Message personnel à mon amante
25 novembre 2020Brice, 52 ans, brûle de désir pour sa secrétaire qui n’a jamais cédé à ses avances. Elle invite Brice à son mariage et s’offre une première et dernière nuit avec lui…
Chère Olivia, je sais que tu me lis puisque tu es une assidue d’Union. Notre histoire de sexe ne pouvait pas se clore sans que nous ne la partagions avec celles et ceux qui comprennent notre nature libertine, alors je la raconte aujourd’hui. Je sais que la revivre au fil de mes lignes te procurera autant de plaisir que j’en ai eu de mon côté à l’écrire !
Olivia, j’ai fantasmé sur toi tout de suite en te voyant. Ta peau bronzée, ton port de reine et tes seins pointés vers le haut malgré leur belle rondeur : tout chez toi inspire le désir. Je t’ai d’ailleurs recrutée pour ça, même si tu avais également toutes les compétences pour devenir ma secrétaire. Et puis tu m’avais dit lors de l’entretien que tu allais te marier. Rien de mieux que l’interdit pour faire vibrer un coquin comme moi, tu le sais désormais…
Pendant 8 mois j’ai tenté de te séduire mais tu n’as jamais flanché. Pourtant, de déjeuners romantiques en balades après le travail, de mails élogieux en promesses de moments divins, j’ai mis le paquet ! Mais tu gardais ton air amusé, m’expliquant que ton fiancé allait faire de toi une honnête femme. Tu m’as bien livré ton passé haut en couleurs et ta passion pour les lettres érotiques, mais à part m’exciter davantage, ces aveux n’ont rien changé. Puis, tu t’es mariée. Et c’est là que je t’ai eu.
Faire venir son patron cochon à son mariage, qui aurait osé faire ça à part toi, chaude Olivia ? J’étais assis à quelques pas de ta table, avec d’autres connaissances de mon entreprise. Je te regardais, dans ta robe aérienne, me sourire de loin. Ton désormais mari te couvait du regard comme si tu étais la plus belle femme du monde. Je le comprenais bien.
Ivres tous les deux, nous avons fini par nous croiser sur la piste de danse plus tard dans la nuit. Je me savais à ton goût : plus élégant encore que d’habitude, ma chemise légèrement ouverte sur ce corps dont je prends tant soin. Tu étais en nage, virevoltant sur la piste. Ou était ton époux ? Je ne sais pas.
La soirée n’était plus qu’alcool, danses moites et baisers échangés entre des gens qui, pour certains, ne s’étaient jamais parlés. C’est là ta magie, Olivia : partout où tu passes, la passion nous consume…
LE LIVECAM interstron.ru
Tu m’as entraîné dans la chambre d’un de tes témoins. Tu m’as déshabillé, murmurant des mots à faire rougir le moins farouche des hommes. Tu voulais mon sexe chaud dans ta bouche, alors je te l’ai donné. Allongé sur le lit, j’ai laissé ma tigresse ramper le long de mon corps, puis saisir fermement ma bite entre ses lèvres.
Tu m’as sucé jusqu’à m’étourdir de plaisir. Tu voulais que j’explore ton alcôve. Je t’ai aidée à remonter jusqu’à mon visage, à soulever les pans de ta robe virginale, puis tu t’es assise sur moi. Ton sirop a coulé dans ma gorge comme une rivière… Jamais aucune femme ne m’avait noyé sous un tel torrent de désir.
J’ai dardé ma langue dans ton tréfonds. D’abord devant, mordillant tes lèvres charnues. Puis derrière, car tu miaulais que j’aurais le droit de le posséder par ta voie la plus étroite si je te satisfaisais.
Le souffle court de t’avoir ainsi dévorée, je t’ai vue descendre de notre couche puis me tourner le dos. Ta robe a volé en l’air et je t’ai enfin découverte nue, dans la lumière des lampions qui filtrait par la fenêtre. Et si on nous surprenait ? Que dirait ton mari si amoureux ? Je n’ai pas pu m’empêcher de penser qu’au fond, il savait que tu avais besoin d’une dernière nuit de liberté…
De nouveau, tu t’es assise sur mon corps, mais dos à moi. Et cette fois-ci, sur mon dard. Tu m’as pris en main pour me guider. Je t’ai enculée lentement. Il n’y a pas d’autres mots pour parler de cet acte cru, car alors tu n’étais plus femme, mais femelle. Feulant, ordonnant que je m’enfonce plus loin, griffant le drap de tes longs ongles, tu t’es révélée panthère.
Je n’ai pas pu retenir mes râles, plus sourds au fur et à mesure que tu accélérais le rythme. Tes mains se sont posées sur tes fesses. Tu les as fait claquer, onduler, se mouvoir autour de mon phallus dressé. J’ai joui de mille petites morts, conscient que jamais plus je ne te possèderais mais que cet orgasme nous liait pour toujours.
Tu as profité des dernières secondes de ma raideur pour te faire jouir, par derrière mais aussi par devant, tes doigts agiles s’activant dans ta fente. Nous nous sommes ensuite cajolés, puis tu es repartie faire la fête. Désormais, quand je te vois au travail, tu es différente. Une femme rangée, dont le feu est réservé à un seul homme. Mais qu’importe : j’ai eu le droit de m’y réchauffer et ce souvenir brûlera encore longtemps en moi, mon Olivia.