Louise attaque

La rédaction 31 mars 2020

Koffi, 24 ans, maître nageur, Lyon.

Je suis Koffi, 24 ans, de Lyon. Il m’est arrivé une expérience très chaude récemment. Je suis maître nageur, un boulot assez cool qui me permet de voir des jolies filles en maillot toute la journée. Il y a moins d’un an, j’ai pu faire un peu plus que regarder…

Tous les mardis, on recevait des classes de terminale. Au mois de mars, une des élèves est venue me parler : 18 ans et des petits nichons bien fermes qui tressautaient dans son bikini. Elle s’est plantée devant moi : « Moi, c’est Louise, Tu pourrais m’aider sur mon crawl ? On est noté et ça compte pour le bac, je voudrais bien gagner des points… » Pas gênée, la petite. J’ai rigolé et j’ai lancé qu’elle pouvait revenir le samedi matin pour une leçon particulière. Le samedi, elle a débarqué. Elle était mignonne, avec une jolie peau et ses beaux yeux verts. On a commencé par un cours de plongeon. Louise s’est mise en position. Une vraie tata. Je me suis foutu d’elle et elle a rigolé : « Ben, je suis là pour apprendre, montre-moi ! » Je l’ai prise par la taille et j’ai cambré son dos, puis je lui ai fait plier les jambes. J’ai senti sa chair de poule sous mes doigts. Elle a plongé et fait un gros plat.

EIle est revenue tous les samedis matin jusqu’à son épreuve finale. À chaque séance, je sentais sa respiration plus rapide quand je lui enseignais des mouvements. J’avoue que j’avais du mal à retenir ma gaule devant ses petits seins sautillants et ses fesses bien blanches… Le dernier jour, on s’est donné nos numéros mais je n’ai plus eu de nouvelles, hormis un SMS en juin pour me dire qu’elle avait eu son bac avec mention et qu’elle partait pour deux mois en Corse.

À la rentrée, j’avais un peu zappé Louise et j’ai été surpris de tomber sur elle chez mon copain Vincent. Elle était venue avec un pote de pote. « Salut Koffi, c’est cool de te revoir ! » Elle était bronzée, ça faisait ressortir ses yeux. On a discuté et bu des coups. Je la trouvais beaucoup plus confiante, pas mal séductrice… et très excitante, dans sa petite robe bien décolletée. Vers minuit, elle m’a balancé : « Je m’ennuie, tu viens chez moi ?« .

Quinze minutes plus tard, on était dans son appart et elle se jetait sur moi pour m’embrasser. « Mais tu es hyper chaude, en fait« , j’ai rigolé. Elle a ri aussi : « Tu n’imagines même pas. C’est aussi pour te remercier de tes cours… » Elle a disparu dans la chambre et est revenue avec un gros gode rose. J’hallucinais un peu : elle était où, la petite lycéenne de la piscine ? Elle s’est désapée et m’a lancé : « Assieds-toi dans le fauteuil, j’ai envie que tu me regardes. » Les marques de son bronzage dessinaient bien son cul et ses nichons aux petits bouts bien roses, assortis à un joli sexe entièrement épilé. Elle s’est mise sur le canapé et a entrepris de se goder la chatte, d’abord lentement puis de plus en plus fort. J’ai sorti mon téléphone et ma bite et j’ai commencé à me branler en la filmant. Voyant ça, Louise s’est redressée et s’est mise à genoux. « Tu aimes ce que tu vois ? » et elle s’est carrément assise sur le gode, qui est remonté à fond dans sa petite chatte. Elle a gémi en me regardant. « Tu as l’air excité aussi« , a-t-elle dit en matant ma queue qui perlait déjà. Elle s’est mise à quatre pattes devant moi, le gode toujours planté dans son trou, et m’a fait un beau sourire. L’idée de ses lèvres roses écartées par le sextoy m’a rendu fou et j’ai enfoncé sa bouche sur mon zgeg.

Louise m’a pompé comme une pro tout en faisant aller et venir le gode de sa main droite. S’étouffant à moitié sur ma bite, elle gémissait en enfonçant le gode.Je n’avais plus qu’une envie : lui fourrer mon noeud à la place. Je l’ai portée sur le canapé puis j’ai écarté ses cuisses. Sa petite pêche était juteuse et très serrée autour du jouet. Je l’ai fait entrer et sortir deux ou trois fois, un bruit mou de ventouse s’est mêlé aux cris de Louise. Ne tenant plus, j’ai retiré le gode et enfourné ma bite d’un coup dans son trou bien ouvert.

Son minou était très serré et hyper humide, un vrai bonheur. Au bout de quelques minutes d’allers-retours, j’ai tout lâché à l’intérieur : quatre bonnes secousses de foutre. Louise m’a rejoint immédiatement. Avant que je ne parte, elle m’a montré un tiroir dans sa chambre. Dedans, un gros vibra, des boules de geisha et un plug anal. Y’a encore de quoi faire…

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé, vous aimerez aussi >>

Une plongee tres salee
Une plongée très salée
« L’avantage d’être prof de plongée : mes élèves sont parfois de jolis tendrons. Laura, beauté blonde d’une vingtaine d’années, était de cette catégorie-là. Le problème, c’est qu’un peu nerveuse, elle a bien failli s’étouffer lors de son baptême en eau salée. J’ai donc pris les choses en main et lui ai proposé de venir me voir après mon dernier cours. »

Le prof qui savait commu niquer
Le prof qui savait commu-niquer !
« Celui qui m’a transmis ce goût de la communication c’est Pierre-Yvon, mon prof de sémiotique. Je me permets de l’appeler par son prénom dans les pages de votre magazine, mais devant mes camarades je l’appelle par son nom de famille et le vouvoie. Nous sommes passés au tutoiement et à une relation assez intime après un verre, auquel il m’a invitée à la fin d’un cours. »


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru