m’a envoyée un drôle de message disant : « Prévois une tenue sexy, ça plaît aux gens du cinéma. » J’ai dit OK, l’opportunité étant trop belle pour minauder. Après tout, s’il voulait se rincer un peu l’œil en prime…
Le jour de la séance, j’ai débarqué chez l’inconnu. En ouvrant la porte, j’ai découvert qu’il était beaucoup moins mignon que je ne l’avais imaginé : un visage rond, le front dégarni mais un joli sourire tout de même. « Salut Amandine, mets-toi à l’aise », m’a-t-il fait en me claquant la bise. Puis il a précisé : « On peut commencer par la séance sexy, comme ça, on apprend direct à se connaître. » Et il m’a amenée dans sa chambre.
Pendant qu’il trifouillait son appareil photo, j’ai passé la lingerie que j’avais prévue en me cachant comme je pouvais. Michel avait beau avoir le dos tourné, il pouvait tout mater dans le miroir d’angle… Et ne s’en est pas privé ! En enfilant mon soutif, j’ai vu qu’il me zyeutait sans vergogne. J’ai d’abord été un peu mal à l’aise, et puis je me suis dit que c’était finalement assez flatteur. Quand mon hôte m’a lancée : « Mets-toi dans le fauteuil, on va commencer », je me suis contentée d’obtempérer.
Michel m’a guidée doucement pour que je me détende : « Souris ! Amuse-toi avec l’appareil. » J’avais l’impression d’être sur un plateau de ciné, à suivre les directives du réal’. Plutôt plaisant pour une apprentie comédienne… « Ouvre la bouche, voilà ! Joue avec ta langue ! ». J’ai commencé à la jouer mutine, puis de plus en plus coquine. Et même carrément chienne quand il m’a demandée : « Joue avec ta culotte, montre m’en plus… ». Pour commencer, j’ai frotté le satin contre ma vulve… et j’ai senti qu’elle était humide !
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Le cirque de ce cochon m’avait excitée ! Alors je me suis mise à gémir en titillant mon clito, toujours à travers le tissu, puis j’ai attrapé les élastiques du slip du bout des doigts et je l’ai fait rouler sur mes chevilles. Michel n’attendait que ça. Je l’ai vu lécher son index et son majeur avec une lueur perverse dans le regard, avant de murmurer : « Écarte ton petit cul, pour voir… ». J’ai de nouveau obéi en gémissent d’envie.
Il s’est d’abord contenté de titiller les bords de mon œil mais, sentant que j’aimais ça, il a fini par m’enfiler un premier doigt. Humm… Le second est entré quelques secondes après. Moi qui ne suis pas très fan d’anal, je m’ouvrais comme une fleur. Au point que le coquin a pu accélérer le rythme…
L’excitation était telle que j’ai fini par guider sa main hors de moi pour m’installer en levrette sur le lit. Je haletais, incapable de penser à autre chose qu’à l’envie de me faire baiser. « Tu veux que je t’encule ? », a-t-il grogné en se plaçant derrière moi. Je n’ai eu qu’à gémir « Oui ! », pour qu’il fasse ce dont il avait envie depuis le début.
J’ai adoré sa technique : profitant que ses doigts avaient ouvert la voie, il a pu entrer sans encombre, tout en faisant des mouvements de bassin qui m’ont élargie encore plus. Et quand il a été bien calé au fond, c’est moi qui est impulsé le rythme, allant d’avant en arrière pour profiter de chaque centimètre de son sexe épais.
Michel a continué à prendre des photos, tout en m’expliquant ce qu’il voyait : « Ton cul est très ouvert et ma queue glisse au fond… Si tu continues, je vais presser tes fesses et me lâcher dans ton p’tit trou… ».
Surexcitée par ses paroles, j’ai intensifié mes allers-retours. Et j’ai fini par jouir en poussant un cri suraigu. Profitant que je reprenais mes esprits, Michel s’est alors agenouillé près de mon visage et m’a collée sa bite devant le nez.
Épuisée et ravie, je lui ai donné ce qu’il voulait : une belle pipe qui s’est terminée dans ma gorge. Quel délice de sentir mon jus de cul mélangé à sa purée… Le bilan de cette histoire ? Je n’ai pas eu mon book, mais je me sers régulièrement des photos de Michel comme support masturbatoire !