Pire ex ?
1 novembre 2024Sur les bon conseils de sa copine, Louis, 37 ans accepte de répondre à son ex. Lors d’une soirée à trois les deux filles font connaissance. Et c’est chaud !
Un soixante-neuf en cuisine entre mon ex et ma copine
En cuisine, j’ai entendu éclater de rire, j’ai passé une tête, elles étaient sur leur portable en train de se montrer des photos, quelques instants plus tard, grand silence. De nouveau, je suis allé fureter vers les casseroles… stupeur, Juliette et Pia se roulaient pelle sur pelle tout en se déshabillant ! Je me suis précipité pour éteindre le four et, téléphone à la main, j’ai assisté au plus sensuel spectacle de ma vie.
Après les baisers enflammés, ces deux corps que je connaissais si bien se sont retrouvés totalement nus. Juste pour mes yeux, la carnation un peu plus claire de Juliette, les seins fabuleux de Pia qui cherchait la bouche de mon ex comme un aimant, les deux silhouettes imberbes des aisselles à la chatte, ces sillons que j’avais léchés, bus, pénétrés … J’étais en extase !
Ce sont d’abord les poitrines qui ont tenté les caresses de ces dames, la suite a coulé de source, les fentes humides ont alors attiré les mains, leurs frôlements, leurs effleurements féminins et sensuels. J’ai vu les doigts de chacune s’enfoncer dans la cramouille de l’autre. Les nymphes étaient gonflées, rougeoyantes comme les torrents de lave de l’Etna, moites telles les rives des Grands Lacs du nord de l’Italie aux abords de l’automne.
Puis à l’image d’une caldeira, les deux corps se sont effondrés l’un sur l’autre. J’avais du mal à ne pas trembler, je me suis rapproché en silence. Pia et Juliette se sont lovées en soixante-neuf, j’avais en face de moi les fesses rebondies et parfaites de mon ex, la raie écartée sur sa chatte ouverte et son trou du cul si souvent investi par ma bite. La langue de ma copine actuelle partait à l’aventure entre les falaises soyeuses des petites lèvres et sur le taffetas de l’anus libre.
Ma copine se tape mon ex devant moi
Je m’imaginais ce qui se passait de l’autre côté, mais j’étais statufié, tout mouvement de ma part pouvait compromettre la suite des évènements, je n’ai même pas eu conscience de la crampe qui tendait ma queue à l’en faire exploser, je me suis concentré sur les bruits de bouches. Les bruits que dis-je … la musique plutôt, la symphonie de ces cunnilingus simultanés était si belle, si émouvante que j’ai focalisé mon attention sur l’appendice épileptique de Pia qui s’envolait, s’affolait et récoltait le miellat qui suintait du con de Juliette.
La suite n’a été qu’une succession délirante de positions que je croyais réservées aux couples hétérosexuels. Les deux filles m’ont proposé un véritable spectacle de face-sitting, l’une à califourchon au-dessus du visage de l’autre, lui imprimant tout son entrejambe contre le nez et la bouche afin d’obtenir d’interminables et profonds coups de langue sur tout le minou, anus et clito compris, bien évidemment.
Je ne peux pas dire combien de fois ces deux beautés ont pris leur pied. La jouissance de l’une chassait l’orgasme de l’autre, cette dernière reprenant ses esprits et étant disponible pour une nouvelle bordée d’endorphines et de sérotonine ! À tel point que moi, simple spectateur, j’étais exténué tant le match auquel j’assistais était intense. Tout a été bon. Les doigts plantés au plus profond de toutes les intimités, Juliette, qui refusait la sodomie avec moi, se laissait prendre le cul par les phalanges décidées de Pia, elle se faisait dilater le trou de balle juste là, devant mes yeux médusés. Cette orgie s’est terminée par des giclées de mouille et des « je t’aime » échangés entre filles, j’avais totalement disparu du paysage !
Mon ex et ma copine se sont endormies dans les bras l’une de l’autre, me laissant avec mon manche à balai qui réclamait de jaillir lui aussi, je me suis approché des deux corps inertes et, debout, marchant autour d’eux, je me suis branlé tragiquement, seul, le regard perdu sur ces orifices que je rêvais de pénétrer. J’ai éjaculé sur le sol à gros jets, mon foutre absorbé par la moquette comme mes songes de trio par le maléfique Morphée qui m’avait ravi ces deux muses sensuelles.
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