La croisière s’amuse

La rédaction 27 mai 2020

Cynthia, 56 ans.

Vous avez déjà essayé de guérir d’une vilaine rupture ? Croyez-moi, le meilleur moyen, c’est de se remettre en selle ! Pas toujours facile, je sais, mais plus efficace que de se lamenter sur son sort.

Quand Daniel m’a quittée, c’est pourtant ce que j’ai fait pendant trois mois : pleurer et gémir. Pire, quand mon amie Jeannette m’a poussée pour qu’on parte ensemble en croisière en Grèce, avec les billets qu’on avait achetés Daniel et moi, j’ai cru que j’allais la passer par la fenêtre. Et c’est ensuite par le hublot du bateau que j’ai voulu la bazarder : elle m’avait convaincue de partir, et maintenant que nous étions en balade autour des îles, elle passait son temps à draguer ! Je pensais qu’à cinquante ans révolus c’était un peu ridicule, et surtout j’étais tout le temps seule à errer sur le pont du bateau.

C’est là que j’ai repéré le capitaine, un certain Niarkos. Ou plutôt, j’ai remarqué qu’il m’avait remarquée. Même si je suis toujours fraîche et pimpante, j’avais du mal à croire que ce beau quadra aux yeux bleu lagon et à la barbe encore brune me faisait du charme. Et pourtant… Aux repas, ou quand j’arpentais le bateau, je le croisais toujours sur ma route, et il arrivait même qu’il me fasse un baisemain. Des manières que je croyais disparues avec le Titanic !

Un beau soir, j’étais sortie de ma cabine pour prendre l’air et j’ai vu le capitaine à la proue du bateau, fumant une cigarette. Je me suis approchée et je lui en ai demandé une. Avec un fort accent, il a répondu qu’il avait laissé son paquet au poste de commande, mais qu’il allait me le chercher. J’ai lancé : « Je viens avec vous ! » Je ne sais pas d’où sortait cette phrase, mais j’étais plus guillerette en la présence de Niarkos que je ne l’avais été depuis des années. Je lui ai emboîté le pas telle une jouvencelle, fière de mon audace et séduite par son sourire enjouée.

Avant d’atteindre la salle de commande, nous sommes passés devant une porte d’où sortaient de grands bruits. J’ai demandé ce qui se passait, et Niarkos m’a alors prise par la main : « C’est la salle des machines, laissez-moi vous montrer. » Et il s’est engouffré dans l’immense salle avant de descendre une longue volée de marches en fer, moi toujours sur ses talons. Le bruit était intenable, et il faisait une chaleur de tous les diables. Arrivée en bas, j’ai ouvert mon chemisier et j’ai tenté de reprendre mon souffle. Je n’en ai pas eu le temps…

Niarkos s’est jeté sur moi et m’a basculée en arrière, cherchant ma langue avec la sienne. Estomaquée par tant de fougue, je n’ai pas pu lui résister… et pas voulu non plus. Rapidement, nous nous sommes retrouvés nus, allongés sur le sol métallique, les machines couvrant le bruit de nos gémissements. Niarkos léchait mes seins comme un possédé, pendant que je caressais son sexe fin et très dur.

Plus je le branlais, plus je voyais son gland gonfler. Folle d’envie, je me suis dégagée pour le prendre entre mes lèvres. Niarkos a pivoté au-dessus de moi et, pendant que je l’avais en bouche, il s’est mis à manger mon abricot avec passion, buvant le nectar qui en coulait abondamment. J’ai joui une première fois, si fort que j’ai cru m’évanouir. Galvanisé par mon orgasme, Niarkos m’a alors retournée à plat ventre et m’a fait sentir son sexe.

Il m’a embrochée d’un coup. Le contact du sol froid et son coup de reins m’ont sortie du brouillard dans lequel j’étais alors. En extension, il montait et il descendait tel un marteau-pilon, poussant un râle à chaque fois qu’il pressait son bout contre le fond de ma grotte. J’encaissais chaque coup en me mordant les lèvres pour ne pas venir trop vite, tout en sachant bien que je ne résisterais pas longtemps à ses puissants assauts. Enfin, mon Grec s’est affaissé sur moi et a bourré tout ce qu’il a pu une dernière fois, m’arrachant un second orgasme plus fort encore. Dégoulinante de sueur et de sperme, je suis restée là, sous le poids de mon capitaine à moitié mort de plaisir.

Nous sommes remontés en riant comme des fous. D’autres nuits ont suivi celle-ci, plus passionnées encore. Le jour du départ, j’étais triste de laisser Niarkos, mais tout à fait consolée de ma rupture et plus sûre que jamais de mon capital séduction !

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