Mon époque débauchée

La rédaction 18 mai 2020

Laurence, 45 ans

Je vous raconte ici mon aventure qui s’est passée il y a quelques années. Mon compagnon, Nicolas, avait été invité par son assistante commerciale, Claire, à dîner en compagnie de son mari, Philippe.

C’était l’été, jupe courte, chaussures à talons etc. J’avais toujours eu un doute sur la relation entre Nicolas et Claire… Philippe était bel homme, grand et séduisant, séducteur aussi ! Il n’hésitait pas à reluquer mon entrecuisse lorsque je croisais et décroisais les gambettes à l’apéro. Le dîner a été bien arrosé… On a fini au digestif. Philippe a proposé de nous projeter leurs photos de vacances en camp naturiste. Ils étaient beaucoup plus libérés que nous !

Dans le noir, bien émoustillée par les nus masculins et féminins, je commençais légèrement à mouiller. Philippe a discrètement posé une main sur ma cuisse. Je l’ai retirée aussitôt, mais il est bientôt revenu à la charge… La situation m’excitait, je devais bien l’admettre. Claire et mon mec étaient juste à côté. J’ai laissé la main de Philippe en place. Il est remonté vers ma chatte qu’il a caressée à travers le string. J’étais un peu gênée vis-à-vis de Nicolas. Mais échauffée comme je l’étais, j’ai écarté les cuisses ! Philippe a tiré sur mon string pour le dégager. Il faisait tout cela en continuant à commenter ses vacances. Son doigt a appuyé sur mon clito. Je me suis mordu les lèvres pour ne pas crier mon plaisir.

Je n’ai jamais su si Claire en avait fait de même avec Nicolas. Dès notre retour à la maison, j’ai baisé avec mon mec, mais il n’avait pas l’air de se douter des raisons de mon humidité… Après quelque temps, Philippe m’a recontactée pour que nous allions plus loin dans nos relations… J’ai refusé car Nicolas était adorable, mais c’est vrai qu’il n’était pas très porté sur le sexe. À la seconde tentative de la part de Philippe, j’ai finalement cédé. J’avais trop envie de braver l’interdit !

Nous nous sommes rencontrés à l’hôtel. Cela a été une partie de baise indomptable. J’ai joui à maintes reprises… Jamais ça n’avait été comme ça avec Nicolas. J’ai beaucoup aimé sucer sa bite longue, fine et intégralement épilée.

Du coup, nous avons recommencé un autre soir, dans le même hôtel. Ce petit vicieux avait laissé la lumière allumée et le rideau entrouvert. Il y avait un voyeur dans la chambre en face… Quel choc pour moi de jouer les exhib’ ! Cela m’a beaucoup inspirée et j’ai crié mon plaisir en levrette ce soir-là.

Sa dernière folie a été de m’emmener dans un sauna libertin. Là encore, j’ai cédé, je voulais tenter une nouvelle expérience. Dans le jacuzzi, nous étions proches d’un couple. La femme m’a prise par la main pour caresser le sexe de son mari pendant qu’elle touchait celui de Philippe. Son mec me doigtait. Trop bon !

Ensuite à l’étage, Philippe m’a fait traverser une pièce sombre où je sentais des bites et des mains me toucher. Puis, nous avons rejoint le couple du jacuzzi dans une pièce fermée où nous avons baisé en échangeant nos hommes. Une première pour moi qui n’avais connu que Nicolas  ! Baiser avec un inconnu devant sa nana, wahou ! Son sexe était très gros, il m’a fait jouir bruyamment. Et de voir cette fille se faire prendre par Philippe m’a rendue toute chose…

Mais ensuite, j’ai préféré rompre avec Philippe et clore ce chapitre de ma vie. Je suis revenue à une existence plus sage avec un seul homme. Cependant, je n’ai jamais oublié ces moments torrides. Je me contente des plages naturistes maintenant… C’est déjà ça !

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Photos x

« Soudain elle a déboutonné mon pantalon pour sortir ma queue. Puis elle a passé sa langue sur mes boules tout en remontant sur ma tige, elle a entamé une fellation. Pendant ce temps, je lui ai titillé le clito. Elle mouillait bien. Je lui ai passé la langue sur tout le fruit défendu. Le jus coulait à flots. » Nicolas, 38 ans.

La croisière s’amuse

« Niarkos s’est jeté sur moi et m’a basculée en arrière, cherchant ma langue avec la sienne. Estomaquée par tant de fougue, je n’ai pas pu lui résister… et pas voulu non plus. Rapidement, nous nous sommes retrouvés nus, allongés sur le sol métallique, les machines couvrant le bruit de nos gémissements. Niarkos léchait mes seins comme un possédé, pendant que je caressais son sexe fin et très dur. » Cynthia, 56 ans.


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru