la queue du spectacle !

La rédaction 20 avril 2024

Florent – 34 ans – Val-de-Marne, prend des cours de théâtre classique mais son prof et son épouse partent rapidement sur un spectacle très sexuel.

Jeu de mots mis à part, mon histoire doit tout au théâtre. Passionné depuis plusieurs années maintenant, je fais partie d’une petite troupe d’amateurs. Cette année nous présentons Tartuffe de Molière. C’est de la haute voltige, mais un réel plaisir à jouer. Notre metteur en scène, qui est aussi l’époux d’une des comédiennes de notre groupe, est exigeant et il n’est pas rare que nous répétions certains soirs dans la maison du couple. Voici mon histoire de sexe.

Une réalisation sexuelle

Lors d’une de ces séances, nous étions juste nous trois et Michel nous faisait travailler, Judith et moi, la fameuse scène :
TARTUFFE « Couvrez ce sein, que je ne saurais voir. Par de pareils objets les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées. »
DORINE « Vous êtes donc bien tendre à la tentation, Et la chair, sur vos sens, fait grande impression ? Certes, je ne sais pas quelle chaleur vous monte. Mais à convoiter, moi, je ne suis pas si prompte, Et je vous verrais nu du haut jusques en bas, Que toute votre peau ne me tenterait pas. »
Il pestait et n’était pas convaincu par notre interprétation lorsqu’il s’est tourné vers son épouse en lui criant presque « Bon, montre-les-lui ! Nous verrons bien si cela donne plus de véracité à la scène ! J’étais éberlué, mais pas plus que quand Judith a dégrafé son corsage et a mis ses énormes loches à l’air !Gironde, j’ai toujours trouvé cette femme très belle et je n’ai pu contenir l’érection qui menaçait depuis le début de notre séance.

Mais ma partenaire de jeu ne s’est pas arrêtée en si bon chemin et elle s’est entièrement déshabillée, elle ne portait ni culotte ni soutien- gorge ! J’ai lancé un regard vers son mari, il était en train de nous photographier, je n’ai pas eu mon mot à dire, Judith a descendu ma braguette, m’a fichu la bite à l’air et s’est jetée dessus pour me sucer ! Ce n’est qu’une fois certaine que je bandais comme un taureau qu’elle a relâché son étreinte pour me permettre de me dénuder tandis qu’elle prenait des poses de chaudasse devant l’objectif de son époux. Cuisses écartées, sa chatte glabre dégageait une odeur de mouille entêtante, elle jouait avec ses gigantesques mappemondes, les faisant s’entrechoquer entre elles, en tétant les bouts érigés pour finir par épanouir ses nymphes afin de m’indiquer, au cas où cela m’aurait échappé, ce qu’elle attendait maintenant de moi. Son mari affichait un sourire délirant, visiblement surexcité par le fait de voir sa femme en pleine copulation avec un autre que lui, j’étais donc libre de n’en faire qu’à mon bon plaisir.

Démonter la femme de mon prof de théâtre

Je me suis d’abord penché sur l’entrejambe écartelé, le sexe féminin était cossu, bombé, d’une carnation plus sombre que la peau laiteuse du restant du corps. J’ai ouvert les grandes et les petites lèvres, j’ai longuement regardé l’intérieur du con et, lorsque j’ai entendu les déclics de l’appareil photo dans mon dos, j’ai posé ma bouche sur ce fruit juteux et bien gras et je l’ai léché comme un goret. Plus j’enfouissais mon visage dans le moelleux de la motte et plus Judith hululait, plus elle émettait des vibratos qui montaient dans les aiguës. Et quand je lui ai enfoncé trois doigts dans le vagin, elle s’est mise à trembler de la tête aux pieds et elle a eu un orgasme de tous les diables ! Le coussin du canapé sur lequel nous étions installés était imbibé de sa mouille, nous avons bougé un peu pour qu’elle se remette le fessier au sec et je l’ai prise comme un chien. Je n’étais plus moi-même, je lâchais mes coups de bite au débotté, au hasard, parfois ma queue sortait du con, cognait sur la partie mi-molle, mi-dure qui se trouve entre la chatte et le trou du cul.

J’avais mal sur le coup, mais mes reins continuaient leur danse folle et mon pieu se retrouvait bien au chaud dans l’onctuosité serrée de Judith. Elle a joui encore sous mes assauts puis s’est précipitée sur moi pour me chevaucher. Elle a glissé ma hampe dans son minou puis dans son oignon. Son anus était comme son ouverture de devant, ni plus étroit, ni moins. Elle s’est trémoussée en me mettant la tête entre ses énormes nichons, j’en étouffais presque, mais j’ai juté comme jamais, mon foutre a giclé dans son rectum. J’ai hurlé lorsque l’orgasme m’a pressé les couilles et que j’ai expulsé mon sperme au fond de son petit trou !

Les séances de répètes se font désormais à huis clos et en trio, j’ai même sucé Michel à la demande de son épouse. Je n’ai ressenti aucun dégoût, au contraire, surtout qu’après ces pipes très gay, nous pénétrons Judith en double, le chibre de son mari étant bien plus gros que le mien, c’est toujours moi qui l’encule ! Rideau !

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